Test du Cat B15Q, le smartphone de chantier increvable

Smartphones • 2014

Le Cat B15Q, que nous avions déjà pris en main lors de sa présentation en France, est un smartphone robuste comme il en existe déjà quelques-uns sur le marché. Les constructeurs ne communiquent en général que peu sur ces produits, destinés à des marchés de niche. Sauf qu'ici, Caterpillar pense qu'un tel smartphone peut s'avérer aussi pratique pour un ouvrier travaillant dans des conditions extrêmes que pour une population à la recherche d'un appareil pratique dans la vie de tous les jours et à l'abri des chocs. Alors que vaut donc un terminal de ce calibre ?
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En bref
Cat B15Q

6 /10
Points positifs du Notre Verdict
  • Résistance
  • KitKat
Points négatifs du Notre Verdict
  • Autonomie
  • Ecran
  • Poids élevé

Ce test a été réalisé le 19 Octobre 2014 et le marché a peut-être évolué depuis. Consultez notre comparatif pour découvrir des produits plus récents potentiellement plus pertinents pour vous.

 

Fiche technique

Le Cat B15Q bénéficie d’une fiche technique très basique avec la présence d’un écran de 4 pouces à la définition de 480 par 800 pixels (environ 233 ppp), le tout sur une dalle TN et protégé par du verre Gorilla Glass. Pour animer le smartphone, c’est un processeur Mediatek qui a été choisi : le MT6582, en quadruple-coeur, qui bénéficie d’une architecture Cortex-A7. On y trouve également 1 Go de mémoire RAM, un stockage interne faible de 4 Go mais extensible via micro-SD jusqu’à 32 Go. La caméra dorsale du smartphone affiche 5 mégapixels et la batterie plafonne à 2000 mAh. Il est aussi compatible 3G, Bluetooth 4.0 et WiFi 802.11 b/g/n. Il affiche des dimensions de 125 x 69,5 x 14,95 mm pour un poids de 170 grammes. Rien de flamboyant, mais ce n’est évidemment pas la promesse de ce terminal.

Modèle Cat B15Q
Version Android 4.4 KitKat
Taille d’écran 4 pouces
Technologie TN
Définition 480 x 800 pixels
Résolution 233 ppp
Protection contre les chocs et les rayures Verre Gorilla Glass
SoC MediaTek 6582
Architecture ARM Cortex-A7
Nombre de cœur 4
Vitesse du processeur 1,3 GHz
Puce graphique (GPU) ARM Mali-400
Mémoire vive (RAM) 1 Go
Mémoire interne (ROM) 4 Go
Support micro SD 32 Go
Caméras 5 mégapixels (dorsal)
VGA (frontal)
Carte SIM SIM classique
Wi-Fi 802.11 b/g/n
Bluetooth 4.0
Réseaux 3G
BF 850/900/2100 MHz
GPS Oui, A-GPS
NFC Non
Capteurs Accéléromètre, proximité, luminosité
Port micro-USB Micro-USB 2.0
Tuner FM (Radio) Oui
Batterie 2 000 mAh
Dimensions 125 x 69,5 x 14,95 mm
Poids 170 grammes
Indice DAS/SAR (W/kg) NC
Prix conseillé 350 euros

Son univers à lui, c’est la protection. Le Cat B15Q fait partie de cette catégorie de smartphones « rugged » qu’on traduit généralement par « durcis ». Le marché français semble de plus en plus intéressé par ce genre d’appareils – même s’il reste un objet de niche –  comme en témoigne la commercialisation prochaine de la Samsung Galaxy Tab Active en Europe. Du coup, le Cat B15Q est équipé d’un verre de protection Gorilla Glass 2 et de la certification IP67 qui lui permet de résister à l’eau et à la poussière. Il peut subir des chutes de 1,80 mètre sans sourciller ou être utilisé dans des conditions et températures extrêmes (entre -20°C et 55 °C). Il possède également une certification militaire : la 810G (norme militaire pour résister aux températures extrêmes, à la pression, au sel, aux vibrations, aux chocs ou encore à l’eau et l’humidité)

 

Un physique de brute

Avez-vous déjà vu un engin de construction Caterpillar et un pneu de tracteur ? Si ces deux engins avaient un enfant, il ressemblerait certainement au Cat B15Q. Vous l’aurez compris, la beauté n’est pas son créneau, et ce molosse du smartphone n’a pas vocation à cela. Et dans son genre, à coté d’un Samsung Galaxy Active par exemple, il fait également figure d’épouvantail.
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Le téléphone arbore la trogne propre aux appareils durcis, avec un format hexagonal pour bien protéger les différentes tranches du mobile et amortir les chocs. Ses tranches, d’ailleurs, sont entourée d’une couche de caoutchouc légèrement mou dont les parties contenant la connectique sont remplacées par une couche d’aluminium vissé. La tranche droite comprend les touches de volume, tandis que la tranche gauche abrite le port micro-USB. En haut du mobile, on ne trouve que le bouton d’allumage et le port Jack 3.5 mm, caché par un rabat en plastique.
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La face arrière est telle un engin de chantier, avec le sigle CAT gravé en gros, en l’aluminium. On y trouve également le capteur dorsal, ainsi qu’un flash LED, la grille de haut-parleurs et un loquet pour déverrouiller cette coque arrière et accéder à la batterie (oui, elle est amovible).
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Malgré son épaisseur et sa largeur, son format de 4 pouces permet d’avoir une prise en main des plus classiques, avec les boutons de volume et d’allumage de l’écran qui se situent pile au niveau du pouce. Bref, le mobile n’a rien d’un Apollon et il est difficile d’émettre un avis spécifique dessus. Il est fait pour la résistance, et de ce point, semble justement bien fait.

 

Une dalle TN comme on ne les aime pas

L’écran de 4 pouces du Cat B15Q se place sur une dalle TN (Twisted Nematic) qui offre des angles de vision assez détestables en temps normal. Il faut savoir qu’il existe une version « haut de gamme  » de ce smartphone, qui est équipée d’une dalle IPS. Mais du coup, le format réduit le mauvais effet inhérent aux dalles TN : les reflets verticaux. Effectivement, l’écran a une fâcheuse tendance à se noircir lorsqu’on le tient en face de soi. C’est particulièrement le cas lorsque l’écran est très grand, comme on a pu l’observer sur l’écran de la HP Slate 7 VoiceTab. Ici, c’est encore acceptable, mais cela n’en fait pas un bel écran.

Les fuites sont bien visibles
L’espace entre la dalle et la vitre est évidemment très marqué

Certainement pour la résistance du produit, l’espace entre la dalle et l’écran est du genre immense. C’est grosso modo ce qu’on avait observé sur l’Archos 45 Helium. Et cet espace nous permet de constater les nombreuses fuites de lumière sur tout le pourtour de cet écran. Il donne aussi de drôles d’effets aux couleurs, pourtant assez fidèles et peu saturées. Le noir n’est jamais vraiment noir, et le gris hésite à aller vers le blanc.

La résolution n’est pas convaincante non plus (233 pixels par pouce) et de nombreux pixels sont visibles. Quant à la luminosité, elle est plutôt bonne. Le traitement Gorilla Glass permet aussi d’avoir un écran qui se nettoie facilement, encore heureux pour un mobile censé pouvoir être lavé au robinet.

 

Android Stock

Pas de fioritures, le Cat B15Q n’est pas là pour ça. Lui, ce qu’il souhaite, c’est être léger, fluide, et facile à utiliser. Du coup, c’est une version stock d’Android qui se cache sous la carlingue du terminal, et on ne trouve que 2 ou 3 ajouts sur cette version.
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Le clavier SwiftKey est intégré d’office, tout comme une application aussi peu utile que géniale : Shark Tracker. Elle permet de suivre les déplacements de requins – oui, en temps réel – marqués et pucés par l’organisation Ocearch qui est en partenariat avec Caterpillar. Par exemple, si vous êtes en vacances à Povoa de Varzim, au Nord de Porto (Portugal), ne soyez pas étonné de voir un aileron passer à côté de vous pendant votre baignade. Vous êtres prévenus.
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Il faut se rappeler que le Cat B15Q est le premier smartphone « durci » à sortir sous une version moderne d’Android. Ici, c’est KitKat 4.4.2 qui anime le mobile, et évidemment, sur une version stock d’Android, la fluidité est largement au rendez-vous. Le terminal remplira à merveille la fonction à laquelle il est destiné : faire des choses simples, rapidement, et sans planter.

 

Performances

Et pour assurer logiciellement, il faut tout de même qu’il possède des performances honorables. Il fallait donc effectuer quelques benchmarks pour s’en assurer, et confirmer ce que nous avions vu lors de notre prise en main du smatphone. Justement, c’est le processeur MediaTek MT6582, en version quadricœur et cadencé à 1,3 GHz, qui équipe cet appareil. Le processeur n’est pas réputé pour sa grande puissance mais on le trouve sur de très nombreux téléphones. C’est le pendant Mediatek du Snapdragon 400.

Grâce à un écran à la définition faible, le Cat B15Q s’en tire très bien sur AnTuTu avec un score de 18795 points. Même sur Métal de Vellamo, qui teste les performances individuelles des coeurs du CPU, la bonne optimisation lui permet d’atteindre 670 points, environ autant qu’un Motorola Moto G. Pourtant il ne faut pas s’y tromper, le mobile signé Caterpillar est un peu moins habile.

Benchmark/Modèle Cat B15Q
AnTuTu 18795 points
Vellamo (Multicore) 1231 points
Vellamo (Métal) 670 points
3D Mark
(Ice Storm Unlimited)
2874 points

S’il peut paraître peu pertinent de juger de sa tenue sur un jeu alors qu’il n’est pas vraiment destiné à cet usage, cela permet au moins de voir ce qu’il vaut sur la durée. Et après 20 minutes de jeu, avec des graphismes moyennement gourmands, le mobile ne semble pas faiblir. Pas de chauffe particulière non plus à signaler.

Notre constat, c’est que le mobile est fiable et ne souffre pas de ralentissements particuliers. Finalement, un SoC basique couplé à un logiciel basique, tous deux destinés à faire des choses basiques, sont a priori un pari bien peu risqué mais gagnant.

 

Communication et réseau

GPS

Souvent, on reproche aux puces milieu de gamme de MediaTek d’avoir une accroche satellite parfois moyenne. Certains mobiles mettent un certain temps avant de réussir à fixer un GPS, et ce mobile, destiné à des travailleurs, ou des baroudeurs – même si Caterpillar s’en défend en voulant en faire un appareil « grand public » – doit bénéficier d’une puce GPS performante. Malheureusement ce n’est pas le cas. Le mobile met un temps fou à fixer des satellites. Il nous aura fallu trois essais pour réussir l’exploit d’en fixer six.

GPS
Et soudain, miracle…

Appels

Le téléphone n’est pas 4G, et c’est dommage. Mais il est 3G, et ne souffre pas des mêmes problèmes d’accroche avec le réseau que ceux rencontrés avec le GPS. C’est déjà un bon point. Quant à la qualité des appels : le son n’est pas hyper agréable, avec des aigus très prononcés. Du coup, le son en appel sature, même quand le volume n’est pas réglé à son maximum. Le port SIM est d’ailleurs assez déroutant puisque le mobile est double SIM et elles s’insèrent l’une au dessus de l’autre. On peut perdre de longues minutes à comprendre le fonctionnement, et mieux vaut utiliser le manuel fourni avec le mobile. Et pour la retirer… bon courage.

 

Photographie

Là, on a failli toucher au mystique. Chez les e-commerçants, et sur le site officiel de Caterpillar, le smartphone affiche un capteur dorsal – a priori – honorable de 5 mégapixels. Pourtant, lorsqu’on accède aux réglages de celui-ci, on ne peut sélectionner qu’un format : 1 mégapixel. En regardant chez nos confrères, on s’aperçoit qu’il n’est pas non plus fait mention d’un capteur de 5 mégapixels, mais d’un capteur de 1,3 mégapixel. D’ailleurs, les images faisant 1280 x 768 pixels, il s’agit plutôt 0,98 mégapixel. C’est à n’y rien comprendre.

Du coup, pour un seul et malheureux mégapixel, on a presque envie de trouver des qualités aux clichés. Les capteurs permettent largement de dépanner, à condition qu’on réussisse à obtenir de bonnes conditions de luminosité. La mise au point est plus facile que sur d’autres smartphones d’entrée ou milieu de gamme, et le déclenchement est également assez rapide. Un drôle de capteur, mais un efficace.
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Mais en fait, le réglage standard est fixé sur 1 mégapixel. Et il faut passer l’option « taille de l’aperçu » de « plein écran » à « format 4:3 » pour que les autres résolutions apparaissent. Ainsi, on peut sélectionner la résolution maximale de 5 mégapixels et effectuer des clichés avec beaucoup plus de détails. La luminosité n’est pas forcément gérée au mieux, mais on a vu franchement pire, comme en témoignent les photographies ci-dessous.

1 MP
1 MP
5 MP
5 MP

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Autonomie

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Qu’est-ce qui parait très important quand on possède un tel smartphone ? Avoir une bonne autonomie, bien sûr. Mais le problème, c’est que ce n’est pas le cas du Cat B15Q. Sur notre test d’endurance, qui consiste à lancer une vidéo d’une heure en luminosité maximale, il ne s’en sort pas si mal avec une perte de 19 % de batterie. Mais c’est tout de même assez élevé, et surtout décevant par rapport à nos attentes.

Quant à l’utilisation réelle, elle confirme les résultats obtenus sur le test puisqu’on se retrouve très vite à court de batterie. Une journée d’autonomie sera le maximum que l’on puisse tirer de ce produit, et c’est franchement dommage, alors même qu’il n’affiche pas des caractéristiques élevées.

Résistance

Etanchéité

Quel intérêt y aurait-il à tester le Cat B15Q si ce n’est pour constater sa résistance ? Nous lui avons donc fait passer quelques tests peu risqués pour sa vie, et pour lesquels il n’a pas souffert. D’abord, nous l’avons plongé pendant près de 15 minutes dans une boîte remplie d’eau. Pas d’infiltrations, et le smartphone parait bien étanche. Il est par contre relativement long à sécher, en raison du grand nombre de rainures qui ornent son corps. L’eau s’infiltre un peu partout – sauf à l’intérieur évidemment – et il est déconseillé de l’ouvrir sans avoir pris la peine de le sécher totalement. D’ailleurs, lorsque nous avons ouvert la trappe USB après ce test, quelques micro gouttes étaient présentes, et il est difficile de savoir si l’eau s’est infiltrée en ouvrant ce cache ou pendant que le mobile était sous l’eau. Ce n’est pas rassurant, même si c’était loin de tout élément important.

Résistance aux chocs

Le terminal est censé résister aux chutes allant jusqu’à 1,80 mètre. C’est effectivement le cas puisqu’on avoue avoir laché le smartphone à plusieurs reprises sur des hauteurs comprises entre 50 cm et 2 mètres. Il résiste également au passage d’une voiture sur sa carlingue, et ma Twingo ne l’a pas fait frémir.

Et aux températures (extrêmes)

Le Cat B15Q résiste à des températures allant de 55 à -20°C. C’est déjà bien, mais semble relativement peu par rapport aux types de conditions extrêmes que l’on peut avoir. Une froide journée d’hiver en extérieur ne devrait donc pas le mettre à mal, mais cette même journée en Norvège pourrait être plus délicate. En tout cas, mis quelques heures au congélateur par nos soins, le mobile est ressorti froid, mais indemne.

En forme après une nuit à la fraîche

Notre avis sur Le Notre Verdict

Design
6
Le Cat B15Q a le physique qui va avec son utilité. Il se mariera très bien avec des engins de chantier, mais on s'imagine mal se promener avec dans la vie de tous les jours, à moins qu'on ait une soirée mouvementée de prévue.
Écran
4
L'écran est résistant, mais il n'est pas franchement séduisant. La dalle est profonde, et les fuites de luminosité sont très visibles. Une luminosité par ailleurs plutôt bonne, et qui lui aurait valu son salut si les reflets n'étaient pas si mauvais.
Logiciel
7
C'est du Stock, et c'est finalement tout ce qu'on espérait du Cat B15Q, ce qui lui vaut donc une note correcte. Mis à part Shark Tracker, il n'y a pas d'ajouts particuliers à constater, et même un pertinent SwiftKey qu'il est possible de supprimer si on le souhaite. En tant qu'engin de chantier, des fonctionnalités de commandes vocales en plus, ou une facilité d'emploi accrue, auraient été les bienvenus.
Performances
7
Notre Cat B15Q qui fait le modeste sur son site officiel est finalement un quadricoeur plutôt satisfaisant. Le processeur est connu et éprouvé, et s'il ne fait pas de merveilles, il fait au moins son travail. Il est cohérent avec l'ensemble des specs du terminal.
Caméra
6
Alors, 1 ou 5 mégapixels ? Drôle d'histoire, et le grand public risque de ne pas s'y retrouver en utilisation. Mais les clichés sont finalement assez corrects par rapport au but premier du téléphone. De quoi dépanner en photographie dans le cadre du travail, mais pas en vidéo.
Autonomie
5
Dès qu'on utilise un peu le téléphone, l'autonomie a tendance à chuter dangereusement ! Ce n'est pas vraiment un bon smartphone de ce point de vue là, lui qui est pourtant doté d'une fiche technique mince avec 2000 mAh de capacité de charge. On en attendait un peu mieux, surtout pour le marché qu'il aborde.
Note finale du test
6 /10
Il est bien compliqué de juger un produit pareil. Quand Caterpillar fait la promesse d'un smartphone résistant, il le fait à juste titre. En effet, nous avons là affaire à un smartphone robuste, qui ne démérite pas. Il résiste aux chocs, à l'eau, et aux températures peu accueillantes, ainsi qu'aux vibrations et à l'écrasement. C'est ce qu'on lui demande de faire, et dans le monde professionnel, il peut être un smartphone bien utile. Vendu dans des enseignes de bricolages par exemple, il s'attaque à un marché de niche, mais le fait pertinemment - à part en ce qui concerne l'autonomie.

Par contre, si le Cat B15Q veut séduire un public plus large, il reste un long chemin à parcourir. Il faudra se doter d'un écran plus attrayant et d'un design plus "passe-partout". Quand il s'agit d'être résistant, d'autres savent le faire, et possèdent un physique un peu plus attirant. Le modèle de 4,7 pouces est peut-être plus intéressant pour le grand public.

Cette résistance a également un coût : 350 euros. Une somme qui n'est pas forcément évidente à débourser pour un smartphone qui possède des caractéristiques très banales. Mais c'est le prix à payer pour un smartphone aussi solide.

Points positifs du Notre Verdict

  • Résistance

  • KitKat

Points négatifs du Notre Verdict

  • Autonomie

  • Ecran

  • Poids élevé

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