Il y a comme une petite musique qui monte depuis quelques semaines autour du premier téléphone de la jeune marque londonienne Nothing, appelé sobrement phone (1). Cette entreprise ayant notamment été fondée par un ancien fondateur de OnePlus, Carl Pei, nombreu·ses·x sont celles et ceux qui attendent un vrai coup de pied dans la fourmilière, dans un marché du smartphone de plus en plus plan-plan. C’est aussi la promesse de Nothing qui affirme que l’innovation n’a malheureusement plus sa place dans le marché du smartphone. Est-ce que le phone (1) répond aux attentes ? Et plus important encore : peut-il être conseillé ? On répond à tout cela dans ce test.
Fiche technique
Modèle | Nothing phone (1) |
---|---|
Dimensions | 75,8 mm x 159,2 mm x 8,3 mm |
Interface constructeur | Nothing OS |
Taille de l’écran | 6,55 pouces |
Définition | 2400 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 402 ppp |
Technologie | OLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 778G+ |
Puce graphique | Qualcomm Adreno 642L |
Stockage interne | 128 Go, 256 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Mp Capteur 2 : 12 Mp |
Capteur photo frontal | 8 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K |
Wi-fi | Wi-Fi 6 (ax) |
Bluetooth | 5.3 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Oui |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 4500 mAh |
Poids | 193,5 g |
Couleurs | Blanc |
Indice de réparabilité ? |
7,9/10 |
Prix | 259 € |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un exemplaire du téléphone prêté par la marque.
Notre test en vidéo sur YouTube
Design
Rarement en 2022 un téléphone n’aura tant cherché à se démarquer sur son design que le phone (1). Look très iPhonesque jusqu’au positionnement des modules photo, dos transparent qui laisse deviner une multitude de petites LED capables de dessiner en rythme des motifs calqués sur les sons et sonneries du téléphone. Une chose est certaine, quelle que soit l’utilité de la fonctionnalité (sur laquelle nous reviendrons plus bas), le phone (1) propose une vraie nouveauté qui se démarque et il convient de le saluer.
Se démarquer, c’est parfait pour faire parler de soi, mais qu’est-ce qu’il donne vraiment une fois tenu en main ce smartphone clignotant ? La première impression s’avère pour le moins décevante. C’est quelque chose que j’ai pu constater sur la plupart des collègues à qui je l’ai confié quelques minutes lors de ce test. Toutes et tous attendent l’impression que donne un iPhone en main, avec son côté lourd et ses tranches en métal, même s’il s’agit bien d’aluminium ici.
Mes collègues ont donc tous été déçus en découvrant un téléphone plutôt léger (193,5 g), ou tout du moins plus léger que son design et ses dimensions généreuses (159,2 x 75,8 x 8,3 mm) le laissent penser. La faute sans doute à un design qui laisse présager du premium alors qu’il se situe plutôt du côté du milieu de gamme avec ses tranches en aluminium que le dos en verre Corning Gorilla Glass 5 ne parvient pas à rattraper totalement. L’héritage iPhone est aussi sans doute un peu responsable.
Pour ma part, si je partage cette première impression, il convient de noter qu’après seulement quelques heures de prise en main, dès la première soirée passée à son contact, le form factor du phone (1) a bien vite fait mouche. S’il y a deux types de téléphones, ceux qu’on garde en main en permanence sans trop expliquer pourquoi et ceux qu’on range rapidement dès qu’on en a fini avec eux, le phone (1) appartient clairement à la catégorie de ceux que l’on trimballe en permanence au creux de la paume. Ses coins arrondis y sont sans doute pour beaucoup.
Si nous rapprochons autant le phone (1) de l’iPhone, c’est aussi parce que ses créateurs s’en réclament fortement. Cela se sent particulièrement dans la navigation au jour le jour. Lorsque je consultais des articles ou mes mails, je ressentais une sensation assez proche de celle qui m’habite lorsque j’utilise un iPhone. Si cela reste assez diffus comme sentiment, il est assez aisé d’identifier d’où cela provient : les tranches plates, les larges bordures noires laissent peu de doute quant à l’inspiration de Nothing.
Au passage, signalons tout de même que les bordures s’avèrent pour le moins épaisses que sur d’autres téléphones plus premium. En visionnage de contenu, vous aurez parfois le sentiment de les voir davantage. En jeu aussi, certaines interfaces prévues pour un écran rectangulaire sont légèrement tronquées dans les coins. Le positionnement du poinçon en bas à gauche est un bon point puisqu’il permet de dégager une part importante de l’écran et s’oublie bien vite lorsqu’on utilise le plein écran. Signalons aussi que le téléphone est fourni avec une protection d’écran.
Pour terminer sur le design pur et dur, nous ne nous permettrons pas de juger du bon ou du mauvais goût du dos transparent. Mais avouons-le, avec ses divers motifs (une sorte de bombe au milieu ou encore l’éléphant en bas) et son jeu de textures, le phone (1) se démarque du tout-venant. Signalons tout de même qu’aussi original qu’il puisse être, ce dos n’échappe pas à l’écueil des traces de doigt. La transparence permet au moins que cela soit peu visible.
Vous l’aurez compris, le design fait mouche tout en réussissant l’essentiel de ce que l’on demande de lui : être agréable en main.
Glyphe : redécouvrir le son sur un smartphone
Attardons-nous maintenant sur le point le plus original de ce téléphone. Sa myriade de LED visible en transparence au dos. Lorsqu’elles sont entièrement allumées, elles forment un motif, visible ci-dessous.
Mais la plupart du temps, vous ne verrez pas l’intégralité du dos allumé : le phone (1) intègre dix sonneries et dix sons de notifications qui proposent autant d’animations originales prévues pour les accompagner au mieux. On retrouve donc le principe de la LED de notification, un peu perdue depuis quelques années, mais avec une vraie recherche pour l’amener un peu plus loin. Les animations peuvent se concentrer uniquement sur une partie du Glyphe ou tirer parti de l’intégralité du motif.
Si cela peut paraître un peu accessoire, cela m’a au moins permis de réactiver le son sur un smartphone pour la première fois depuis presque une décennie. L’idée est donc bonne et vous pouvez également utiliser les glyphes en mode silencieux si vous ne supportez pas le sound design.
Ajoutons qu’une option propose de désactiver le son et de n’afficher les notifications que par l’intermédiaire du glyphe si vous posez le smartphone côté écran, avec le dos apparent. J’ai personnellement apprécié cette option qui permet de s’éviter la gêne que peuvent occasionner des alertes sonores tout en restant connectées.
Le seul moment où vous verrez le Glyphe intégralement allumé, c’est lorsque vous l’utiliserez en mode flash pour prendre des photos. Ajoutons que le téléphone intègre également un flash plus classique.
Capteur d’empreinte un poil bas
Pour terminer, attardons-nous sur le reste des forces en présence. Sur la tranche gauche, vous trouverez les deux boutons de volume. Des boutons bien larges et qui produisent un très léger bruit de clic pas désagréable. Juste en face, c’est le bouton d’alimentation, légèrement plus grand, qui part sur la même base.
La tranche du bas accueille le tiroir à double SIM, le port USB-C et un des deux haut-parleurs. Le second est caché dans la bordure supérieure de l’écran comme c’est souvent le cas.
Le phone (1) intègre un capteur d’empreintes sous l’écran plutôt réactif, même s’il n’est pas sans défaut. Son positionnement très bas oblige à tordre un peu la main pour l’atteindre. De plus, l’indicateur qui définit où mettre sa main est plus petit que la véritable zone de contact, ce qui donne l’impression qu’il faut être très précis alors que l’on peut taper un peu à côté. J’ai également eu quelques moments où le capteur ne fonctionnait plus.
Le téléphone est protégé par une certification IP 53 tout à fait honorable pour cette gamme de prix, même si l’on trouve mieux ailleurs comme de l’IP 67 chez le Galaxy A53 de Samsung. Cet IP 53 signifie que le smartphone est protégé contre les poussières, même si elles rentrent dedans. Il est en outre protégé contre la pluie, mais pas contre les projections d’eau ou encore moins l’immersion.
Écran
L’écran du phone (1) est une dalle Oled plate de 6,55 pouces en full HD+ avec un PPP de 402 et taux de rafraîchissement de 120 Hz. Nous l’avons passé au banc d’essais à l’aide du logiciel CalMan de Portrait Displays et de notre sonde.
Nous mesurons une luminosité un peu basse de 656 cd/m², ce qui s’aligne peu ou prou avec notre usage. En cas de luminosité forte, les reflets gênent un peu la visibilité.
De base, le téléphone propose deux modes de couleur. « Alive » est censé proposer des couleurs plus vibrantes, mais moins réalistes et « standard », supposé être plus proche de la réalité. Difficile de vous donner une valeur claire et nette de température de couleurs sur ces deux modes, étant donné qu’ils sont tous deux accompagnés d’une réglette sans cran, permettant de se fixer sur une valeur de référence. C’est un problème, car quiconque voudrait s’approcher d’une valeur neutre devrait utiliser une sonde, équipement que tout le monde ne possède pas forcément chez soi.
On peut toutefois signaler une différence peu importante entre les deux réglages. Si le point blanc sur le mode Alive s’élève à 7600 K, on mesure 7574 K sur le standard.
Si on pousse à fond vers les couleurs froides, le téléphone propose un delta E moyen pas trop mauvais de 4,38. Cela reste tout de même assez éloigné du chiffre cible de 3. Par acquit de conscience, nous avons donc réglé le smartphone sur 6582 K et mesuré ainsi un delta E moyen de 3,45.
Quel que soit le réglage, la couverture des différents spectres colorimétriques est un peu décevante. Le téléphone atteint 123 % du spectre sRGB, 83 % du DCI-P3 et 56 % du BT.2020. Même sur le milieu de gamme, c’est un peu bas.
Le phone (1) intègre l’option always-on, mais elle est désactivée de base.
Logiciel
Pour son premier smartphone, Nothing inaugure une nouvelle interface, intitulée NothingOS, basée sur Android 12.
Ne vous leurrez cependant pas, il s’agit d’une interface claire et épurée, très proche de ce que l’on peut voir sur un Google Pixel 6, mais avec tout de même sa propre identité visuelle et quelques twists pour l’occasion. Nothing a habillé son interface de visuels en pointillés, façon pixel art. On les trouve un peu partout dans les menus, mais également sur les widgets ou l’écran de verrouillage.
Les widgets qui s’avèrent d’ailleurs une des maigres originalités en présence. On peut ajouter une horloge en pointillé donc, un widget météo en pointillé, ou encore une horloge analogique plutôt élégante. Autre mini-originalité : la possibilité d’afficher en 4×4 n’importe quelle icône. Le volet de notifications est également légèrement mieux pensé que sur Pixel, avec notamment la partie réseau qui s’étend en deux bulles plutôt efficaces.
Pour le reste, Nothing OS fait le service minimum, mais aucune fonctionnalité ne manque à l’appel : mode nuit, sombre, lumière nocturne… Les désormais classiques apportés par Android 12 sont là aussi. On retrouve Monet, qui permet d’adapter les couleurs de l’interface au fond d’écran, ou encore le centre de confidentialité ou le petit indicateur vert pour vous prévenir lorsqu’une application utilise le micro ou la caméra.
Expérience fluide malgré quelques bugs
Si Nothing, par l’intermédiaire de son fondateur Carl Pei, a beaucoup insisté sur la valeur qu’il donne à l’expérience utilisateur, la version 1.02 sur le téléphone que nous avons testé n’était pas encore aussi raffinée qu’espéré.
Si l’ensemble est bien fluide, nous avons tout de même pu essuyer quelques bugs. À commencer par l’impossibilité d’utiliser le clavier à deux reprises sans redémarrer le smartphone en une semaine. Citons également quelques lags ici ou là à l’ouverture de certaines applications comme Chrome ou encore Google Discover. Pour continuer sur les quelques imperfections relevées, on peut citer la traduction du « Flip to glyph » en « Retourner au glyphe » un peu risible.
On regrette aussi que le menu personnalisation soit aussi peu fourni. Vous aurez toutefois la possibilité de télécharger un autre launcher ou un autre pack d’icônes si le cœur vous en dit.
Soyons clair, malgré ces quelques anicroches, Nothing OS reste une vraie réussite. C’est la première fois depuis le passage à Android 12 qu’une interface OEM légère, comprendre par là très proche d’Android 12 stock, nous donne l’impression d’être vraiment achevée. Pour un premier essai, c’est donc très bon.
Pour celles et eux que cela intéresse, le Nothing phone (1) intègre également les API de Tesla en bêta et devrait à terme en faire de même pour les AirPods Pro.
Dès leur premier téléphone, Nothing garantit trois ans de mises à jour majeures et quatre ans de mises à jour de sécurité. Un joli coup pour une nouvelle marque, à une époque où d’autres acteurs bien installés sont incapables de fournir la moindre garantie sur ce sujet. En outre, les trois ans de mises à jour d’Android n’ont pas à rougir face à certains mastodontes comme Oppo ou Google. Ils placent le phone (1) à seulement une marche d’un Samsung qui propose désormais quatre ans de mises à jour majeures sur ces Galaxy A53 et A33.
Pour terminer sur l’interface, n’ayez crainte, vous pourrez bien regarder votre série favorite en Full HD sur les plateformes de SVoD, le DRM Widevine L1 est de la partie.
Photo
Plutôt que d’intégrer une multitude de modules photos inutiles, Nothing a opté pour deux modules un peu mieux équipés que la moyenne.
Voici leur fiche technique :
- Capteur 50 mégapixels avec objectif grand-angle (f/1,88) avec OIS et EIS, 24 mm ;
- Capteur 50 mégapixels avec ultra grand-angle (f/2,2), macro 4 cm, EIS ;
- Capteur frontal 16 mégapixels (f/2,45).
Avec le capteur arrière, il est possible de tourner jusqu’en 4K/30 IPS ou 1080/60 IPS.
Capteur principal
Pour un module photo de milieu de gamme, le principal du phone (1) s’en sort convenablement. Sans être renversant, le piqué est correct et permet de capturer les détails d’une grande scène, comme sur le premier cliché ci-dessous. Dans des conditions plus difficiles, comme les clichés 2 et 3, on constate une petite perte de piqué, mais la photo reste convenable. Attention tout de même sur la photo 3 au ciel nuageux, où l’on sent que les algorithmes ne savaient pas trop comment le gérer. Ils s’en sortent tout de même la tête haute.
D’autant que dans certaines situations difficiles, le téléphone est du genre plutôt impressionnant. Regardez par exemple ce cliché de mon collègue. À l’arrière, la fenêtre était en plein contre-jour, mais le smartphone arrive à récupérer beaucoup de détails. Le contre-jour avec la péniche est aussi plutôt maîtrisé, ainsi que le gros plan avec une scène au second plan.
En revanche, lorsque la lumière commence à baisser, le contre-jour va avoir tendance à baisser en qualité. On peut le voir sur les clichés ci-dessous : le piqué sur les arbres s’écroule et l’on aperçoit même un petit voile gris peu chatoyant.
Autre petite anicroche, mais partagée par de nombreux téléphones dans cette gamme de prix, le vert des feuillages et le ciel bleu ont tendance à être un peu trop prononcés.
Dans l’ensemble, on ne boude pas son plaisir sur ce module principal et il répond aux attentes d’un smartphone à 500 euros sans les dépasser non plus.
Ultra grand-angle
Nothing a tenu à équiper son téléphone de seulement deux capteurs, pour éviter le superflu. Le second module est donc un ultra grand-angle.
D’entrée de jeu, on remarque que la colorimétrie s’éloigne des couleurs assez saturées du premier capteur. L’ensemble donne davantage dans le gris.
On perd aussi beaucoup en piqué et en niveau de détails. Cela se voit par exemple sur les façades des clichés 1 et 4 ou encore sur les feuillages du cliché 2.
C’est donc un grand-angle somme toute assez classique qui nous est ici proposé avec une franche perte de qualité, mais qui a le mérite d’offrir un point de vue différent. C’est toujours plus utile qu’un mauvais macro ou qu’un capteur portrait de 2 mégapixels, puisque l’on peut prendre des photos, certes perfectibles, mais exploitables avec.
L’autre atout de ce capteur est qu’il hérite du mode macro. Comme vous pouvez le voir sur la galerie ci-dessous, la mise au point est loin d’être parfaite, mais cela permet d’obtenir des clichés un peu différents.
Portrait
Le mode portrait est plutôt bon, en ceci qu’il est capable d’arriver à un résultat avec flou d’arrière-plan plutôt réussi. En revanche, il faut bien souvent s’y prendre à plusieurs fois pour obtenir ce que l’on souhaite. Lorsque le téléphone détecte un élément en arrière, on a souvent l’impression qu’il préférera ne pas appliquer un filtre de flou de contour.
Également, lorsque vous souhaitez prendre un portrait d’une personne, le glyphe prend tout son sens. On parvient à un résultat moins écrasé qu’avec un flash. En bonus, vous pouvez surprendre votre sujet ce qui donne des clichés plutôt amusants.
Voici une comparaison avec le flash ou avec le glyphe :
Bien sûr, vous pourrez trouver que celle au flash est plus à votre goût que celle avec le glyphe, à nos yeux, le glyphe permet d’obtenir un cliché un peu moins écrasé. On conserve en outre plus d’éléments à l’arrière-plan et le teint de notre sujet paraît plus fidèle.
Nuit
Le phone (1) intègre un mode nuit. Celui-ci a deux problèmes de fond : le temps de pose est souvent trop long, autour des 5 secondes, ce qui donne des clichés flous, et des lens flare peuvent apparaître.
Outre ces deux ennuis, on parvient tout de même à sortir des images convenables, en particulier en intérieur comme en témoignent les premières photos ci-dessous. En extérieur, nous sommes sur un mode nuit qui n’éclaire qu’assez peu la scène, ce qui peut plaire lorsque l’on veut garder un rendu naturel.
L’ultra grand-angle n’est pas aussi compétitif en mode nuit et ses performances s’effondrent un peu.
Selfie
En selfie, on obtient des clichés pour le moins satisfaisant avec un bon focus et sans un lissage trop important, même si la gestion du HDR pour le ciel pourrait être améliorée. Le piqué n’est pas non plus le meilleur jamais vu, mais pour du milieu de gamme, c’est correct. À deux, on obtient des résultats satisfaisants également.
Mode 50 mégapixels
Le mode 50 mégapixels quant à lui permet de gagner en définition pour des images plus précises.
Vidéo
En vidéo, le phone (1) peine à conserver la mise au point efficacement. C’est dommage, car le rendu pourrait être correct avec de belles couleurs vibrantes et la possibilité de filmer jusqu’en 4K/30 FPS.
Lorsqu’on bouge, la stabilisation aide peu et le focus en fonctionne d’autant moins. Y compris en 1080p, comme dans cette vidéo.
On appréciera le mode ralenti plutôt efficace dans ce qu’il propose.
Performances
Le Nothing phone est équipé d’une puce de milieu de gamme, le Qualcomm Snapdragon 778G+ gravé en 6 nm. Le plus dans le nom signifiant que le SoC est légèrement plus puissant que son prédécesseur. On peut l’agrémenter à l’envi de 8 Go à 12 Go de RAM LPDDR5 et de 128 à 256 Go de stockage SSD UFS 3.1.
Sur le modèle que nous avons testé, équipé de 8 Go de RAM, nous n’avons déploré aucun ralentissement d’aucune sorte.
Avant de nous pencher sur les benchmarks d’usage pour voir ce que le téléphone a dans le ventre, nous nous devons de vous prévenir qu’il a été accusé d’être programmé pour « tricher » durant les benchmarks.
Modèle | Nothing phone (1) | Xiaomi Redmi Note 11 Pro Plus 5G | Samsung Galaxy A53 | Oppo Find X5 Lite | Realme GT 2 |
---|---|---|---|---|---|
AnTuTu 9 | 568842 | 437450 | 426366 | 434782 | 784726 |
AnTuTu CPU | 154408 | 125442 | 95643 | 117825 | 190077 |
AnTuTu GPU | 172180 | 126018 | 108263 | 123570 | 305014 |
AnTuTu MEM | 116223 | 79167 | 70664 | 86122 | 140273 |
AnTuTu UX | 126031 | 106823 | 85481 | 107265 | 149362 |
PC Mark 3.0 | 14504 | 10732 | 11272 | 8273 | 13912 |
3DMark Slingshot Extreme | 5512 | 3849 | 3586 | 3767 | N/C |
3DMark Slingshot Extreme Graphics | 5865 | 3981 | 3913 | 4088 | N/C |
3DMark Slingshot Extreme Physics | 4554 | 3449 | 2774 | 2955 | N/C |
3DMark Wild Life | 2819 | 1953 | 2286 | 2016 | 5720 |
3DMark Wild Life framerate moyen | 17 FPS | 11.70 FPS | 14 FPS | 12.10 FPS | 34.3 FPS |
GFXBench Aztec Vulkan/Metal high (onscreen / offscreen) | 22 / 14 FPS | 15 / 9.9 FPS | 15 / 10 FPS | N/C | 42 / 13 FPS |
GFXBench Car Chase (onscreen / offscreen) | 29 / 33 FPS | 21 / 24 FPS | 20 / 23 FPS | N/C | 55 / 63 FPS |
GFXBench Manhattan 3.0 (onscreen / offscreen) | 72 / 80 FPS | 56 / 62 FPS | 55 / 61 FPS | N/C | 60 / 151 FPS |
Lecture / écriture séquentielle | 1637 / 1331 Mo/s | 993.2 / 827.7 Mo/s | 510 / 488 Mo/s | 1014 / 855 Mo/s | 1966 / 743 Mo/s |
Lecture / écriture aléatoire | 66279 / 68394 IOPS | 62376 / 57445 IOPS | 57412 / 50585 IOPS | 58013 / 55727 IOPS | 69077 / 68073 IOPS |
Sans surprise, le phone (1) dépasse d’une tête tous ses concurrents, à l’exception de ceux, comme le Realme GT 2, possédant une puce conçue pour le haut de gamme. Au vu des accusations de triche, nous ne nous attarderons pas davantage sur les benchmarks.
Jugeons plutôt sur pièce avec des jeux, activités intéressantes notamment pour jauger deux points : la qualité du GPU et la dissipation thermique.
Sur Fortnite, malgré l’avertissement en début de jeu selon lequel l’appareil n’est pas officiellement compatible, il est tout de même possible de régler les détails graphiques sur ultra et les IPS sur 60. En revanche, il faudra choisir entre 60 IPS en graphisme élevé ou 30 IPS en Ultra, impossible d’avoir le meilleur des deux mondes.
Le jeu d’Epic Games fonctionne de manière satisfaisante sur le phone (1). On privilégiera le mode 30 avec graphisme ultra plutôt que le mode 60 IPS qui occasionne d’importantes chutes de performances. La chauffe est présente, mais elle ne dépasse pas le niveau à partir duquel continuer à jouer revient à prendre le risque de se brûler les doigts. Cela reste donc dans les limites du raisonnable. Nous avons constaté une chauffe de la batterie jusqu’à 43 °C, ce qui peut l’endommager, mais peu de téléphones évitent cet écueil.
Sur Genshin Impact, nous avons été agréablement surpris également. Le jeu tourne sans encombre sur les réglages moyens et sans trop chauffer non plus. Le phone (1) s’avère donc une vraie bonne machine de jeu.
Batterie
Le phone (1) intègre une batterie de 4500 mAh. Durant notre test, nous n’avons jamais eu de problème pour tenir une journée complète, ce qui vous garantit, avec un usage modéré du smartphone, de tenir une journée et demie si besoin.
Testé à l’aide du logiciel ViSer, qui simule une utilisation programmée du téléphone, le phone (1) a mis 13 heures et 20 minutes à atteindre les 10 % d’autonomie en partant de 100 %. C’est un score bien au-dessus de la moyenne qui confirme notre première bonne impression.
Ceci étant, certains usages semblent plus énergivores que d’autres. Sur Fortnite par exemple, une partie de 10 minutes amène notre autonomie à baisser de 8 points tout de même.
Recharge
Le phone (1) peut se recharger en filaire jusqu’à 33 W, en sans fil Qi jusqu’à 15 W et charge inversée 5 W. On regrette l’absence de chargeur dans la boîte. Ajoutons que le chargeur officiel de Nothing peut monter jusqu’à 45 W, ce qui vous permettra de l’utiliser avec d’autres appareils.
En partant de 21 % d’autonomie, nous sommes arrivés à 30 % en 5 minutes de charge et 40 % en 10 minutes. C’est donc une charge relativement lente.
Audio
Le téléphone intègre des haut-parleurs stéréo. Le volume sonore est assez élevé pour l’entendre, même avec un ventilateur allumé à fond à côté. En revanche, on constate un léger déséquilibre avec la partie droite qui prend un peu le dessus.
La qualité sonore n’est pas époustouflante. Plus on augmente le volume, plus le son se rapproche des aigus. On acquiert au passage un son un peu moins bien défini. Ceci étant, à mi-volume, les basses prennent un peu plus de place et le son est convenable.
Les sons du glyphe sont tous plus ou moins dans le même univers. À mi-chemin entre R2D2 et un bruitage de jeu vidéo de Game Boy. On aime ou on n’aime pas, mais cela a au moins le mérite de proposer un sound design original et encore un peu plus de caractère au téléphone. Ajoutons que les sons se synchronisent avec le glyphe, ce qui donne un effet décuplé.
À l’arrivée, j’ai même pour ma part réalisé que pour la première fois depuis presque 10 ans, j’avais envie de garder mon smartphone en mode sonnerie plutôt que de le plonger en mode vibreur ou silencieux comme je le pratique depuis déjà bien longtemps. Je pense même que l’idée de proposer des sonneries et des sons de notifications pas trop musicaux permet à l’arrivée de garder ces sons à proximité de la sensation offerte par le bruit d’un vibreur. À une époque où tout le monde s’est habitué à ne plus entendre un son émaner d’un téléphone pour prévenir son utilisateur, cela peut aider à franchir le pas. Garder toutefois en tête que certains sons se révèlent trop violents pour être utilisés décemment. Je pense notamment aux alarmes qui, même si elles font l’effort pour certaines de se rapprocher d’une mélodie, ne donnent vraiment pas envie de se réveiller avec.
Réseaux et communications
En appel, le Nothing phone (1) délivre un son globalement clair à l’interlocuteur. Bien qu’un peu compressé, l’ensemble reste compréhensible, même sur un boulevard très fréquenté. Là où cela coince un peu plus, c’est lorsque vous vous taisez. Le micro censé couper laisse en réalité passer un grand nombre de sons. Il tente en outre de les atténuer quelque peu, transformant ainsi, selon mon interlocuteur, des bruits de camion ou de moto en « des bruits de voisin en train de déplacer des meubles ». Je doute que ce soit l’effet escompté.
Le Nothing phone (1) et un téléphone compatible 5G. Il intègre toutes les bandes actuellement exploitées par les opérateurs en France. Ajoutons qu’il fait l’impasse sur les bandes mmWave, comme tous les smartphones de milieu de gamme.
Pour la connectivité, vous pouvez compter sur du Bluetooth 5.2, du Wi-Fi 6 et la présence d’une puce NFC. Signalons que nous ne sommes jamais parvenus à faire fonctionner Google Pay dessus.
Prix et date de sortie
Voici la grille tarifaire du Nothing phone (1) :
- 469 euros en 8 + 128 Go ;
- 499 euros en 8 + 256 Go ;
- 549 euros en 12 + 256 Go.
Il est disponible en deux coloris, blanc (présent dans ce test) et noir.
Questions fréquentes
Nothing phone (1)Qui est Nothing ? Quelle est son origine ?
Nothing est une marque britannique fondée en 2020 par Carl Pei après son départ de OnePlus. Pour se lancer, le chef d’entreprise a levé des fonds auprès d’investisseurs prestigieux tels que Tony Fadell (inventeur de l’iPad), Casey Neistat (YouTubeur à succès) ou Kevin Lin, cofondateur de Twitch.
Le Nothing Phone(1) est-il waterproof ?
Le Nothing Phone(1) est certifié IP53. Cela signifie qu’il est résistant à la pluie, mais ni aux éclaboussures importantes, ni à l’immersion.
[…] sur le secteur audio et s’est ensuite installé sur le marché des smartphones en proposant un premier modèle réussi et une deuxième itération un peu plus orientée haut de gamme. Cette fois-ci, le constructeur […]
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[…] Nothing co-founder Carl Pei determined to take that slippery slope by testing rival smartphones. telephone (1) On the YouTube channel of the Nothing model. A daring and honest method that achieves the […]
[…] To find out more, read our complete test on the Nothing Phone (1). […]
[…] en décembre pour janvier 2023, la mise à jour du Nothing Phone (1) vers Android 13 aura finalement attendu un mois de plus avant de commencer à être déployée. […]
[…] 🚩 Le test complet ▶ https://www.frandroid.com/marques/nothing/1395557_test-nothing-phone-1-telephone […]
[…] phone is in the cards and that it will launch this year, probably a year after the launch of the Nothing phone (1). In an interview with Counterit also specifies that it wants to make the United States the priority […]
[…] sensor and a 12-megapixel ultra wide-angle. A relatively complete equipment which has earned the Nothing Phone (1) to obtain the score of 8/10 during the test carried out by […]
[…] mais ces derniers étaient particulièrement enthousiasmants. On pense au Samsung Galaxy A53, au Nothing phone (1), au Google Pixel 6a, au Xiaomi Redmi Note 11 Pro Plus ou encore à l’Oppo Reno 8. Chacun, à […]
[…] mais ces derniers étaient particulièrement enthousiasmants. On pense au Samsung Galaxy A53, au Nothing phone (1), au Google Pixel 6a, au Xiaomi Redmi Note 11 Pro Plus ou encore à l’Oppo Reno 8. Chacun, à sa […]
[…] se sont puddles long ago: du Xiaomi Redmi Note 11 Pro Plus Ah Samsung Galaxy A53 passing by par les no phone (1), Google Pixel 6a or oppo reno […]
[…] market. smart phone. But year after year, 2022 has seen the emergence of two new brands. We knew Nothing with his phone (1)here comes SPC, with a much less fashion angle, the smartphone for […]
[…] update is being deployed on the Nothing phone (1)but we prefer to stop you right away: no, it’s still not Android 13 who disembarks. Once […]
[…] Encore jeune sur le marché, Nothing a frappé un grand coup avec ses Ear (1). Les premiers écouteurs du constructeur se caractérisent par une réduction de bruit active très performante pour un produit à moins de 100 euros. Le son est d’excellente qualité avec un résultat final très équilibré. Nothing continue d’ailleurs son ascension et a sorti un tout premier smartphone très réussi, le Phone (1). […]
[…] Nothing phone (1) est le premier smartphone lancé par la nouvelle marque de Carl Pei (ex co-patron de OnePlus). […]
[…] Nothing phone (1) est le premier smartphone lancé par la nouvelle marque de Carl Pei (ex co-patron de OnePlus). […]
[…] Nichts telefon (1) ist das erste Smartphone der neuen Marke Carl Pei (ehemaliger Co-Chef von OnePlus). Speer weniger […]
[…] Nada teléfono (1) es el primer teléfono inteligente lanzado por la nueva marca de Carl Pei (ex co-jefe de OnePlus). […]
[…] À l’avant, on aurait droit à un capteur selfie en poinçon situé au milieu de l’écran. Ce que l’on constate cependant, c’est que les bordures de l’écran dans les coins seraient réduites et de la même épaisseur que les bordures sur les côtés. Un design qui s’homogénéise à la manière de ce que propose le Nothing phone (1). […]
[…] votre curiosité est piquée, la lecture de notre test du téléphone vous est […]
[…] En ce qui concerne les caractéristiques techniques globales du Nothing Phone (1), elles sont plutôt bonnes même si tout n’est évidemment pas parfait. Sa dalle de 6,55 pouces coche par exemple toutes les cases d’un bon écran OLED avec une définition Full HD+ de 2 400 x 1 080 pixels et un taux de rafraichissement allant jusqu’à 120 Hz. Il est ensuite propulsé par un Snapdragon 778G+, une puce milieu de gamme chez Qualcomm qui délivre des performances vraiment intéressantes sur cette tranche tarifaire. Voici notre notre test complet. […]
[…] un peu en tarif, le milieu de gamme est, lui aussi, devenu très intéressant avec des Pixel 6a, phone (1) et autre Galaxy […]
[…] un peu en table, le cercle de série est, lui donc, devenu méchamment prenant pile des Pixel 6a, téléphone (1) et méconnaissable Galaxie […]
[…] En ce qui concerne les caractéristiques techniques globales du Nothing Phone (1), elles sont plutôt bonnes même si tout n’est évidemment pas parfait. Sa dalle de 6,55 pouces coche par exemple toutes les cases d’un bon écran OLED avec une définition Full HD+ de 2 400 x 1 080 pixels et un taux de rafraichissement allant jusqu’à 120 Hz. Il est ensuite propulsé par un Snapdragon 778G+, une puce milieu de gamme chez Qualcomm qui délivre des performances vraiment intéressantes sur cette tranche tarifaire. Voici notre notre test complet. […]
[…] it’s going to essentially find yourself on this one when it comes out. When launching the Cellphone with nothing (1)the model had highlighted the truth that its display screen would have the ability to attain a […]
[…] Cellphone with nothing (1) was launched about three months in the past and a number of other updates to its Android interface […]
[…] Telephone with nothing (1) was launched about three months in the past and a number of other updates to its Android interface […]
[…] summer and immediately surprised with its futuristic design, all in transparency. If the design of Nothing Phone (1) is amazing, its technical sheet is also successful, knowing that it obtained the score of 8/10 […]
[…] et a immédiatement surpris par son design futuriste tout en transparence. Si la conception du Rien Téléphone (1) est étonniente, sa fiche technique est également aboutie, sachant qu’il a obtenu la note de […]
[…] e inmediatamente sorprendió con su diseño futurista, todo en transparencia. Si el diseño de Teléfono Nada (1) es increíble, su ficha técnica también es acertada, sabiendo que obtuvo la puntuación de 8/10 […]
[…] Le test 469 € […]
[…] Si le smartphone vous intéresse, rendez-vous sur le test du Nothing Phone (1). […]
[…] Nothing phone (1) est sorti il y a trois mois environ et plusieurs mises à jour de son interface Android Nothing OS […]
[…] 9 ou encore un OnePlus 10T pourquoi pas ? Les amoureux·ses du design citerons probablement le phone (1) et son parti pris si […]
[…] inteligentes Reno estará equipado con el SoC SM7325, es decir, el Snapdragon 778G que ya equipa el Teléfono Nada(1) y Honor 70 para recitar nadie más que ellos. Este chip de Qualcomm destinado a smartphones de gama […]
[…] Reno will be equipped with the SoC SM7325, that is, the Snapdragon 778G that already equips the Phone None(1) Y Honor 70 to recite no one but them. This Qualcomm chip intended for mid-range smartphones opted […]
[…] Reno will be equipped with the SoC SM7325, that is, the Snapdragon 778G that already equips the Phone None(1) Y Honor 70 to recite no one but them. This Qualcomm chip intended for mid-range smartphones opted […]
[…] After months of waiting, we finally tested the phone (1), the first phone from Nothing. A great step for the young company which does not seek above all not to be noticed. Witness the back of the phone, both transparent and covered in places with a pattern of LEDs, serving as a super notification indicator. Snapdragon 778G +, dual 50 megapixel module, 120 Hz OLED screen… On paper, it has nothing to envy its competitors. Let’s see how he does. ⚠️ More info ❓ Let’s roll! 👇 00:00 Is it an iPhone? 00:31 A unique design 01:21 Glyphs and sounds 02:32 And compared to the iPhone? 02:52 NothingOS 04:06 A quality screen 04:20 And the photo? 05:24 Very decent performance 05:43 Autonomy 06:06 Small mention for the fingerprint sensor 06:15 Our opinion 06:29 Bye bye! —————————— 🚩 The complete test ▶ https://www.frandroid.com/marques/nothing/1395557_test-nothing-phone-1-telephone […]
[…] Redmi Note 11 Pro Plus, Galaxy A53, Nothing phone (1), Google Pixel 6a, Oppo Reno 8, Honor 70, mecetera t, etc.. We are not going to lie to ourselves, […]
[…] that its product has too many expectations, a bit like Carl Pei, who called for the hype around the Nothing phone (1) Calm down. You can also imagine that with the multiplicity of potential leaks approaching an […]
[…] before the Nothing phone (1), it was with the headphones that Nothing, the British manufacturer founded by former OnePlus boss […]
[…] Ничего такого. Узнаем, что первый смартфон фирмы, Телефон (1)уже сделал себе имя на Индийский рынок телефоновгде […]
[…] Le test 469 € […]
[…] avait interpellé Carl Pei (fondateur de Nothing) sur Twitter au sujet du suivi logiciel du phone (1). Plus précisément, avait été demandé quand est-ce qu’Android 13 serait déployé sur le […]
[…] in size – only 64.33 MB – but big in what it brings Telephone (1). Nothing OS update 1.1.3 is used to slightly improve the performance of Nothing’s first […]
[…] em tamanho – apenas 64,33 MB – mas grande no que oferece para Telefone (1). Nenhuma atualização para o OS 1.1.3 foi publicada para melhorar um pouco o desempenho do […]
[…] in size – only 64.33MB – but big in what it offers to Phone (1). No update to OS 1.1.3 has been published to slightly improve the performance of the first […]
[…] pour un smartphone qu’elle finira forcément dans celui-ci à sa sortie. Lors du lancement du Nothing phone (1), la marque avait mis en avant le fait que son écran serait capable d’atteindre un seuil de […]
[…] for a smart phone that it will necessarily end up in this one when it comes out. When launching the Nothing phone (1), the brand had highlighted the fact that its screen would be able to reach a brightness threshold […]
[…] обязательно попадет в этот, когда выйдет. При запуске Ничего не телефон (1), бренд подчеркнул тот факт, что его экран может […]
[…] The wide-angle remains of quality with a 50 Mpx IMX766 sensor (the same as the Zenfone 9 where the Nothingphone(1) for example) coupled with optical stabilization, but the ultra wide-angle drops to 8 Mpx (compared […]
[…] bien beau d’avoir un construct qui fait tourner les têtes, mais le Nothing cellphone (1) fait-il aussi bien en ce qui concerne la durabilité et la réparabilité ? Le smartphone de […]
[…] entame cette semaine le déploiement de Nothing OS 1.1.2 sur son phone (1). Cette mise à jour mineure du système (38,28 Mo seulement) permet à la marque d’améliorer […]
[…] bien beau d’avoir un design qui fait tourner les têtes, mais le Nothing phone (1) fait-il aussi bien en ce qui concerne la durabilité et la réparabilité ? Le smartphone de […]
[…] Il s’agit du même capteur que l’on retrouve sur le OnePlus Nord 2/2T ou encore sur le Nothing phone (1) plus récemment. Ce capteur profite d’une stabilisation optique (et électronique) et pourra […]
[…] Il s’agit du même capteur que l’on retrouve sur le OnePlus Nord 2/2T ou encore sur le Nothing phone (1) plus récemment. Ce capteur profite d’une stabilisation optique (et électronique) et pourra […]
[…] wastes no time. Barely released on Thursday July 21, its first smartphone, the Nothing phone (1) receives its first software update with version 1.1.0 of Nothing OS. This new version of the […]
[…] as is currently the case for Nothing. It barely got into the hands of early adopters, and Phone (1) Already experiencing hardware problems […]
[…] le cas actuellement pour Nothing. À peine arrivé entre les mains des premiers utilisateurs, le phone (1) connaît déjà ses premiers problèmes […]
[…] le cas actuellement pour Nothing. À peine arrivé entre les mains des premiers utilisateurs, le cellular phone (1) connaît déjà ses premiers problèmes […]
[…] actuellement pour Nothing. Il vient d’arriver entre les mains des premiers utilisateurs, le téléphone (1) connaît déjà ses premiers problèmes […]
[…] se positionne sur le même segment que le Nothing phone (1), le Samsung Galaxy A53 et le Pixel 6a à […]
[…] C’est la fin de semaines de rumeurs et teasing par la marque elle-même parfois. Le Nothing phone (1) a enfin été officialisé cette semaine. Le premier smartphone de la marque de Carl Pei (ex-OnePlus) a des allures d’iPhone, mais il apporte une petite touche en plus avec son interface Glyph au dos pour les notifications. Nous avons testé la bête qui va à l’essentiel sans fioriture. […]
[…] avons testé le Nothing phone (1) et nous l’avons plutôt apprécié. Mais au fur et à mesure que sa sortie approchait, une […]
[…] avons testé le Nothing phone (1) et nous l’avons plutôt apprécié. Mais au fur et à mesure que sa sortie approchait, une […]
[…] tested the Nothing phone (1) and we rather enjoyed it. But as its release approached, an impression came over us: what if we had […]
[…] is positioned on the same segment as Nothing phone (1)the Samsung Galaxy A53 and the upcoming Pixel […]
[…] avons testé le Nothing phone (1) et nous l’avons plutôt apprécié. Mais au fur et à mesure que sa sortie approchait, une […]
[…] se positionne sur le même segment que le Nothing phone (1), le Samsung Galaxy A53 et le Pixel 6a à […]
[…] away, but nevertheless appreciate the effort that nothing went into designing their first born, Phone (1). What if you can still give this look to your […]
[…] qui n’en apprécie pas moins l’effort apporté par Nothing au design de son premier né, le phone (1). Et si vous pouviez quand même offrir ce look à votre […]
[…] but who nevertheless appreciate the effort that Nothing put into the design of its first born, the telephone (1). What if you could still offer this look to your […]
[…] but who nevertheless appreciate the effort that Nothing put into the design of its first born, the telephone (1). What if you could still offer this look to your […]
[…] but who nevertheless appreciate the effort that Nothing put into the design of its first born, the telephone (1). What if you could still offer this look to your […]
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