Très rares sont les tests de terminaux mobiles ZTE sur FrAndroid, le dernier remonte à fin janvier 2013 avec le ZTE Blade 3. Cela fait long ! En même temps, il faut dire que le fabricant chinois est peu présent en France, si ce n’est à quelques exceptions près. Presque une année après le Blade 3, nous allons désormais découvrir ce nouveau ZTE Blade Q, commercialisé en marque blanche sous le nom de Startrail 4 chez SFR.
Pour début 2014, il est certain que la plupart d’entre vous trouveront le design et les caractéristiques de ce smartphone quelque peu dépassés, et ce même pour un mobile d’entrée de gamme. Dans la même fourchette de caractéristiques techniques, on peut retrouver l’Alcatel One Touch Idol Mini (ou Mobile Sosh) qui présentait, pour le coup, une meilleure optimisation sur sa partie logicielle que son vis-à-vis, le Blade Q. Comme en 2010, ZTE cherche à réattaquer le marché français en proposant des smartphones en marque blanche avec un ZTE Blade Q renommé Startrail 4 chez l’opérateur SFR. À l’heure où des sociétés comme Alcatel One Touch, Huawei ou d’autres arrivent à se démarquer sur le marché européen, on est en droit de s’inquiéter de l’avenir de ZTE, sachant qu’en plus Wiliam Chhao déclarait le grand retour de la marque en France, mais il n’en est rien à ce jour.
Disponible dès 9,99 euros avec forfait ou 199 euros en version nue (soit 40 euros de plus que le prix officiel du Idol Mini en nu), SFR propose donc à ses clients un mobile qui s’accompagne d’un écran de 4,5 pouces en définition FWVGA (480 x 854 pixels), suivi d’un processeur double-cœur de la série MediaTek MT6572 à 1,3 GHz, soutenu par une puce graphique Mali-400 et 1 Go de RAM. En termes de photo, on retrouve le strict minimum avec un capteur dorsal de 5 millions de points et une webcam de 0,3 mégapixel. Côté compatibilité avec les réseaux mobiles, il faudra seulement se contenter de 3G+ avec 21 Mbit/s en débit théorique maximum lors de la réception de données. Plus grand, plus épais et plus lourd qu’un Idol Mini, le Startrail 4 affiche des dimensions de 135 x 67 x 9,5 mm pour un poids de 139 grammes avec un DAS de 0,475 W/kg et une batterie de 1800 mAh.
À quoi peut-on s’attendre avec le ZTE Blade Q ? Nous allons découvrir cela ensemble dans la suite de ce test.
Contenu de la boîte
- un smartphone ZTE Blade Q (Startrail 4 by SFR)
- un câble filaire de charge et transfert de données micro-USB
- un adaptateur secteur de charge (français)
- un kit mains libres filaire standard
- divers manuels (guide d’utilisation, mentions légales, etc.)
Fiche technique
Modèle | ZTE Blade Q « Startrail 4 » |
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Version | Android 4.2.2 « Jelly Bean » |
Écran | 4,5 pouces |
Technologie | TFT |
Définition | 480 x 854 pixels (FWVGA) |
Résolution | ~ 218 pixels par pouce |
Protection contre les chocs et les rayures | Non |
SoC | MediaTek MT6572 |
Architecture | ARM Cortex-A7 |
Nombre de cœur | 2 (double-cœur) |
Vitesse du processeur | 1,3 GHz |
Gravures | 28 nanomètres |
Puce graphique (GPU) | Mali-400 MP1 |
Mémoire vive (RAM) | 1 Go |
Mémoire interne (ROM) | 4 Go (1,77 Go accessibles) |
Support micro SD-HC | Oui (jusqu’à 32 Go) |
Caméras | arrière : 5 mégapixels avant : 0,3 mégapixels |
Carte SIM | Oui (taille standard) |
Wi-Fi | Oui (802.11 b/g/n) |
Bluetooth | Oui (4.0 avec A2DP) |
Réseaux | 2G : GSM 900 / 1800 / 1900 3G : HSDPA 900 / 2100 |
Vitesse internet | Jusqu’à 21 Mbit/s en réception de données |
GPS | Oui (avec A-GPS) |
NFC (Near Field Communication) | Oui |
Capteurs | Accéléromètre, Boussole, Proximité Luminosité, Orientation, Magnétique |
Port micro-USB – HDMI | Oui – Non |
Sortie jack 3,5 mm | Oui |
Tuner FM (Radio) | Oui, standard |
Amélioration sonores | Non |
Batterie | 1800 mAh |
Dimensions | 135 x 67 x 9,5 mm |
Poids | 139 grammes |
DAS/SAR | 0,475 W/kg |
Prix conseillé | 9,99 euros (avec forfait) 199 euros (mobile seul) |
Prise en main
Au premier abord, le ZTE Blade Q n’est pas déplaisant à l’œil. Bien sûr, on déduira assez facilement qu’il s’inspire énormément du design de smartphones tels que les Google Galaxy Nexus, Samsung Galaxy S3 ou encore Wiko Cink Slim sur la face avant. En soi, il n’est pas déplaisant et épouse plutôt bien les formes de la main, en offrant un confort assez appréciable. Cependant, il faudrait sincèrement que les constructeurs songent à renouveler leur ligne de design, cela devient presque irritant de retrouver ce même design à la longue, et de surcroît sans aucune évolution.
Contrairement à des appareils comme les Moto G ou Idol Mini, je suis forcé d’admettre que le produit craque en main. Dès lors que l’on appuie un peu sur les bordures à l’arrière, les craquements se font clairement ressentir et entendre, et ce, que ce soit en mode portrait ou paysage… Du coup, la question fatidique de la durabilité du produit dans le temps se pose. Qu’en est-il du smartphone après 3 ou 6 mois d’utilisation ? Nous nous interrogeons.
Au-dessus de l’écran tactile TFT de 4,5 pouces en définition FWVGA (définition d’un Moto Droid sorti fin 2010), on remarque la présence d’une caméra frontale de 0,3 mégapixel, suivie par un capteur de proximité et un capteur de luminosité. À l’occasion, cette webcam sera utile pour faire du Hangouts ou du Skype, mais ne comptez clairement pas réaliser de superbes vidéos. Ce n’est pas du tout l’objet de l’appareil.
En bas du mobile, ZTE a opté pour des touches sensitives tactiles. C’est un choix discutable, certains aiment avoir une implémentation logicielle qui est fidèle aux guidelines d’Android 4+, là où d’autres ne tolèreront aucune perte sur l’espace de leur écran tactile.
Sur les tranches aussi en plastique, on retrouve un mini-jack audio de 3,5 mm et le bouton d’alimentation à sa tête, suivi des touches de volume (+ / -) sur le flanc gauche, ainsi qu’une entrée/sortie micro-USB et un microphone sous le talon de l’appareil. La tranche droite étant, pour le reste, dépouillée.
Sur la coque arrière, on retrouve le nom du mobile et le nom de l’opérateur, qui ont été apposés en lettres capitales, accompagnés un peu plus bas par un logo with Google. Concrètement, cette signification veut tout simplement dire que les mises à jour passent par le processus de validation de Google. En clair, c’est un peu comme la quasi-totalité des produits sous Android… Juste un effet de style que SFR aime mettre en avant depuis le HTC Magic.
En haut, on retrouve un appareil photo de 5 millions de pixels qui réalise des photos et vidéos correctes sans casser trois pattes à un canard, soutenu par un flash de type LED et un second microphone. Tout en bas de la coque se situe un haut-parleur mono d’une qualité acceptable. Quand je dis acceptable, je ne veux pas dire que la qualité est bonne ou exceptionnelle, mais exploitable au quotidien pour regarder des séries TV ou des films.
Une fois la coque arrière détachée, on remarque tout de suite la présence de cette plaque noire qui est en réalité utilisée par la technologie sans-fil NFC, que l’on connait aussi sous le nom de Near Field Communication. À côté de cela, on retrouve un emplacement SIM standard (taille classique d’une SIM), adossé à un port micro-SD compatible jusqu’à 32 Go et une batterie de 1800 mAh (soit 100 mAh de plus que l’Idol Mini de 1700 mAh).
En apparence, le produit est assez bien fini et ne présente aucun défaut majeur. Mais comme nous le précisions un peu plus haut, le principal problème demeure dans ses craquements qui rendent le produit vraiment bon marché et donc peu qualitatif. En main, on a l’impression de tenir un jouet assez fragile et peu robuste que l’on a peur de casser à tout moment, même si c’est un peu exagérer la chose.
Qualité écran
Équipé d’un écran TFT de 4,5 pouces en 480 x 854 pixels avec une résolution d’environ 218 pixels par point, il faut dire que la qualité de l’image est pratiquement identique. Bien que nous ne possédions plus l’Idol Mini, il faut tout même avouer que les couleurs et les contrastes étaient plus fidèles sur ce dernier, sauf sur les angles de vision où le ZTE Blade Q l’emporte avec des couleurs qui ne fléchissent pas.
À présent, nous allons passer à la comparaison des couleurs qui a été réalisée avec les moyens du bord. Dans l’ordre, nous avons :
le ZTE Blade Q en TFT à gauche – le Motorola Moto G en IPS-LCD au milieu – le Google Galaxy Nexus en Super AMOLED à droite
Ici, vous confirmerez que le résultat est sans appel pour le Blade Q qui se fait terrasser par un Moto G qui affiche des couleurs plutôt fidèles pour le coup, et un Galaxy Nexus qui est loin d’être réputé pour avoir de magnifiques couleurs. De manière générale, l’écran est plutôt réactif en utilisation, mais les couleurs fades viendront rapidement estomper et transformer notre positivité en négativité devant cet écran assez passable au final.
Interface logicielle
À l’instar d’un Idol Mini, le ZTE Blade Q est aussi installé sur la version d’Android 4.2.2 Jelly Bean au déballage. En termes de maniabilité, le mobile d’Alcatel est tout de même mieux optimisé, même si ZTE s’est quand même plutôt bien débrouillé de ce côté-là. Bien qu’il y ait déjà eu une mise à jour logicielle visant à corriger des bugs, je ne pense pas qu’il faille acheter ce mobile dans le but d’obtenir de grosses mises à jour régulières, sachant qu’il devrait logiquement naitre et conclure sur Android 4.2.2. Dans le meilleur des cas, il profitera d’Android 4.3, mais certainement pas au-delà.
Les inconditionnels d’Android stock retrouveront très certainement leurs repères dans l’expérience brute qu’a su préserver le constructeur sur cette version d’Android 4.2.2 préinstallée. Il y a bien quelques ajouts ici et là, mais ils se limitent seulement à des options additionnelles comme l’affichage du pourcentage de la batterie, le programme d’allumage automatique et les profils audio habituels, ainsi que quelques applications natives supplémentaires (À faire [todolist], Dictaphone, Radio FM, Sauvegarde et restauration des données via SD et toute la panoplie d’applications SFR). En parlant d’applications SFR, il y en a pratiquement 10, même si 8 d’entre elles peuvent être désinstallées à souhait. Heureusement dira-t-on.
Pour l’avoir testé en VoIP avec l’application Fring, il faut dire que la qualité sonore reste très correcte en conversation, et ce, dans les deux sens. Sur les réseaux mobiles, il accroche plutôt bien, même s’il aura quand même une portée moins élevée qu’un Moto G ou qu’un Idol S pour l’exemple. Côté GPS, le premier test de fix qui a été effectué sur Google Maps était tout simplement sans résultat. Après l’avoir retenté plus loin en remontant la rue, la localisation GPS a finalement réussi à se faire en plus de 30 secondes devant le Rex à Paris. Résultat assez moyen pour le coup.
Sachant que l’Idol S avait réussi à se synchroniser avec 9 satellites à quatre mètres en moins de 15 secondes, c’est un peu dommage pour le coup. Résultat des courses, le Blade Q fait moins bien avec plus de 30 secondes d’attente avec seulement 5 satellites à un maximum de 6 mètres. Et encore, ce résultat a été obtenu après plusieurs essais. Dans la plupart des cas, je ne sais pas si cela est dû aux serveurs de MediaTek ou à la puce GPS, mais elle ne veut tout simplement pas se fixer. C’est bizarre, car c’est théoriquement la même puce GPS qui est installée dans l’Idol Mini qui a le même CPU.
Appareil photo
Avant de faire un point sur la qualité photo et vidéo, il n’est pas impossible que certains d’entre vous se posent la question quant à la partie logicielle. À dire vrai, l’application dédiée à l’appareil photo ne change pas vraiment de l’originale d’Android, si ce n’est l’implémentation de modes de détection de sourires.
En termes de qualité photo, le StarTrail 4 n’est pas mauvais pour un mobile d’entrée de gamme, et s’apparente aux résultats que l’on obtient sur des mobiles aussi d’entrée de gamme chez d’autres constructeurs qui possèdent des caractéristiques identiques. Hélas, le principal défaut de ces capteurs se remarque tout de suite en faible luminosité, où ils ont tendance à ralentir beaucoup, et donc à ternir la qualité globale de l’image en situation.
Comme on pourra le constater sur les quelques exemples qui sont présentés à la suite, les photos ne sont pas médiocres, mais il faut savoir que l’optimisation logicielle est parfois en cause. Et ce même si les optimisations de ZTE ne sont pas mauvaises, on s’apercevra très facilement des limites de ce dernier dès lors que l’on commence à faire du HDR ou la détection de sourire en constatant des temps de latence plus ou moins importants.
Exemple 1 « Extérieur Normal » :
Ce premier exemple a été réalisé en plein jour vers 14h30, je le conçois, le temps n’était pas vraiment joyeux. Quoi qu’il en soit, on constate tout de suite la principale faiblesse des capteurs d’entrée de gamme qui sont, comme vous l’avions évoqué plus haut, la faible luminosité.
Exemple 2 « Extérieur HDR » :
Avec le mode HDR, vous pourrez facilement pallier ce problème, mais la qualité de la photo en prendra un coup avec des parties plus claires que d’autres. Il suffit de visualiser plusieurs parties de l’image pour le constater. C’est flou en bas, alors que c’est tout le contraire en haut.
Exemple 3 « Intérieur Normal » :
Éclairée par une lampe photographe, le constat est identique avec une qualité acceptable, mais qui faiblit toujours autant (voir Bugdroid noir).
Avec le capteur dorsal, il est capable d’enregistrer des vidéos en haute définition (720p) sans ralentissement notable.
Performances
Pour ce qui est des performances, elles sont assez similaires à ce que l’on peut retrouver dans un Alcatel One Touch Idol Mini ; que beaucoup connaissent également en tant que Mobile Sosh. Cependant, il est certain que l’optimisation des performances est moins bonne sur un ZTE Blade Q. Là où Google Maps présentait des ralentissements modérés sur le mobile Sosh, on s’inquiétera un peu plus du Blade Q qui a beaucoup plus de mal. Pour se faire une idée des performances, l’app de GMaps avec ses éléments vectoriels est un très bon moyen de constater l’optimisation d’un terminal.
En ce qui concerne les résultats obtenus sur les outils de mesure de performances, on se rapproche en tout point d’un Alcatel One Touch Idol Mini. Hélas, les benchmarks ne font pas tout et ne témoignent pas toujours des performances brutes d’un appareil. À la suite, vous retrouvez un tableau comparatif avec d’autres mobiles d’entrée de gamme.
Acer Liquid Z5 Duo | Quechua Phone 5 | ZTE Blade Q | Liquid E1″>Acer | 104.27 Mflops | 51,781 Mflops | 56,226 Mflops | Liquid E1″>27,139 Mflops | 118.114 Mflops | 104,632 Mflops | 79,937 Mflops | Liquid E1″>31,24 Mflops | 4338 pts | 4251 pts | 3343 pts | Liquid E1″>2 517 pts | 11340 pts | 11228 pts | 10753 pts | Liquid E1″>6 210 pts | Productivity : 2293 Gaming : 1957 |
Productivity : 3796 Gaming : 2133 |
Productivity : 2100 Gaming : 1856 |
Liquid E1″>/ | 48,1 fps | 59,3 fps | 53,2 fps | Liquid E1″>45,7 fps | 38,5 fps | 38,2 fps | 40,0 fps | Liquid E1″>23,9 fps |
AutonomieSur ce mobile, le point noir est bien l’autonomie… À 80%, 10 minutes plus tard à 50%. Alors que la batterie n’a en réalité pas bougée. Il faut vraiment que ZTE règle ces soucis logiciels, car le pourcentage de la batterie est souvent, voire trop souvent trompeur ! Prêtant ainsi l’utilisateur à confusion, et c’est bien dommage. Que ce soit en utilisation normale ou en mode avion, les tests d’autonomie ne nous ont pas du tout laissés rêveurs. Loin de là. Sur 1h04 de vidéo avec le mode avion, le Wi-Fi activé, la luminosité et le volume à 100%, le ZTE Blade Q aura perdu 17% de batterie (partant de 99% jusqu’à 82% de batterie). Avec les réseaux mobiles et la synchronisation activés, vous pouvez compter 15 à 20% de consommation en plus, laissant ainsi la batterie à 70% de vie, au lieu des 82% obtenus en mode avion. Des résultats moyens qui avaient été plus concluants sur l’Idol Mini. Oui, je fais souvent allusion au Mobile Sosh, mais il faut comprendre que ce dernier se défend bien mieux que le Blade Q sur presque tous les points.
Conclusion
DisponibilitéEn France, le ZTE Blade Q (alias Startrail 4) est disponible à 9,99 euros avec n’importe quel forfait SFR (Carré 2h + 500 Mo, Carré 24h/24 + 500 Mo, Carré 24h/24 + 3 Go, etc.) en noir ou en blanc. Il est également disponible avec un forfait RED sans engagement à 109 euros ou version nue à un tarif de 199 euros. Rendez-vous sur SFR.fr pour de plus amples informations. |
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J'ai actuellement ce smartphone. C'est simplement une vrai daube. Lorsque je l'ai eu il y a 11 mois pour 190€ (vous ne rêvez pas), j'étais assez content. Je ne m'y connaissais pas en smartphones, alors pour moi, le passage à Android était fantastique. Mais je me suis vite rendu compte des capacités matérielles qui ont atteintes leurs limites dans les premiers mois. Ce téléphone n'est même pas compatible H+, simplement 3G+ 14 Mbps. Sinon, il vient de rendre l'âme ce soir. Franchement, à éviter, pire, ne pas y songer!
Après sept mois d'utilisation et une mauvaise chute, il fonctionne encore très bien. C'est sur qu'au niveau du système les mises a jour ne sont pas fréquentes, et je n'ai pas de problèmes au niveau du pourcentage de batterie : le téléphone tient une bonne journée avec une uutilisation normale.
109e cher sfr, pour une utilisation normal et quelque appli bien selectionné c'est un portable pour monsieur tout le monde
Bonjour oui il est à 9.99e mais avec un forfait à 39.99e aussi.
Depuis le 15/04/2014, une mise à jour logicielle est disponible pour le Smartphone Android by SFR STARTRAIL 4. Cette mise à jour apporte : - l'amélioration du fonctionnement de la batterie sous couverture 3G, - la correction d’une anomalie de SMS avec les BlackBerry.
[…] une gamme complète de Blade Q, dont un modèle « standard » (lire notre test du ZTE Blade Q), une version Maxi et une déclinaison Mini qui nous intéresse aujourd’hui. En […]
[…] son retour en fin d’année avec une gamme complète de Blade Q, dont un modèle « standard » (lire notre test du ZTE Blade Q), une version Maxi et une déclinaison Mini qui nous intéresse aujourd’hui. En France, seuls les […]
Bidon, ZTE avait bien fait le ZTE Blade, Skate, Blade S, pour l'époque c'était correct par rapport a la concurrence, mais là c'est n'importe quoi !! chère et bidon.... bye bye ZTE...
Quels genres de problèmes :s ??
Je l'ai eu en noir, à 60€ (ODR de 40€ sfr en décembre + 10€ buyster) et pour ce prix là je ne regrette pas du tout! De plus garantie 2ans sfr (penser à garder le bordereau de livraison et une copie de la synthèse)!! Le seul vrai point noir de ce téléphone reste la difficulté à envoyer des sms sur des vieux téléphones comme les blackberry ou nokia non tactiles (des "@" ou des "carrés" apparaissent dans les sms) Le remède: installer une application sms qui remplace celle d'origine.
110 ou 200€ c trop cher, j'ai que des catas avec ce tel !
Ce mobile ne coute que 109 euro avec un forfait sans engagement Sfr RED. (et pas 199euro). C'est donc 40% moins chère que le motorola moto g.
Pour moins cher. tu as le wiko cink peax 2 quad core écran 4,5 pouce qhd. Ou bien le moto g.<i>-------<a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.frandroid.app">Envoyé depuis l'application FrAndroid pour smartphone</a></i>
c'est juste que si on parle de l'dol mini à 99 chez sosh faut aussi parler du zte à 109 chez red et non donner le prix de 199 après le reste je m'en tape, ni l'un ni l'autre ne m'attirent
Même les modèles archos font quand même bien mieux, non ? -------Envoyé depuis l'application Humanoid pour tablette
"L’Idol Mini à 99 euros ou le Moto G à 169 euros font bien mieux.", tout dépend de ton budget après. :-)
"Vendu à 9,99 euros avec forfait, c’est correct ! Mais ne vous faites pas avoir à 199 euros en mobile seul, vous risqueriez d’être déçu par la finalité et la finition globale de ce ZTE Blade Q." Et à 109.99€ avec un forfait RED sans engagement , c'est correct ou pas ?
trop cher pour ce que c'est ! loin de moto g !
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