Le Realme 9 Pro Plus est un smartphone de milieu de gamme qui ne cache pas ses ambitions. En effet, avec beaucoup de promesses du côté de la photo (capteur 50 mégapixels), de la charge rapide (60 W) et des performances (Dimensity 920), le modèle a pour mission de bien installer son constructeur comme un acteur incontournable dans ce segment de prix.
La mission est-elle réussie ? Réponse dans notre test.
Fiche technique
Modèle | Realme 9 Pro Plus |
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Dimensions | 73,3 mm x 160,2 mm x 7,99 mm |
Interface constructeur | Realme UI |
Taille de l’écran | 6,4 pouces |
Définition | 2400 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 411 ppp |
Technologie | Super AMOLED |
SoC | Mediatek Dimensity 920 |
Puce graphique | ARM Mali-G68 MC4 |
Stockage interne | 128 Go, 256 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Mp Capteur 2 : 8 Mp Capteur 3 : 2 Mp |
Capteur photo frontal | 16 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K |
Wi-fi | Wi-Fi 6 (ax) |
Bluetooth | 5.2 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 4500 mAh |
Poids | 182 g |
Couleurs | Noir, Bleu, Vert |
Prix | 309 € |
Fiche produit |
NB. Realme nous a prêté ce smartphone dans le cadre du test.
Design
Dans le milieu de gamme, les smartphones ont assez rarement un élément vraiment différenciant en termes de design. C’est le cas ici du Realme 9 Pro+. Malgré un dos légèrement pailleté sur notre modèle de test, le look général de l’appareil reste très classique. En façade : un écran plat et poinçonné avec un menton assez large. À l’arrière : un bloc photo un tantinet protubérant dans le coin supérieur gauche logeant trois caméras.
Mais attention. Le Realme 9 Pro+ a bien un petit tour dans son sac. Son fameux dos bleu clair pailleté passe au rouge — en réalité c’est plutôt rose — quand il est exposé aux lumières du soleil. C’est assez rigolo comme concept. Ce n’est pas ça qui fera forcément craquer un potentiel acheteur, mais ça donne une petite touche d’originalité à ce téléphone.
Realme parle d’un « design photochromique » pour ce dos en verre. Verre qui ne semble pas profiter d’une protection particulière contrairement à l’écran au recto qui a droit à du Gorilla Glass 5.
Bref, le Realme 9 Pro+ et son dos photochromique me fait penser à ce bon pote, certes un peu discret dans la vie de tous les jours, mais qui s’autorise un petit grain de folie quand il se sent en confiance.
On notera au passage la présence d’une prise jack en bas, à côté du port USB-C et de la grille du haut-parleur. Les touches de volume (à gauche) sont l’opposé du bouton de déverrouillage (à droite). Aucune certification ne vient garantir une résistance à la poussière ou à l’eau.
Écran
Le Realme 9 Pro Plus propose un écran AMOLED de 6,4 pouces avec une définition Full HD+ et un taux de rafraîchissement de 90 Hz avec un mode adaptatif. Une formule classique, mais éprouvée et appréciée dans l’ensemble. Il faut dire qu’on sait d’emblée qu’on va avoir affaire à un super contraste (pixels noirs éteints) et à une belle fluidité à l’utilisation au quotidien. Dommage que la luminosité maximale se cantonne à 577 cd/m². Si le soleil tape super fort au-dessus de votre tête, vous risquez de devoir plisser les yeux pour bien voir ce qui est écrit.
Globalement, la dalle est de bonne facture et fait du bon travail au niveau de la colorimétrie. Avec l’option « Vive » configurée de base, on profite déjà d’une température moyenne équilibrée. Avec notre sonde et le logiciel CalMan de Portrait Displays, nous mesurons en effet 6694 K, ce qui se rapproche beaucoup des 6500 K qu’il faudrait atteindre idéalement. Libre à vous ensuite d’ajuster le tout comme vous l’entendez en manipulant la jauge à votre disposition pour des tons plus froids ou plus chauds.
Vous trouverez aussi un mode « Naturel » un peu trop terne avec ses 5798 K et un mode Pro à destination de celles et ceux qui veulent explorer un peu plus les options de calibration de l’écran, par exemple pour aller viser une meilleure pluralité des couleurs.
Logiciel
Realme UI 3.0 est une interface basée sur Android 12. Nous avons déjà eu l’occasion de nous attarder dessus à quelques reprises. Il faut surtout retenir que cette expérience logicielle est très très très très très très très très très librement inspirée de ColorOS, la solution d’Oppo, marque cousine de Realme — avec OnePlus, les deux firmes sont sous l’égide du même groupe Oplus.
Que dire, si ce n’est qu’on apprécie toujours autant cette interface ? En plus d’être simple à prendre en main, elle est également sobre, mais efficace, graphiquement. De quoi définitivement faire oublier les débuts poussifs de Realme UI en France il y a quelques années. On apprécie surtout le menu des personnalisations très riche en options. Vous pouvez modifier avec une grande granularité l’écran Always-on Display, la forme des icônes des paramètres rapides, ainsi que celles des applications. Pour ces dernières, vous avez aussi la main sur le style et la taille.
Ça ne s’arrête pas là. La taille de la police de caractères est modifiable à votre guise tout comme la couleur du système. Plusieurs palettes vous sont proposées, mais vous pouvez aussi configurer la vôtre. En outre, une option permise par Material You sur Android 12 permet d’adapter lesdites couleurs à celle de votre fond d’écran.
À tout cela s’ajoutent une « barre latérale intelligente » (pour accéder rapidement à des apps ou fonctions) et des fenêtres flottantes.
Si cela ne vous suffit pas, vous pouvez toujours faire un tour dans la rubrique « Realme Lab » pour tester des fonctionnalités expérimentales comme la mesure de fréquence cardiaque. Celle-ci se fait via le lecteur d’empreintes.
Vous pouvez ensuite préciser si vous avez la mesure pendant que vous travailliez, marchiez ou vous reposiez. Un historique est ensuite disponible. Je ne peux pas garantir la fiabilité des données malheureusement.
Une autre fonction Realme Lab permet de connecter à la fois deux paires d’écouteurs, une sans fil et l’autre en filaire.
Par ailleurs, sachez que vous pourrez profiter de Netflix en 1080p. En effet, le Realme 9 Pro+ jouit du DRM Widevine L1 nécessaire pour débloquer les flux HD sur les services SVoD. Enfin, j’ajouterais que la dernière mise à jour de sécurité date d’avril au moment où nous publions ce test. C’est de très bon augure pour le suivi logiciel.
Audio
Pour vos chansons, le Realme 9 Pro Plus est capable de bien pousser le niveau du volume avec un haut-parleur bas puissant et assez bien aidé par celui du haut plutôt destiné aux appels. Impossible pour le téléphone de s’improviser enceinte lors d’une soirée cela dit. Les voix sont excellemment restituées, mais les basses, sans surprise, peinent à exister pleinement. Le souci se ressent moins sur les aigües, mais celles-ci peuvent crachoter un chouia si vous montez le son à fond.
Enfin, n’oubliez pas qu’au casque vous pouvez jouir d’une fonction Dolby Atmos pour renforcer l’impression d’être englobé par votre musique. Des profils sonores sont disponibles pour adapter votre écoute en fonction de votre environnement ou de ce que vous êtes en train de faire.
Photo
Trois capteurs photo ont élu domicile au dos du smartphone. On trouve ainsi la caméra principale de 50 mégapixels (f/1,8), l’ultra grand-angle de 8 mégapixels avec un champ de vision de 119 degrés (f/2,2) et un capteur avec objectif macro de 2 mégapixels (f/2,4).
Le capteur de 50 mégapixels est très bon lorsque les conditions lumineuses idoines sont au rendez-vous. Une surprise ? Non, pas du tout. Sur le milieu de gamme, les clichés de jour ne sont plus censés poser problème en 2022. N’allons toutefois pas trop minimiser les forces du Realme 9 Pro Plus dans cet exercice. La colorimétrie est bien maîtrisée et se permet sur quelques teintes de pousser un peu la saturation pour flatter la rétine.
L’astuce est visible, mais ne tombe pas dans l’excès. Le niveau des détails est très satisfaisant et il faudra surtout afficher vos photos sur un grand écran d’ordinateur pour vraiment remarquer que le piqué n’est pas aussi fin que sur un appareil haut de gamme. Enfin, la gestion de la dynamique fait bien le job, mais pourrait être un peu plus costaude sur les zones sombres d’une scène.
Quand la nuit tombe, le téléphone continue de bien s’en sortir lorsqu’il est aidé convenablement par des sources de lumière (ex. : les lampadaires de la rue qui donnent cependant une teinte très orangée). Dans ces cas-là, on dirait presque que le mode nuit a été activé. Attention, cela dit : il suffit de zoomer un peu dans la photo pour se rendre compte que plusieurs détails sont sacrifiés.
Le flou est très présent dès qu’on y regarde de plus près et on voit alors que les algorithmes de Realme ont tenté de masquer les défauts en forçant le trait sur certaines lignes ici et là pour donner une impression globale de netteté. En gros, le téléphone fait sa petite tambouille pour ripoliner la façade dans le but de faire illusion. C’est de la triche et, en soi, il n’y a pas de mal à ça, mais il aurait fallu que le résultat soit meilleur.
Quand les sources de lumière sont moins clémentes, le Realme 9 Pro+ a tout de suite beaucoup plus de mal à gérer certaines zones complexes de l’image. Dans l’exemple ci-dessous, on peut voir que la zone autour du lampadaire du milieu est totalement surexposée quand on prend une photo normalement. Il ne faut alors pas hésiter à dégainer le mode nuit qui réussit à mieux récupérer certains détails.
Le mode nuit reste cela dit assez discret dans ses apports. Ne vous attendez pas à profiter d’une image qui baigne d’un coup dans la lumière avec cette option. La fonction apporte des améliorations un peu plus subtiles. Celles-ci sont bienvenues, mais ne feront pas de miracles dans une pièce plongée à 95 % dans le noir comme ci-après.
Vous profitez aussi d’un mode 50 mégapixels pour des photos plus détaillées. Pour que cette option soit vraiment pertinente, il faudra vraiment s’assurer de profiter des bonnes conditions lumineuses et vérifier si la scène vaut vraiment la peine d’être capturée avec ce mode. Les photos en 50 mégapixels améliorent en effet la restitution des détails, pas de doute, mais elles souffrent d’un traitement colorimétrique plus terne.
L’ultra grand-angle du Realme 9 Pro Plus est des plus classiques. Il ne décrochera pas la Lune avec ses modestes capacités, mais il représente une bonne alternative si vous souhaitez immortaliser des paysages pendant vos vacances par exemple. Attention, on sent bien que les images sont moins finement détaillées, notamment sur les bords. En outre, la cohérence colorimétrique avec le capteur principal se ressent parfois grandement. De nuit, vous n’en tirerez presque rien.
Concernant le mode portrait, le téléphone est efficace dans la séparation qu’il fait entre la personne nette et l’arrière-plan flou. La délimitation n’est pas parfaite, mais disons que les compromis se font sur les bons endroits. Concrètement, le téléphone comprend qu’il vaut mieux se contenter d’une mèche de cheveux ou deux un peu floues plutôt que de chercher à tout prix à garder net un tel détail au risque d’enlaidir la photo en se ratant.
Le réel défaut du mode portrait réside plutôt dans la restitution des couleurs qui tendent à virer sur le rouge. Ci-dessous, la barbe de Titouan a des reflets plus roux que dans la réalité tandis que le mur derrière Grégoire n’avait pas un effet aussi pastel.
Nous n’allons pas nous attarder sur la fonction macro qui est absolument inutile. Elle vous fera surtout perdre du temps à réussir une bonne prise de vue, en vain. C’est moche, mal défini, il n’y a rien à garder. Sur un point plus positif, j’ai bien aimé l’option du Realme 9 Pro+ permettant de faire du light painting par exemple avec les feux des voitures qui circulent sur la route. Idéalement, il faut faire cela la nuit, mais la rue en bas de chez moi ne s’y prête pas trop. Par curiosité, j’ai essayé ce gadget depuis la fenêtre de la rédaction de Frandroid, en plein jour. Et franchement, le rendu est très loin d’être ridicule.
On voit surtout que contrairement à du light painting traditionnel, le smartphone n’opère pas vraiment une longue pose (en plein jour, cela aurait engendré un cliché tout blanc). Au lieu de cela, l’appareil fait des clichés en rafale qu’il superpose intelligemment pour créer l’illusion d’une trainée derrière les véhicules en mouvement.
Côté selfie, comptez sur un capteur frontal de 16 mégapixels (f/2,4). Celui-ci se montre plus efficace en extérieur qu’en intérieur sur le niveau de piqué. On peut ainsi passer d’un visage avec beaucoup de détails à une bobine un peu molle.
Pour la vidéo, les 60 fps sont atteignables en 1080p. On peut aussi enregistrer en 4K, mais à condition de rester à 30 images par seconde.
Performances
Le Realme 9 Pro+ embarque un Dimensity 920 plus qu’honorable. La plupart des jeux que vous lancerez profiteront de bonnes performances. Le souci viendra plutôt de Fortnite qui affiche un message lors de la première ouverture d’applications pour avertir que le téléphone n’est pas officiellement compatible. Cela n’empêche pas le jeu d’Epic de se lancer. Vous pouvez vous prêter à des parties en 30 fps très stables avec des graphismes bloqués au niveau moyen.
La non-compatibilité officielle empêche donc surtout de goûter à des textures plus fines définies, mais la fluidité de la partie n’est pas affectée. Sur PUBG ou Call of Duty Mobile, aucun souci n’est à signaler, ça tourne au top.
Modèle | Realme 9 Pro Plus | Xiaomi Redmi Note 11 Pro 5G | OnePlus Nord CE 2 | Samsung Galaxy A53 |
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AnTuTu 9 | 497247 | 396572 | 432773 | 426366 |
AnTuTu CPU | 140004 | 121444 | 118932 | 95643 |
AnTuTu GPU | 140927 | 100969 | 121073 | 108263 |
AnTuTu MEM | 87819 | 66305 | 87264 | 70664 |
AnTuTu UX | 128497 | 107854 | 105504 | 85481 |
PC Mark 3.0 | 12351 | 10426 | 8144 | 11272 |
3DMark Slingshot Extreme | 3967 | 2910 | 3732 | 3586 |
3DMark Slingshot Extreme Graphics | 4298 | 2760 | 4066 | 3913 |
3DMark Slingshot Extreme Physics | 3125 | 3592 | 2898 | 2774 |
3DMark Wild Life | 2298 | 1194 | 2017 | 2286 |
3DMark Wild Life framerate moyen | 13.8 FPS | 7.20 FPS | 12.10 FPS | 14 FPS |
GFXBench Aztec Vulkan/Metal high (onscreen / offscreen) | 16 / 10 FPS | 12 / 8.2 FPS | 13 / 9.3 FPS | 15 / 10 FPS |
GFXBench Car Chase (onscreen / offscreen) | 23 / 27 FPS | 17 / 20 FPS | 20 / 24 FPS | 20 / 23 FPS |
GFXBench Manhattan 3.0 (onscreen / offscreen) | 57 / 68 FPS | 41 / 48 FPS | 51 / 61 FPS | 55 / 61 FPS |
Lecture / écriture séquentielle | 986 / 449 Mo/s | 498 / 476 Mo/s | 987 / 841 Mo/s | 510 / 488 Mo/s |
Lecture / écriture aléatoire | 41366 / 45825 IOPS | N/C | 57312 / 53638 IOPS | 57412 / 50585 IOPS |
Dans les benchmarks, le Realme 9 Pro+ a tendance à bien dominer des adversaires tels que le Xiaomi Redmi Note 11 Pro 5G, le OnePlus Nord CE 2 et le Samsung Galaxy A53.
Autonomie
Le téléphone mise sur une batterie de 4500 mAh. Une capacité assez classique sur le marché des smartphones, bien que l’on voit souvent des accumulateurs flirter avec les 5000 mAh en entrée et milieu de gamme. Pas d’inquiétude : sur ce Realme 9 Pro+, batterie classique = autonomie classique.
En effet, vous tiendrez sans trop d’effort une journée entière. Selon vos habitudes d’utilisation, la journée et demie est envisageable. L’endurance du smartphone est fiable et satisfaisante. Pas besoin d’aller plus loin dans l’éloge au risque de faire miroiter de fausses promesses. Personnellement, je suis convaincu que la très grande majorité du public y trouvera son compte, sauf quand il faudra vraiment beaucoup exploiter le téléphone sans pouvoir le recharger (par exemple, pendant une randonnée).
Il faudra alors penser à garder la luminosité de l’écran à faible niveau autant que possible, ne pas abuser des apps non essentielles comme les réseaux sociaux (ce sont les premières que je coupe totalement en randonnée pour des raisons qui me paraissent évidentes).
Ce constat se confirme avec les 12 heures 22 pendant lesquelles le Realme 9 Pro Plus a résisté à notre protocole de test personnalisé ViSer. C’est un score correct, sans plus, un peu dans le ventre mou de l’ensemble des smartphones testés sur Frandroid.
En réalité, pour trouver la grosse qualité de ce smartphone quand on s’intéresse à la batterie, il faut plutôt se tourner vers le chargeur puissant de 60 W livré dans la boîte. Grâce à lui, je suis passé de 8 à 87 % d’énergie en une demi-heure chrono. Ensuite, en attendant juste environ 10 minutes, j’étais à 100 %.
Réseau et communication
Le Realme 9 Pro+ a l’avantage d’être compatible avec la 5G actuellement déployée en France. Vous pouvez donc vous projeter avec lui si vous n’avez pas encore de forfait adéquat aujourd’hui, mais que vous pensez pouvoir faire évoluer votre abonnement dans quelques années. Côté 4G, aucune bande de fréquence française ne lui résiste et je n’ai personnellement pas eu de souci sur le réseau d’Orange en région parisienne.
Pour aller plus loin
Quel est le meilleur opérateur mobile : Bouygues, Free, Orange ou SFR ?
Vous noterez au passage qu’il est possible d’insérer deux nano SIM dans ce téléphone qui sert aussi, chose incroyable, à téléphoner. Pendant les appels, vos interlocuteurs entendront très distinctement votre voix, sans presque aucune compression. Peu de chance qu’on vous prenne pour quelqu’un d’autre au bout du fil. En ce qui concerne la réduction des bruits environnants, on a déjà vu mieux, mais les sons parasites ne viendront pas camoufler vos paroles. Attention cependant aux sirènes qui sonneront de manière stridente dans votre micro. Désagréable pour la personne à qui vous parlez.
Enfin, je n’ai pas de souci particulier à signaler du côté de la précision de la géolocalisation.
Prix et date de sortie
Le Realme 9 Pro+ a été lancé en France en deux configurations : 6/128 Go et 8/256 Go. Les prix de lancement officiels étaient de 379,99 et 429,99 euros. Depuis la sortie du smartphone, fin février, il est possible de le trouver à des tarifs plus bas.
Trois coloris existent : bleu, vert et noir.
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