OnePlus débute l’année 2020 avec deux nouveaux smartphones qui se ressemblent beaucoup, le OnePlus 8 et le OnePlus 8 Pro. Le premier mise sur la continuité et reprend beaucoup du OnePlus 7T Pro, mais pour quelques dizaines d’euros de moins (699 au lieu de 759 euros). Mais au quotidien, que vaut-il vraiment ? Est-il intéressant de changer si l’on possède une génération précédente ? Est-il à la fois performant, autonome et bon en photo ? C’est ce que nous allons voir dans ce test du OnePlus 8.
Pour aller plus loin
Notre test du OnePlus 8 Pro
Notre test du OnePlus 8 en vidéo
Fiche technique du OnePlus 8
Modèle | OnePlus 8 |
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Dimensions | 72,9 mm x 160,2 mm x 8 mm |
Interface constructeur | OxygenOS |
Taille de l’écran | 6,55 pouces |
Définition | 2400 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 402 ppp |
Technologie | Super AMOLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 865 |
Puce graphique | Adreno 650 |
Stockage interne | 128 Go, 256 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 48 Mp Capteur 2 : 16 Mp Capteur 3 : 2 Mp |
Capteur photo frontal | 16 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K |
Wi-fi | Wi-Fi 5 (ac), Wi-Fi 6 (ax) |
Bluetooth | 5.0 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 4300 mAh |
Poids | 180 g |
Couleurs | Noir, Bleu, Vert |
Prix | 699 € |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un smartphone 8/128 Go qui nous a été cédé par OnePlus.
Un design… de OnePlus
Depuis le OnePlus 5T ayant signé le passage au borderless, celui qui s’est mis en tête de « tuer » les flagships n’a fait évoluer son design que par petites touches, le raffinant ici et là pour s’adapter aux nouvelles technologies disponibles et aux nouveaux besoins de ses fans. Aussi, il n’est pas étonnant qu’au premier regard le OnePlus 8 nous crie « OnePlus » au visage, reprenant presque trait pour trait le profil du OnePlus 7T Pro.
Il est un peu moins large (72,9 mm), un peu moins haut (160,2 mm) et un peu moins épais (8 mm), mais il lui ressemble presque à l’identique si l’on regarde son dos avec son triple module photo agencé à la verticale sur la moitié supérieure de la coque. Deux petits détails viennent différencier les deux appareils : tout d’abord le logo, plus subtil, et l’absence du capteur laser servant à l’autofocus.
Notons que le modèle 8/128 Go que nous avons reçu n’est proposé qu’en « Onyx Black », un noir brillant qui marque relativement difficilement les traces de doigts. Difficile n’est cependant pas impossible, loin de là. Heureusement, cela se nettoie d’un rapide coup de tissu, que ce soit un chiffon doux prévu pour ou votre T-shirt du jour. Les porteurs de lunettes comprendront.
Bien que le module photo soit un peu protubérant, c’est quasi imperceptible au quotidien. Même lorsque l’on tape un message alors que le téléphone est posé sur une table, il ne se met pas à tanguer aussi fort qu’un bateau en pleine tempête comme c’est le cas de certains (coucou le 8 Pro).
L’avant en revanche est un peu plus carré avec des angles à la courbure légèrement moins prononcée, ce qui donne beaucoup moins l’impression que le cadre chevauche la zone affichée, même si cela peut tout de même être le cas dans certaines applications. Cela montre que OnePlus s’est penché sur les petits détails pour améliorer sa copie.
La plus grosse nouveauté vient néanmoins de la caméra frontale, intégrée dans une fine bulle de 3,95 mm de diamètre dans le coin supérieur gauche. C’est certainement là l’intégration la plus discrète que l’on puisse avoir sans nuire à l’expérience utilisateur. Certains regretteront certainement le mécanisme motorisé du OnePlus 7T Pro, mais on y gagne sur de nombreux points.
Outre la rapidité de la reconnaissance faciale et la réduction de bruit que cela engendre de supprimer cette glissière, on y gagne également sur le poids de l’appareil. Avec 180 grammes sur la balance, il est moins lourd de 10 grammes que le OnePlus 7T, et de 26 grammes par rapport au 7T Pro. Ce n’est pas rien et si vous êtes du genre à laisser reposer votre téléphone sur votre auriculaire lorsque vous l’utilisez, votre petit doigt vous dira merci.
Au-delà de cela, sur les simples considérations esthétiques, le OnePlus 8 est vraiment un très beau smartphone. Ses bordures sont fines et les bords incurvés à l’avant comme à l’arrière rendent la prise en main très agréable.
Enfin, pour en terminer de ce tour du propriétaire, le nouveau smartphone de la marque chinoise possède toujours son alert slider permettant de passer rapidement en vibreur, en silencieux ou en mode sonnerie ainsi que le bouton d’alimentation sur la tranche droite, les boutons de volume sur la gauche et un port USB-C accompagné du tiroir à cartes SIM (double) sur le dessous.
On notera toutefois, et c’est la première fois que ce défaut me marque chez OnePlus, que les boutons de volume sont positionnés assez haut. Dans mon cas, les atteindre en tenant mon téléphone de la main gauche n’est pas un problème, mais mon index ne peut augmenter le son sans que ma paume soit obligée de se repositionner.
Le OnePlus 8 a l’un des plus beaux écrans du marché
Revenons à cette face avant et surtout à ce magnifique écran Amoled de 6,55 pouces au format 20:9 et de définition Full HD+ (1080 x 2400 pixels). Contrairement à la version Pro, il fait l’impasse sur le QHD+, mais on lui pardonnera facilement au vu de la qualité de sa dalle, signée Samsung, un gage de qualité.
Outre le contraste infini de l’OLED, le OnePlus 8 profite également d’une excellente luminosité le rendant parfaitement lisible, même dans des conditions extrêmement lumineuses. Par ailleurs, ses couleurs sont brillantes et vives sans pour autant dénaturer le rendu de l’image. Aucun doute, on est ici en présence d’une excellente dalle.
Ces observations sont d’ailleurs confirmées par notre sonde qui affiche une luminosité de 790 cd/m² et une couverture à 100 % de l’espace colorimétrique DCI-P3 avec un delta E de 3,13 par rapport à ce même espace. Autant dire que l’écran est capable d’afficher de nombreuses couleurs avec justesse. De base, il est réglé de manière un peu froide (7500 K), mais il suffit de se rendre dans les paramètres et de le faire passer en mode DCI-P3 pour qu’il revienne tout seul à 6700 K, une mesure très proche de l’idéal attendu (6500 K).
Le OnePlus 8 est quant à lui limité à 90 Hz, mais c’est déjà suffisant
Cette extrême luminosité se ressent néanmoins à tous les niveaux, y compris au plus bas. Sans être totalement éblouissant, le niveau de luminosité minimum de l’écran (2,49 cd/m², une valeur plutôt faible pourtant) peut se montrer dérangeant de nuit.
Si le modèle Pro monte jusqu’à 120 Hz, le OnePlus 8 est quant à lui limité à un taux de rafraîchissement de 90 Hz, mais c’est déjà très largement suffisant, d’autant que c’est couplé à la fluidité des animations de l’interface. Habitué à un Pixel 4 XL, pourtant lui aussi en 90 Hz, j’ai eu l’impression d’y gagner en vitesse en passant sur l’écran du OnePlus 8. L’effet est saisissant et rend chaque mouvement beaucoup plus naturel à l’œil.
Une bouffée d’Oxygen sur Android
Cette fluidité exemplaire, on la doit d’une part à l’écran, mais aussi en grande partie à OxygenOS, l’interface logicielle maison du constructeur, basée sur Android 10. À l’heure de l’écriture de ces lignes, début avril, le patch de sécurité est celui de mars 2020. OnePlus est par ailleurs réputé pour la réactivité de ses mises à jour.
Sur la partie logicielle, OnePlus s’est longtemps montré exemplaire à bien des égards, et si l’on omet quelques bugs sur le cru 2019, on ne peut que se montrer satisfaits de la couche logicielle du OnePlus 8.
Très proche dans l’esprit de l’interface des Pixel, OxygenOS apporte comme toujours beaucoup d’éléments de personnalisation et la plupart des fonctionnalités que l’on peut attendre d’un smartphone en 2020, comme le thème sombre système, la navigation par gestes — ou non –, et des réglages en veux-tu en voilà. Lors de la charge, on trouve même l’Ambiant Mode de Google Assistant pour ceux qui aiment l’avoir activé.
Dans l’ensemble, tout a été pensé pour simplifier l’usage et provoquer le moins de frictions et de frustrations possibles. Tout ou presque peut être réglé selon les désirs et l’utilisateur reste maître de son expérience. J’aurais aimé que l’on puisse calibrer la sensibilité du geste de retour pour éviter certains retours en arrière malvenus, mais une mise à jour entre le début et la fin de ce test a déjà réglé bien des soucis à ce niveau et cela m’arrive désormais bien moins fréquemment.
Un point m’a néanmoins provoqué une certaine frustration lors de ce test : le déverrouillage. Le OnePlus 8 propose deux méthodes biométriques, le capteur d’empreintes — situé sous l’écran — et la reconnaissance faciale — 2D, uniquement basée sur la caméra frontale. L’un et l’autre répondent en un clin d’œil lorsqu’ils sont sollicités, rendant l’expérience fluide et rapide… Quand ça marche.
Il m’est arrivé de très nombreuses fois que ni le capteur d’empreintes ni le double tap pour réveiller l’écran ne fonctionnent, m’obligeant à appuyer sur le bouton ON/OFF. Une mise à jour est censée avoir réglé ce problème depuis, mais je n’ai pas pu passer assez de temps avec pour le constater.
La puissance du Snapdragon 865 à l’état brut
S’il est un point sur lequel OnePlus fait rarement des concessions, c’est la puissance. Comme toujours, on retrouve à bord du OnePlus 8 la puce la plus puissante du moment, le Qualcomm Snapdragon 865, couplée à 8 ou 12 Go de mémoire vive LPDDR5. Ce test a été réalisé avec la version la moins bien équipée, avec 8 Go de RAM.
Pour autant, on ne peut pas dire que même dans cette configuration le OnePlus 8 ait à pâlir. Il conserve facilement une vingtaine d’applications en mémoire, ne nécessitant jamais de les recharger tant qu’elles ne sont pas fermées manuellement et le passage de l’une à l’autre se fait très rapidement sans le moindre hoquet.
Quant à la puissance brute, le résultat est celui qu’on peut attendre des séries 8 de Qualcomm : les performances sont excellentes et le GPU arrive à tenir constamment les jeux les plus gourmands à 60 images par seconde sans sourciller, voire plus quand c’est disponible. Fortnite affiche par exemple un 60 fps solidement stable, même en qualité épique (la plus haute).
Une telle qualité va un peu le faire chauffer. Pour autant, sur un jeu un peu moins gourmand en puissance graphique comme Arena of Valor, enchaîner plusieurs parties avec toutes les options poussées au maximum (et à 60 fps constant, quoi qu’il arrive) ne le fait qu’à peine tiédir.
L’héritage photo de la génération précédente
Du côté de la photo, le OnePlus 8 reprend bon nombre d’éléments du OnePlus 7T Pro, à commencer par son module ultra grand-angle, absolument identique, ainsi que le capteur de son appareil photo principal. Il tire cependant un trait sur le téléobjectif pour intégrer à la place un module dédié aux photos macro. On a donc comme configuration :
- Principal : Sony IMX586 de 48 Mpx (0,8 µm), f/1,75 (6P), stabilisation OIS+EIS ;
- Ultra grand-angle 116° : 16 Mpx, f/2,2 ;
- Macro : 2 Mpx (1,75 µm), f/2,4.
On notera par ailleurs que seul le capteur photo principal n’est pas couplé à la même optique, plus lumineuse sur le 7T Pro, et que le capteur laser de l’autofocus reste une nouvelle fois une particularité du modèle Pro.
Par ailleurs, le capteur de 48 Mpx peut être utilisé en 12 Mégapixels et ainsi absorber davantage de lumière grâce au pixel binning.
De bons résultats en plein jour
En plein jour, le capteur principal du OnePlus 8 s’en sort très bien ; l’inverse serait étonnant en 2020 alors que même les smartphones à moins de 200 euros s’en sortent avec les honneurs. L’application laisse à l’utilisateur le choix de la définition, en le plaçant sur 12 Mpx par défaut et… c’est plus que compréhensible sachant que le gain en finesse n’est pas si notable en raison de l’augmentation du bruit et des artefacts, comme on peut le voir ici, dans ce recadrage d’une photo prise en plein jour et en extérieur, les meilleures conditions possibles donc.
Sans zoomer, on obtient dans un cas comme dans l’autre un résultat propre aux couleurs équilibrées et naturelles, qui ne poussent pas à outrance le contraste comme c’est souvent le cas sur les smartphones d’aujourd’hui.
Néanmoins, tout n’est pas tout rose. Le mode UltraShot HDR, activé par défaut, tente d’afficher un maximum d’informations à l’écran pour éviter les zones brûlées (entièrement blanches) ou bouchées (entièrement noires).
L’algorithme ne semble toutefois pas parfaitement au point et a tendance à pousser les microcontrastes à l’excès. Sur une scène très contrastée, on se retrouve donc parfois avec des résultats qui n’ont plus rien de naturel, et ce aussi bien sur le capteur principal que sur l’ultra grand-angle. C’est le cas par exemple sur ces photos où les zones lumineuses ressortent beaucoup alors que les zones d’ombre sont fades, désaturées, voire noircies.
En plein contre-jour, il arrive plutôt bien à gérer la forte luminosité tout en conservant des détails dans le ciel. En revanche, les microcontrastes sont à nouveau très présents, ce qui donne beaucoup de relief à des zones qui ne devraient pas être aussi présentes, comme le bitume sur cette photo (qui a droit qui plus est à un petit lens flare) :
De nuit, avec des éclairages publics, la teinte globale est un peu jaune, mais c’est au final assez proche de ce que l’on voit à l’œil nu. On remarque que quelques zones sont brûlées,
Le mode « paysage nocturne » conserve des couleurs très proches et ne part pas dans le surréaliste comme c’est le cas chez certains concurrents et ne fait qu’aplatir doucement les contrastes. Les zones trop lumineuses deviennent ainsi visibles, de même que les zones trop sombres. Ci-dessous, la photo normale est à gauche et le mode nuit à droite. On constate que les panneaux publicitaires et les feux de signalisation sont plus nets, mais que le ciel s’est aussi éclairci, ce qui correspond un peu moins à la réalité.
Ce mode a également l’avantage de réduire le bruit de l’image. Le résultat reste tout de même encore assez flou si l’on compare par exemple au P40, très impressionnant sur ce point.
Le mode macro quant à lui ne présente que très peu d’intérêt. Le résultat manque de détail, surtout comparé au OnePlus 8 Pro et la mise au point est difficile à faire. Autant dire que cela enlève tout l’avantage de posséder un capteur dédié à cela.
Selfie et portrait
La partie selfie est assurée par un capteur IMX471 de 16 Mégapixels avec des photosites de 1 µm, couplé à une stabilisation électronique (pas optique) et un objectif ouvrant à f/2.0. Notons que l’emplacement de la bulle, dans le coin supérieur gauche, a été pensé pour que la caméra frontale soit cachée lorsque le smartphone est tenu à l’horizontale pour la consommation de contenu multimédia. L’ennui, c’est que cela vaut également si vous souhaitez tenir votre téléphone à deux mains pour le stabiliser lors de la prise de selfies en mode paysage.
Si toutes les conditions sont réunies, les clichés sont agréables à l’œil, mais ne nous voilons pas la face : les bonnes conditions ne sont pas évidentes à réunir. Si vous êtes un peu trop dans l’ombre, les couleurs commencent à baver et à pixeliser, tandis que si la lumière est à peine trop forte derrière, on se retrouve rapidement avec un voile blanc sur la photo et une partie totalement cramée.
Notez que le mode portrait n’est pas exceptionnel non plus, que ce soit avec la caméra frontale ou avec l’appareil photo principal. Le bokeh reste très léger, à des années lumières d’un Pixel 4 par exemple, et la découpe manque de précision, avec même quelques erreurs parfois sur mon crâne chauve.
Des haut-parleurs un peu en retrait
Longtemps délaissée par les constructeurs, la partie audio est de plus en plus regardée de près, autant par les marques que par les consommateurs. OnePlus met donc ici en avant son double haut-parleur stéréo (l’un en façade, comme pour les appels, et l’autre sur la tranche inférieure, bien positionné), mais aussi ses partenariats avec Dolby et l’intégration de la technologie Atmos permettant de reproduire un effet de spatialisation, ainsi que l’aptX HD et le LDAC pour les connexions sans fil.
Pour ce qui est des haut-parleurs, le premier point à soulever est le bon équilibre avec un son uniforme de chaque côté. Leur qualité n’est cependant pas exemplaire. Le son manque clairement de profondeur, les basses sont absentes et les sonorités au-dessus des hauts médiums ont vite tendance à saturer et à se montrer à moitié étouffées, à moitié nasillardes.
Le son reste puissant et tout à fait correct pour écouter des vidéos ou des podcasts, mais même dans les films, on sent que l’égaliseur met l’accent sur les médiums (les voix), au détriment des effets spéciaux, que ce soit dans les basses (explosions, coups de feu…) ou les aiguës (bruits métalliques…).
Avec un bon casque, même en Bluetooth, le son prend en revanche tout son corps, avec une bonne spatialisation et une bien meilleure gestion des différentes fréquences.
Le 90 Hz ne plombe pas la batterie
Bien souvent, les smartphones avec un écran 90 Hz ou plus n’ont pas une autonomie exceptionnelle. Dans le cas du OnePlus 8, sa batterie de 4300 mAh lui permet de tenir toute la journée sans trop se soucier de savoir si l’on va devoir trouver un chargeur avant la fin de soirée.
Sans dire qu’il est exceptionnel, on sent que le Snapdragon 865 est prévu pour encaisser de gros usages (notamment liés à la 5G à venir), et sur une journée complète, je n’ai eu aucun mal à tenir du matin au soir avec 6 à 8 heures d’écran allumé selon l’utilisation que j’en faisais. On parle néanmoins là d’un usage statique lié à une période de confinement, assez peu gourmand en 4G donc.
À titre d’exemple, une heure de vidéo sur YouTube ne consomme que 3 % de batterie. Autant dire que ce n’est pas grand-chose.
Le téléphone s’accompagne en outre d’un chargeur filaire 30 W très efficace qui permet de récupérer 50 % d’autonomie en 22 minutes et 100 % en à peine moins d’une heure. Avec 37 % de récupérés en 15 minutes et 68 % en 30 minutes, il n’y a pas grand-chose à craindre.
Un réseau stable et future-proof
Du côté de la connectivité, OnePlus n’a pas lésiné sur les possibilités. C’est bien simple, on retrouve à bord toutes les dernières technologies, du WiFi 6 à la 5G (non testés par manque de réseaux compatibles) en passant par le Bluetooth 5.1, ou la 4G LTE 4×4 MIMO de catégorie 18 allant jusqu’à 1,2 Gb/s en téléchargement théorique.
Avec 5G NSA et SA
À l’usage, on remarquera que les performances, autant en 4G qu’en WiFi, sont excellentes et la réception est à la fois bonne et stable. Cela devrait par ailleurs perdurer puisque le OP8 est compatible avec la 5G NSA et SA, garantissant l’acceptation des normes des prochaines années.
Pour ce qui est du GPS, même en intérieur le téléphone fixe très rapidement et sa boussole est bien calibrée. Enfin, les appels passent bien, les sons ambiants sont bien réduits et la voix n’est pas trop compressée, aussi bien en réception qu’en émission.
Prix et disponibilité du OnePlus 8
Le OnePlus 8 est disponible à 699 euros dans sa version 8/128 Go Onyx Black et à 799 euros dans sa version 12/256 Go en Glacial Green.
Il entre en concurrence directe avec le Xiaomi Mi 10 et le Huawei P40. Il reste néanmoins le moins cher des trois.
Petit retour sur le téléphone que j'ai pu tester. Très très bon téléphone sur la partie interface oxygen os, qualité écran, puissance, batterie, design soigné. Par contre l'appareil photo, ce n'est pas à la hauteur. Il a une tendance à lisser sur lequel je n’adhère pas, il y'a donc un petit manque manque de netteté et de piqué. Le capteur macro est inutilisable à main levé. Je prends plus de plaisir à faire des photos avec mon iphone X qui est pourtant moins polyvalent. Voila mon avis.
Test fait avec les pieds, pas de Test Viser, Pas d'anTuTu.. Aucune référence Pour la batterie c'est "ca tient 1h sur youtube" pour les perf ce sera "ca tient tel jeu sans lag lol" Prenez exemple sur celui qui rédige les test avec qualité chez frAndroid ou à défaut laissez le s'en occuper..
Je ne comprends pas pourquoi vous ne mettez que 8 à la batterie, alors que pour l'iphone 11 vous mettez la même note et que, d'après des test récents, il n'y a pas photo entre les 2 téléphones : en utilisation complète, 5h pour l'iPhone 11 contre 8h pour le oneplus 8, qui a la recharge rapide en plus
Le 1er smartphone sous la barre des 700€ a réunir 5G et wifi 6,sans parler des procs top niveaux 👍
J'ai DES casques Bluetooth et cela ne m'empêche pas d'avoir besoin d'une prise Jack. J'en ai un pour faire du vélo, un pour faire du sport et enfin un dernier pour prendre l'avion. Si vous n'écoutez que des MP3 tant pis pour vous. Oui j'au 1 To sur mon téléphone mais vous comprendrez que lorsque qu'une enseigne brade un Note 9 de 512 Go avec une carte SD de 512 à 650€ et bien on achète surtout quand on est en phase de remplacement de son mobile. Pour le cloud, pourquoi je serais contre ? Vous comprendrez quand-même que toutes mes photos et mes vidéos n'ont pas besoin de se trouver sur des serveurs d'une entreprise qui ne prend qu'un engagement moral à ne pas les regarder et que personne ne contrôle. Pour l'étanchéité, Sony a toujours eu des trappes sur ses téléphone et cela ne les a jamais empêchés d'être étanches. La portière de votre voiture s'ouvre pourtant, votre habitacle n'est pas mouillé quand il pleut. On envoi des satellites dans l'espace. Est-ce aussi compliqué de faire de coques amovibles étanches ? Dans tous les cas, donnez moi un constructeur vendant un téléphone étanche qui le prend en charge s'il prend l'eau ?
Forcément on va tomber sur quelqu'un comme vous qui a besoin de 1 terra de mémoire pour son téléphone, certainement anti cloud, vidéaste passionné et un peu conservateur. Je ne vois juge pas, je vous comprends même, mais les constructeurs n'ont que faire de profils atypiques. Je vous concède que le port jack est étanche, mais moins la coque amovible pour changer la batterie, non ?
Quand tu as une carte SD à 512 Go comme moi, la SD ne sert pas à rien. Mes 512 Go supplémentaires sont toujours dans mon téléphone. Je n'ai pas à me soucier de transporter un accessoire supplémentaire. La prise Jack permet de brancher des micros sur son téléphone et améliorer grandement la qualité des ses vidéos. La prise Jack permet d'avoir des casques plus durables, car la batterie des casques sans fil finira forcément par mourir. La prise Jack permet de continuer à utiliser son casque si sa batterie n'avait plus de charge. Mon Galaxy Note 9 est IP68 et il a une prise Jack donc je ne comprends pas pourquoi les deux seraient peu compatibles. Ce n'est qu'un modèle parmi tant d'autres ayant les deux fonctionnalités. Les smartphones sont l'un des rares produits où à chaque fois qu'on enlève des fonctionnalités, certains trouve cela moderne : un Always on display nest pas plus pratique qu'une led de notification ; une batterie accessible permettait les swap de batterie à la volée et évitait de payer la prestation de changement de cette dernière. Des exemples, il y en plein
J'ai payé moins cher min s20 sur le store samsung (680e)...
"Test du OnePlus 8 : le bon rapport qualité/prix du haut de gamme" Ce titre est ironique ?
Avec 128/256Go et une compatibilité OTG la SD ne sert à rien et c'est bien mieux géré sur un DD partitionné. C'est quand on a gouté au sans fil qu'on se dit que le jack n'est pas utile. Pour mémoire certification IPx et prise jack sont peu compatibles. Moi j'aurai parlé du prix, gonflé par la 5G qui n'arrivera pas avant 2 ans au mieux. Je pense que les générations suivantes profiteront de modems beaucoup moins chers, ils est donc urgent d'attendre. Mon 6T a encore de beaux jours devant lui.
on peut retrouver le s10 de l'an dernier à ce prix, et la y'a clairement pas photo (vous l'avez ?)...
Il fait toujours l'affaire oui
A moi le Redmi K30 pro 🙂 lui au moins c'est un vrai "flagship killer" 😒
Une régression par rapport au 7t pro quand on voit le prix. Le mi 10 est cette fois beaucoup plus intéressant.
Il reste le 7t sur leur site, pour le coup y'en a pour tout les gouts.
700€ pour ca ? No comment. Je sens que cette année va être très calme sur les smartphone, augmentation du prix et nos telephones sont dejas très performant
Surnoté en photo. Sur le plan matériel c'est un downgrade du 7T en plus cher.
La caméra macro 2MP est clairement une régression, je ne comprend pas ce choix... On perd le zoom x2, et on avait déjà du macro avant, sans caméra dédiée.
Vivement le OnePlus 9 /10 !
Ça reste une régression surtout niveau capteur avec l'abandon du téléphone est l'utilisation d'un vieillissant imx 586 qui n'est pas fameux d'ailleurs
Bon ben next aussi !
Il est loin le temps des 9/10 pour OnePlus... Ils pourraient se remettre en question !
NI micro SD, NI Jack, NI IPx ?? plus pourri qu'un IPhone
Il faut plutôt comparer ce smartphone avec le OnePlus 7T "non pro".
Rien de nouveau ?? 🙄🤔 Je sais pas sur quoi il va faire la différence...
Les photos ont l'aire complètement surnoté comparé au Xiaomi Mi 10, et il ont surtout la recharge sans fils en moins, le Xiaomi a deux vrai haut parleur stéréo (plus un pour les appels) contrairement au OnePlus, parcontre le OnePlus a un millimètre de moins que les autres smartphones premium sorti mais cela doit sûrement être du au manque de recharge sans fils . Bref un smartphone a tester mais qui se démarque pas des autres
Un OnePlus 7T + ou - Il y a du mieux, nécessaire pour justifier la nouveauté, mais on a des contreparties comme la perte d'un capteur utile, le son (?)... Et le prix par rapport au 7T (qui me semble être un meilleur achat encore aujourd'hui) me semble un poil élevé. Le 8 Pro est un bien meilleur appareil avec un prix davantage justifié.
C’est clair, je ne comprends pas non plus !
Euh pourquoi enlever le téléobjectif pour mettre un capteur macro dont on se contre balance totalement !!!!
mdr 700€ pour un téléphone sans charge sans fil ?? Ce téléphone se fait exploser par ses concurrents Mi 10 et P40 qui ne sont pas incroyables pourtant
Qu'on m'explique l'utilité du capteur macro? Le 7T avait les 3 classiques, et arrivait à faire de la macro. Un vrai recul sur ce point... Je préférais l'encoche centrée et pas perdue dans le coin haut gauche aussi.
Bah réduire les coûts. Et sortir un 8T qui sera bien meilleur que le 8. Et pousser à acheter le 8 pro.
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