Vendu à partir de 850 euros, le DJI Mavic Air 2 remplace le Mavic Air original et complète la nouvelle gamme Mavic, à mi-chemin entre le Mavic Mini (à partir de 400 euros) et les Mavic 2 Zoom et Mavic 2 Pro (à partir de 1250 euros). Comme nous l’avons écrit dans notre article de présentation, le Mavic Air 2 est davantage un Mavic 2 allégé et simplifié qu’une mise à jour du Mavic Air 1.
Un Mavic 2 allégé
Ce nouveau quadricoptère pliable reprend les lignes et la conception des Mavic 2 : on le déplie de la même manière et les capteurs communs sont au même endroit. S’il est significativement plus petit et léger que les Mavic 2, il est aussi sensiblement plus grand et lourd que son prédécesseur, comme le montre le tableau ci-contre. Il reste toutefois bien en dessous du seuil de 800 grammes à partir duquel la législation européenne exige déclaration et formation. Nous vous conseillons néanmoins de suivre la formation en ligne, qui donne les bases pour voler en sécurité.
Pour compenser, la capacité de sa batterie amovible passe de 27 à 40 Wh (+50 %), et l’autonomie augmente encore davantage, de 21 à 34 min (+60 %). En pratique, on peut voler un peu plus de 25 min en conservant une marge de sécurité. La recharge dure quant à elle 90 min. Si l’autonomie augmente davantage que la capacité de la batterie malgré l’augmentation du poids, c’est notamment grâce à des hélices optimisées, avec lesquelles il fait un bourdonnement plus sourd et moins désagréable que son prédécesseur.
Le nouveau Mavic Air bénéficie aussi de la conception plus robuste des Mavic 2 : ses hélices, sa coque et sa nacelle en plastique ont ainsi résisté à une chute d’une dizaine de mètres suite à un accrochage avec un arbre.
Radiocommande agrandie, application simplifiée
Le Mavic Air 2 s’accompagne en revanche d’une toute nouvelle radiocommande et pour la plupart des utilisateurs d’une nouvelle application. La nouvelle « RC » est plus grande et plus lourde car elle renferme désormais deux batteries de 2600 mAh, ce qui lui permet d’alimenter le smartphone et d’éviter de renoncer à un vol car ce dernier serait à plat. Cette télécommande passe aussi et surtout du Wi-Fi à la technologie maison OcuSync 2.0 pour la liaison avec le drone. En raison du confinement nous n’avons pas pu tester la liaison à longue portée (6 km revendiqués), mais nous pouvons témoigner que nous n’avons pas constaté le moindre gel d’image ou le moindre artefact lors d’un essai aux quatre coins d’une propriété privée boisée de plusieurs hectares, y compris lorsque la maison séparait le drone de la télécommande.
On utilise toujours un smartphone en complément de la radiocommande pour le retour vidéo et accéder à la plupart des fonctions. On ne le fixe plus sous la télécommande entre deux poignées pliables, mais au-dessus dans une pince escamotable intégrant les antennes. La prise en main est plus naturelle et plus confortable, à défaut d’être aussi équilibrée qu’autrefois, surtout avec un smartphone comme un Samsung Galaxy S20 Ultra. Des câbles USB-C vers USB-C, micro-USB et Lightning sont fournis.
En plus des deux sticks (amovibles, pour faciliter le transport), la radiocommande intègre la molette d’inclinaison de la nacelle, un seul déclencheur photo/vidéo, un bouton de commutation photo/vidéo, un bouton personnalisable, un bouton RTH (*return to home*, retour automatique au point de départ) et un commutateur de mode de vol.
Toutes les autres fonctions sont accessibles via le smartphone. Le Mavic Air 2 passe d’ailleurs de l’application DJI GO 4 des Mavic 2 et du Mavic Air 1 à la nouvelle application DJI Fly inaugurée par le Mavic Mini. Celle-ci est plus simple, plus lisible, et à ce titre plus adaptée aux débutants. Malheureusement, elle n’est pas encore parfaitement adaptée aux nouveautés du Mavic Air 2 : certains textes débordent ou sont tronqués (« Mode nor… »), on trouve encore des traces de chinois ou d’anglais, et certaines fonctions sont difficiles à trouver (rien n’incite à faire défiler les modes de prise de vue pour découvrir la fonction panoramiques). DJI devrait s’inspirer des applications FreeFlight de Parrot, plus élégantes et plus soignées.
Soulignons au passage que les applications de DJI n’affichent toujours pas la carte officielle des restrictions pour drones de loisir en France. Il faut toujours vérifier les zones autorisées et les plafonds de vol définis par la DGAC sur le site Géoportail, malheureusement pas optimisé pour mobile, ou sur des applications tierces telles que Drone Spot.
Un pilotage facile
Pour autant, le DJI Mavic Air 2 est facile à piloter. Il décolle d’une pression longue sur un bouton à l’écran puis vole en stationnaire avec une précision de l’ordre de 10 cm à basse altitude, assisté de capteurs de positionnement visuels et de temps de vol (ToF), et de l’ordre de 50 cm à mesure qu’on monte à 60 m d’altitude, avec le positionnement par satellite (GPS et Glonass, mais pas Galileo). Avec la configuration « Mode 2 » par défaut, on actionne alors le stick de gauche pour monter ou descendre et pivoter vers la gauche ou la droite, le stick de droite pour avancer ou reculer et se décaler vers la gauche ou la droite.
Avec le mode de vol « normal » par défaut, la vitesse maximale du Mavic Air 2 est de 12 m/s soit 43,2 km/h en marche avant et de 4 m/s soit 14,4 km/h en montée. Les capteurs d’obstacles vers l’avant, l’arrière et le bas sont pleinement opérationnels. C’est un atout majeur par rapport au Mavic Mini qui en est dépourvu, surtout pour les débutants. Le nouveau Mavic Air est toujours dépourvu de capteurs d’obstacles latéraux et supérieurs, il faut donc rester vigilant, surtout lors des vols automatiques, ou bien utiliser les protections d’hélices, incluses dans la version Fly More ou vendues séparément. Les débutants peuvent prendre leurs marques avec le mode « Tripod », qui limite la vitesse à 5 m/s soit 18 km/h en marche avant. Ce mode sert surtout à lisser les mouvements lorsqu’on filme, incluant désormais les changements d’inclinaison de la nacelle. Le mode « sport » enfin porte la vitesse en marche avant à 19 m/s, soit 68,4 km/h. Attention aux distances de freinage, d’autant que les capteurs d’obstacles sont inopérants.
Des photos et vidéos dignes d’un bon smartphone
Avant de parler des multiples modes de vol automatiques, parlons des capacités photo et vidéo de cette « caméra volante ». Le DJI Mavic Air 2 embarque le même capteur que certains smartphones haut de gamme comme le OnePlus 8 ou l’Oppo Find X2, le Sony IMX586. Ce capteur de 1/2 pouce (en réalité de 8 mm de diagonale) et de 48 MP recourt à la technique du pixel binning et à la photographie computationnelle pour produire des photos de 12 mégapixels de meilleure qualité qu’avec un capteur de 12 MP. L’appareil assemble en l’occurrence des groupes de 4 photocellules (disposition Quad Bayer) et parfois plusieurs clichés pour réduire le bruit et augmenter la plage dynamique (HDR).
L’objectif a une longueur focale équivalente à 24 mm, avec une mise au point fixe de 1 m jusqu’à l’infini, ce qui convient parfaitement à un drone de cette taille. L’ouverture fixe de f/2,8 méritera en revanche aux yeux de certains vidéastes exigeants l’emploi de filtres à densité neutre (ND), fournis avec la version Fly More, afin d’augmenter le temps d’obturation pour obtenir un rendu cinématographique en rétablissant du flou de mouvement.
En pratique, en photo comme en vidéo, il y en a pour tous les goûts. Le tout nouveau mode SmartPhoto recourt au *deep learning* pour reconnaitre les scènes et enclencher si nécessaire les fonctions HDR (extension de la plage dynamique) ou « HyperLight » (basse lumière). Il produit des fichiers JPEG de 12 mégapixels prêts à l’emploi dignes de bons smartphones, avec une bonne plage dynamique, un renforcement de la netteté et de la saturation bien dosée. Dans les situations dans lesquelles le mode « SmartPhoto » produit un rendu artificiel, tel qu’en contrejour, on peut basculer sur le mode normal, plus naturel. Encore plus neutre, le mode 48 MP apporte une bonne dose de détails supplémentaires au prix d’une réduction sensible de la plage dynamique. On peut aussi enregistrer en RAW DNG pour obtenir la meilleure amplitude en post-traitement.
Ci-dessous, vous pouvez comparer la même scène avec, de gauche à droite, la prise de vue normale, le cliché de 48 mégapixels et l’image avec le mode SmartPhoto activé.
Même chose sur ces photos de toits ci-dessous, dans le même ordre : mode normal, mode 48 MP et SmartPhoto.
L’appareil photo propose également des fonctions rafale (3, 5 ou 7 images), bracketing (3 ou 5 images décalées de 0,7 EV), intervallomètre (2 à 60 s), et surtout des panoramas HDR, pour lesquels le drone capture automatiquement 3 à 25 images pour assembler une photo panoramique verticale ou horizontale, une photo grand angle ou une sphère complète. Le panorama vertical et le grand angle en particulier contournent efficacement l’orientation horizontale et la focale de l’appareil.
Le Mavic Air 2 inaugure un mode HDR également en vidéo, jusqu’en Ultra HD 4K à 30 i/s. Celui-ci préserve efficacement les hautes lumières, mais amplifie parfois excessivement le bruit dans les ombres qu’il débouche. Il peut filmer sans HDR en 4K jusqu’à 60 i/s et en Full HD jusqu’à 240 i/s, soit des cadences deux fois supérieures à celles des Mavic 2. Les vidéastes disposent d’un mode d’exposition manuel, d’un profil colorimétrique neutre D-Cinelike et d’un enregistrement en H.264 ou en HEVC jusqu’à 120 Mb/s.
Le drone le plus intelligent de DJI
Ces belles capacités vidéo ne seraient rien sans de beaux mouvements de caméra. Réaliser des mouvements vidéogéniques exige un certain savoir-faire, mais les drones de DJI proposent toute une panoplie d’assistances et de manœuvres prédéfinies. Dernier né du fabricant chinois, le Mavic Air 2 est le plus complet et le plus perfectionné sur ce plan.
On retrouve pour commencer tous les « QuickShots », aux noms assez explicites (Dronie, Fusée, Astéroïde, Cercle, Spirale et Boomerang), qui réalisent des manœuvres prédéfinies à partir du sujet sélectionné et génèrent des clips de quelques secondes prêts à être partagés sur les réseaux sociaux. On choisit selon les cas la longueur et le sens de rotation du vol. En l’absence de capteurs d’obstacles latéraux, il conviendra en tout cas d’être particulièrement vigilant avec les trois derniers modes.
Dans le même ordre d’idée, le Mavic Air 2 propose également quatre modes « Hyperlapse » (libre, ligne droite, cercle, waypoints), qui produisent des vidéos accélérées (aussi appelées timelapse) en mouvement. Selon les cas on désigne le sujet à cadrer et on choisit l’intervalle, la vitesse, la durée, la trajectoire et le sens de rotation, puis l’appareil réalise automatiquement la manœuvre et l’assemblage des clichés. Le résultat peut être époustouflant, mais on aurait préféré paramétrer les mouvements différemment. Par exemple il faut calculer en fonction du rayon la vitesse et la durée de vol qui permettent de réaliser un tour complet. À défaut on se contentera souvent de valeurs choisies au hasard.
Last but not least, le Mavic Air 2 propose plusieurs modes de suivi automatiques, rassemblés sous l’appellation FocusTrack. Le mode ActiveTrack suit automatiquement le sujet désigné. Il réalise dans sa nouvelle version 3.0 des mouvements plus fluides lorsqu’il doit contourner ou lorsque le sujet passe derrière un obstacle. Le mode POI 3.0 tourne mieux autour d’un sujet immobile ou en mouvement, sans qu’il faille initialement voler à l’aplomb dudit sujet. Enfin, le mode Spotlight 2.0 permet de désigner un sujet sur lequel verrouiller la caméra et autour duquel voler librement. Ce dernier permet de réaliser facilement des plans extrêmement difficiles à exécuter en pilotage manuel et dignes de productions professionnelles.
En raison du confinement, nous n’avons pas encore pu réaliser nos propres exemples. En attendant une mise à jour de cet article, nous vous invitons à consulter la page de présentation du Mavic Air 2 sur le site internet de DJI pour vous faire une idée du potentiel créatif de tous ces modes.
Prix et disponibilité
En raison de l’épidémie de Covid-19, le DJI Mavic Air 2 a été lancé dans un premier temps en Chine. Dans le reste du monde, l’ouverture officielle des précommandes est prévue pour « la seconde quinzaine de mai ».
Comme d’habitude, il sera vendu avec une radiocommande et une seule batterie, pour 850 euros, ou bien en version Fly More, avec la radiocommande, 3 batteries, une station de recharge, 3 filtres ND, des protections d’hélices et un sac, pour 1050 euros.
Le Mavic Air 2 se positionne donc à mi-chemin entre le Mavic Mini, vendu 400 à 500 euros, et les Mavic 2, vendus 1250 à 2000 euros.
Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.
moi aussi jais acheter le Fly more combo et jais pas eu de protecteurs d'hélice
Simplement pour prévenir la communauté du MALHONNETETE du service client DJI ... suite à une dysfonction il a fallu faire appel à la protection juridique pour simplement avoir un geste commercial de DJI et au final ils m'ont même volé la batterie renvoyé suite à la chute de l'appareil ... je regrette vraiment mon achat même si c'est de bon drone, si vous avez la malchance de tomber sur un à problème ne comptez pas sur le service client qui ne fera que vous voler en vous disant tout et son contraire pour se justifier de la non prise en charge ... SAV ZERO !! Ceci est un vrai avis numéro de suivi DJI CAS-4946040-R4D7Z9
Merci pour tes conseils. Ça trotte dans ma tête depuis longtemps!
Bonjour, Petite précision, il n'y a pas la protection des hélices dans la pack fly more.
À tes risques et périls, tu peux aussi décider de braver l'interdit, en faisant preuve de discernement : par exemple à 20 h au dessus d'une plage déserte, assez haut pour que la mer couvre le bruit du drone, pour ne pas déranger les quelques promeneurs, assez bas pour ne pas croiser un avion de tourisme, un ULM… Mais chut, je n'ai rien dit ! 🤫
Comme toi je pense que DJI limite artificiellement les fonctionnalités du Mavic Mini pour segmenter sa gamme, je ne compterais pas sur des mises à jour du Mavic Mini. À vrai dire, j'attends des évolutions pour mon Mavic 2 Pro mais je n'y crois pas trop non plus ! Je pense qu'ils préfèreront les réserver aux Mavic 3. Le Mavic Mini est vraiment minuscule, tu peux le transporter dans les poches d'un manteau ou d'un sac quelconque. C'est un énorme avantage à mon avis. L'adage dit que le meilleur appareil photo est celui qu'on a tout le temps sur soi, ça s'applique aussi aux drones à mon avis ;-) Si tu t'es débrouillé jusqu'à présent sans capteurs d'obstacles et que la qualité d'image te convient, je garderais le Mini. D'ici à ce que tu te sentes limité/frustré par ses fonctions ou ses qualités, il y a d'autres modèles plus intéressants ou bien ils seront moins chers !
C'est intéressant car c'est justement dans cette région que je passe mes vacances ! J'ai regardé du côté de Collioure, Port-Vendres et des plages mais c'est quand-même assez limité. Et habitant proche d'un aérodrome je suis en zone rouge. C'est la vidéo qui m'intéresse et c'est vrai que ces restrictions que je comprends me freinent pour investir.
Oui, il y a quand même pas mal d'endroits où on peut se faire plaisir, tant en termes de pilotage que d'images, en toute légalité. Il faut parfois faire un détour pendant ses vacances, mais ça fait découvrir de nouvelles choses. Par exemple, si vous êtes sur la côte méditerranéenne du côté de Perpignan, c'est l'occasion de découvrir Castelnou, village médiéval classé "plus beaux villages de France", qu'on ne peut pas survoler mais autour duquel on peut tourner.
Salut Romain, j'ai le mavic mini acquis il y a 2 3 mois je suis globalement satisfait du rendu, mais le MA 2 me fait de l’œil, mais étant amateur est ce que ca vaut le coup de passer à l'achat du MA2 ? On sent que le mini est capable de faire les même fonctionnalités (timelapse etc) mais c est DJII qui le bride pour qu'on puisse acheter les modèle au dessus. J’espère une mise à jour qui rajoutera ces fonctionnalités chez le mini.
C est comme ci tu comparais une ferrari à une peugeot ^^ non j'abuse, le Xiaomi est vraiment dans la gamme du mini, le mavic air 2 est au dessus de ce deux modèles, vu le prix multiplié par 2.
Je vois qu'il y a des possesseurs de drones par ici. Globalement, avec la réglementation française très stricte, est-il simple de faire voler son drone sans risquer l'amende ?
DJI font les meilleurs produits du monde sans se faire de grosse marge. Vraiment une entreprise éthique !
Ben moi qui aime bien les POI, les latéraux sont une sécurité supplémentaire. J'oubliais le dorsal ! Quand tu fais des passages sous un pont ou quoi, ou bien si tu vols sous les arbres et qu'il fait un RTH pour une perte de signal, c'est le crash assuré, vu que le protocole c'est "je me tourne vers ma position initiale, je monte en l'air, j'avance, si je croise un objet je monte encore, j'avance, si obstacle, je monte etc...", bonjour les branches :D ! Dji Fly est certes épurée, et DJI GO4 est parfois brouillonne, à DJI de soit fusionner les deux applis en permettant un mode "basique" et un mode "avancé" selon l'expérience du pilote. Ici on est dans la pure segmentation, des drones + applis pour les lambda, d'autres avec un appli différente pour les seigneurs du ciel. Avec zéro compatibilité entre les deux ! Pour les législation, c'est assez imbuvable et il reste beaucoup de flou, elle devait s'appliquer à partir du 1er juillet, mais avec le COVID etc... Elle ne sera là qu'au 1er janvier 2021. La DAGC n'a même pas encore commencé ses travaux de transpositions avec la mise à disposition des plaquettes et guides de simplifications ! J'oubliais, le plafond maximum a été réduit de 30m, ce sera 120m max. Je te conseil cette vidéo faite par un pro qui a une école de formation et qui a fort bien résumé l'essence des textes, même si concernant le survol de personne, y'a un doute sur "combien, comment", certains disent que c'est un nombre limite, tandis que certains parlent d'une configuration, à savoir que tu peux survoler des personnes si celles-ci sont dans un environnement dégagé leur permettant de se dégager du groupe rapidement et aisément, puis helomicro qui est une reférence https://www.helicomicro.com/category/lois/ https://www.youtube.com/watch?v=ZBmhAUB4rJk
Il vaut quoi comparé au Xiaomi Fimi x8 se
Ouai enfin le Mavic 2 pro a pour lui des capteurs latéraux , une bien meilleure plage dynamique et surtout une ouverture variable qui permet de jouer plus finement sur le shutter speed, et DJI GO 4. Les ouvertures fixes, ça devient vite galère quand tu as des compos avec des scènes relativement différente, soit tu dois augmenter parfois de façon énorme ton shutter speed et tu te retrouves avec un rendu pas très naturel, ou alors la sensi pour avoir un bruit vite dégueulasse, ou encore faut t'amuser à passer ton temps à jongler entre tes filtres ND. Pour avoir eu le Zoom puis acheté la camera du pro pour switcher, c'est quand même un confort indéniable. Maintenant à voir si DJI portera sur le M2 certaines features du MA2, mais bon, DJI c'est quand même l'archétype de la boîte asiatique, SEGMENTATION, SEGMENTATION, SEGMENTATION. Le plus intéressant c'est le mode spotlight 2.0, est-ce que le M2 a le hardware suffisant ? Ou bien, va t'on nous dire que nan, la puissance de calcul n'est pas suffisante, faudra attendre le M3 et spotlight 3.0 ... De toute façon, de façon plus pragmatique, mieux vaut attendre un peu avant d'acheter ce MA2, et ce pour des raisons légales. La nouvelle législation européenne ne sera transcrite chez nous qu'en janvier prochain, or comme actuellement toutes les décisions de nos dirigeants, c'est le flou absolu, notamment l'histoire du logo CE, la date d'achat etc... Est-ce que les MA2 achetés cet été seront dans les clous ? Est-ce que, comme par magie, ceux achetés seulement le 2 janvier à 00:00 et 1 sec seront les bons ? De plus, comme d'hab les européens se font un peu enfiler, puisque pour le même prix, on nous file des MA2 sans ADBS tandis que les US disposent de cette fonction, et ce n'est pas logiciel mais bien que nos MA2 n'ont pas les composants nécessaires. Perso j'attendrai de voir si les modèles avec ADBS arrivent, surtout si ça peut jouer sur les modalités de vols par la suite... En l'état, vu qu'à partir de 2021, faire voler son M2, même en loisir, ça sera une tannée vu qu'on sera en catégorie ouverte limitée + obligation de suivre une "autoformation" (personne ne sait ce que c'est ...) + nouveau QCM... Encore que, en jouant sur le poids de notre drone (environ 907g, soit 8g de trop) on est avec un drone trop "lourd". Bref, aux amateurs de vols, rushez les spots sympas dès que déconfiné, l'avenir est pas radieux. Bon test sympa même si, à la vue de certains clichés, me semble qu'on est dans l'illégalité totale :p.
Les précommandes sont pourtant ouverte sur plusieurs site comme Fnac, Boulanger, et même le site DJI lui même. Boulanger propose une livraison le 16 mai et Fnac le 14. Et il ne me semble pas avoir vu de protection pour hélice dans le pack Fly more combo.
Les capteurs latéraux : oui, mais si on ne fait que des plans très larges totalement dégagés, on peut s'en passer. La plage dynamique : en RAW ou en D-Cinelike, le Mavic 2 Pro a l'avantage, mais en SmartPhoto ou en vidéo HDR, d'après mes constatations le Mavic Air 2 est meilleur ! DJI GO 4 : personnellement je me contenterais bien de DJI Fly pour 90% de mes vols. L'ouverture variable : bon point. AirSense : ça me parait beaucoup plus utile aux USA ou en Asie où la législation est beaucoup plus souple qu'en France, où il y a très peu de chance de croiser un avion ou un hélicoptère si on respecte la législation, non ? Concernant la législation, je doute fort que les autorités osent interdire du jour au lendemain des drones en circulation depuis seulement quelques mois. Mais tu as l'air de mieux maitriser le sujet que moi, peux-tu partager quelques liens ? L'illégalité de mes photos : mes photos des toits de Paris et de la cour d'immeuble sont faite avec le drone dans ma main, pas en vol, depuis le balcon et la fenêtre d'un appartement au 7e et dernier étage d'un immeuble surplombant Paris, du côté de la colline du Trocadéro. Au contraire, contrairement à certains de mes confrères, je n'ai pas bravé l'interdiction des drones de loisir en confinement, j'ai exploité la seule exception possible en me rendant sur la propriété privée d'amis. 😇
C'est en contradiction avec le communiqué de presse, mais effectivement même le site internet de DJI parle ce 02/05 d'une livraison sous 12 à 17 jours, soit potentiellement à partir du 14/05. On va clarifier, merci de nous l'avoir signalé ! :-)
J'ai moi aussi un Mavic 2 Pro et après l'avoir testé je me pose la même question ! ;-) Comme je le suggère sans détailler, car l'article me paraissait déjà assez long, le Mavic 2 Pro garde l'avantage en basse lumière, si on vole souvent à l'aube ou au crépuscule (la nuit c'est interdit en France), ou si on photographie en RAW ou qu'on filme en D-Cinelike et qu'on étalonne en post-production. Mais si on aime bien le rendu du Mavic Air 2 en JPEG SmartPhoto et en 4K HDR, je pense que le Mavic Air 2 est mieux. Du coup tu peux certainement revendre ton Mavic 2 Pro assez cher pour qu'un Mavic Air 2 ne te coûte rien. Perso je me donne quelques mois pour voir si le Mavic 2 Pro va recevoir des mises à jour pour s'aligner sur la Mavic Air 2 (SmartPhoto et vidéo HDR ?), et de voir si on a des pistes sur ce que le Mavic 3 proposera.
J'ai regardé une vidéo comparant la qualité du Mavic pro 2 et du Air 2.. on se rend compte étonnamment que le Air 2 est meilleur.. Ma question c'est, quel est l'intéret du pro 2 avec ce Air 2 ? je suis actuellement sur le Pro 2 et je me demande si ça ne vaut pas le coup de le revendre pour le Air2 qui est plus compact et a priori meilleur
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