Depuis 1962, la sociĂ©tĂ© Audio-Technica oscille entre les mondes de l’audio professionnelle et du grand public. Son large catalogue est aujourd’hui fourni en platines vinyles, en microphones de scène et de studio, comme en casques et Ă©couteurs sans fil. C’est d’ailleurs sur cette dernière catĂ©gorie que nous allons nous pencher aujourd’hui avec le test des ATH-TWX7, des intra-auriculaires dotĂ©s d’une rĂ©duction des bruits ambiants, d’une double connexion Bluetooth et d’une compatibilitĂ© avec le codec LDAC pour la lecture de fichiers audio 24 bits/96 kHz.
Ces écouteurs ATH-TWX7, présentés au CES 2024, sont annoncés en Europe au prix de 219 €. Ils se positionnent donc au-dessus des ATH-CKS50TW que nous avions testés en 2022, mais restent moins chers que les ATH-TWX9 avec lesquels ils partagent les mêmes transducteurs. Sur le marché des écouteurs sans fils, leurs concurrents sont principalement les AirPods Pro d’Apple ou encore les WF-1000XM4 de Sony.
Fiche technique
Modèle | Audio-Technica ATH-TWX7 |
---|---|
Format | Ecouteurs sans fil |
Batterie amovible | Non |
Microphone | Oui |
RĂ©duction de bruit active | Oui |
Autonomie annoncée | 20 heures |
Type de connecteur | USB Type-C |
Poids | 9,4 g |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un casque fourni par le constructeur.
Inspirés des ATH-TWX9
Que ce soit pour le boîtier qui les accompagne comme pour les écouteurs, les ATH-TWX7 reprennent peu ou prou le design du haut de gamme de la marque, les ATH-TWX9. On retrouve donc ce format avec une tige assez longue, un corps ovoïde et un embout en caoutchouc pour boucher le conduit de l’oreille. Mais à la différence des ATH-TWX9, ces écouteurs évitent la peinture brillante pour nous offrir un choix de couleurs mates : noir, blanc ou gris.
Et c’est cette dernière couleur que nous avons entre les mains pour notre test, avec un mélange de gris clair et de peinture métallisée donnant un peu trop de visibilité à des jointures à peine grossières. Jointures qui seraient probablement passées inaperçues si nous avions eu la version noire sous les yeux. Du côté des matériaux aussi, nous notons quelques faiblesses, avec un plastique mat qui donne à ces écouteurs un aspect jouet. Bien loin de la finition que l’on trouve chez Apple ou Sony.
Cette impression est d’ailleurs renforcĂ©e Ă la vue du boĂ®tier. Volumineux avec ses 58 mm de long, 45 mm de large et 34 mm de haut, il Ă©tale ce plastique mat sur toute sa surface, intĂ©rieure comme extĂ©rieure. Pour autant, ses jointures sont tout Ă fait correctes et, surtout, Ă l’intĂ©rieur, les Ă©couteurs sont parfaitement verrouillĂ©s pour le transport. Ce boĂ®tier, qui se connecte en USB-C, est accompagnĂ© d’un câble USB-C vers USB-A de 30 centimètres pour assurer la charge. Le chargeur n’est cependant pas fourni.
Les écouteurs, de type intra-auriculaire, sont équipés d’embouts en caoutchouc. Et le fabricant n’en fournit pas moins de 8 paires (soit 7 de rechange). Ça peut paraître beaucoup dit comme ça, mais Audio-Technica a eu la bonne idée de proposer deux types d’embouts en 4 tailles chacun. Vous trouverez donc des embouts souples, correspondant à ce que l’on trouve habituellement chez les autres marques, mais aussi des embouts très souples, pour ceux qui ont un peu de mal avec le fait d’avoir du caoutchouc dans le conduit de l’oreille.
Les ATH-TWX7 comme leur boîtier répondent à la norme IPX4. Ils peuvent donc être utilisés en extérieur et encaisser quelques éclaboussures de pluie. Ils ne sont cependant pas certifiés pour leur résistance à la sudation. Attention donc à leur usure dans le temps si vous comptiez les utiliser pour pratiquer du sport.
Reste que ces écouteurs ATH-TWX7 se montrent très confortables à l’utilisation, quel que soit le type de bouchon choisi. Leur pénétration dans le conduit auditif n’est pas trop profonde et même en utilisation dynamique (vélo, marche, course, etc.) ils tiennent parfaitement en place. Ils se montrent en prime très discrets pour un interlocuteur que vous auriez face à vous.
Contrôles directs et application bien pensée
Les écouteurs ATH-TWX7 se connectent en Bluetooth et profitent de la norme 5.1 ainsi que des profils A2DP, AVRCP et HFP. Au niveau des codecs audio Bluetooth, vous trouverez les classiques AAC et SBC, mais aussi le LDAC pour l’audio en haute résolution. Ces intras supportent aussi la double connexion ce qui vous permet d’appairer en même temps un téléphone et un autre appareil (smartphone, TV, ordinateur, etc.). Ainsi, vous pouvez écouter de la musique ou regarder une vidéo avec vos écouteurs, tout en étant prêt à recevoir un appel sur votre smartphone.
L’appairage est simple, puisque les écouteurs sont visibles dans la recherche Bluetooth dès que l’on appuie 3 secondes sur le bouton du boîtier. L’utilisation des écouteurs ne nécessite pas non plus la moindre installation logicielle et nous avons pu en profiter sur Mac, sur PC, avec un smartphone iOS comme avec une tablette Android, mais aussi avec une console Nintendo Switch et une Smart TV.
En effet, les commandes principales sont assignées à un bouton et une surface tactile par côté. Par défaut, le mapping propose la gestion du volume, le changement de mode, le passage en mode conversation, la lecture/pause, l’avance et retour rapide ou encore le mute du microphone. Tout se fait avec des appuis longs ou des appuis répétés, et il faut évidemment s’habituer aux commandes avant d’en profiter pleinement.
Évidemment, Audio-Technica accompagne ses écouteurs d’une application dédiée offrant une bien meilleure interface et de nombreux réglages. Il faut cependant attendre près de 20 secondes entre le moment où vous mettez les écouteurs sur les oreilles et celui où ils apparaissent sur l’application. Et dans certains cas, ça peut être long. Trop long même.
Néanmoins, Audio-Technica nous propose avec cette application une interface claire, bien organisée, avec les principaux réglages en page d’accueil : l’état de la batterie, le type de flux audio (entre AAC et LDAC), l’égalisation et la gestion de l’annulation des bruits ambiants. Les autres paramètres ne sont d’ailleurs pas bien loin et organisés en deux catégories principales : l’audio et les réglages système.
Dans la première catégorie, vous trouverez le réglage de l’ambiance (réduction des bruits ambiants, son ambiant ou mode passif), le mode conversation qui permet de concentrer l’écoute sur le son des voix tout en écoutant de la musique, l’égalisation avec sauvegarde de presets, le codec audio, le mode latence faible (qui réduit la qualité sonore au profit de la latence), ou la réduction des bruits au niveau du micro.
On trouve aussi une fonction que j’ai adorée : le mode Environnement sonore. Imaginez une liste d’ambiance à thèmes : la pluie, le vent, une rivière, une forêt et ses oiseaux, un feu de cheminée ou une musique NewAge. Et voilà qu’Audio-Technica nous propose une diffusion de cette ambiance, directement depuis l’application. L’idéal pour masquer discrètement un fond sonore trop présent, ou pour casser le silence d’une réduction de bruit un peu oppressante. Juste dommage que cette fonction ne soit pas accompagnée d’une minuterie pour la désactiver, les insomniaques y auraient trouvé un vrai accompagnement vers le sommeil.
À noter d’ailleurs que le casque n’est pas équipé de capteurs de proximité. Il ne sait pas s’il est, ou non, sur vos oreilles. En clair, si vous ôtez le casque, pensez bien à mettre la diffusion de votre source audio en pause. Car dans le cas contraire, elle continue jusqu’à l’épuisement des batteries.
Portée et latence : il faut choisir entre AAC et LDAC
Audio-Technica annonce une portée de 10 mètres pour l’utilisation de ses écouteurs sans fil. De notre côté, nous avons pu écouter de la musique ou être en conversation téléphonique au-delà des 15 mètres, sans souffrir de la moindre déconnexion ou perte de qualité. Néanmoins, pour profiter de cette portée tout à fait raisonnable, il faut utiliser le codec AAC. Le LDAC n’est audible que dans un rayon de 8 mètres d’après nos essais. Et même à cette distance, on peut entendre quelques distorsions et microdéconnexions. De même avec un environnement chargé en connexions Bluetooth (avec souris, clavier, etc.), ce codec a montré quelques faiblesses inattendues par moments, rendant l’écoute parfois désagréable, soit l’inverse de ce qui est attendu.
Côté latence, le Bluetooth 5.1 est déjà très raisonnable, de telle sorte qu’il est tout à fait possible de jouer sans ressentir le moindre décalage de perception entre le son et l’image. Les plus exigeants sur ce point pourront activer le mode Low Latency depuis l’application, mais pour être franc, que ce soit sur un jeu de course et un FPS compétitif sur PC, ou un simple jeu de plateforme sur Nintendo Switch, je n’ai constaté aucune différence audible entre les modes classique et faible latence.
Et donc évidemment, ces ATH-TWX7 s’en sortent parfaitement bien en connexion à une Smart TV pour regarder un film ou une série. La synchronisation labiale est parfaite, en mode classique comme en faible latence.
Réduction de bruit et mode transparence : Pas au niveau des meilleurs
Si les ATH-TWX7, de par leur design, offrent une isolation phonique passive déjà prononcée, il est aussi possible d’utiliser leur réduction des bruits ambiants. Et ce de deux façons. La première, classique, annule un maximum de bruits. La seconde, plus ciblée, se concentre sur tout ce qui n’est pas une voix pour vous laisser la capacité de garder une conversation.
Pour aller plus loin
Réduction de bruit active, passive, adaptative… qu’est-ce que l’ANC et comment fonctionne-t-elle ?
Et dans les deux cas, il faut avouer qu’Audio-Technica n’arrive pas au niveau des cadors du genre que sont Apple, Bose et Sony. Dans les transports, par exemple, mes AirPods Pro 2 arrivent tout à fait à réduire drastiquement le son du moteur, du vent sur la carlingue, et aident franchement à atténuer les voix alentour pour augmenter la concentration. Les ATH-TWX7 n’ont pas vraiment ce pouvoir de vous mettre dans une bulle. Certes, ils atténuent. Mais de façon trop sélective, sur certaines gammes de fréquences.
Ainsi, les fréquences les plus graves d’un moteur, ou les bas médiums d’une conversation sont bien réduits au minimum, mais les haut-médiums et les aigus restent encore bien présents. On comprend donc ce qui se dit dans la conversation à côté. Après, pourquoi pas … Si justement vous n’aimez pas l’effet bulle qui isole fortement, voilà un compromis que certains apprécieront. Mais nous aurions préféré une meilleure réduction et la possibilité de la doser, comme ce que propose Sony avec ses WF-1000XM4.
Le mode Transparence des ATH-TWX7
Pour le mode “Son ambiant”, l’équivalent du mode Transparence chez Apple, l’effet est plus réussi, mais se rate aussi sur un point important. Certes on entend très bien les bruits environnants, presque comme si on ne portait pas d’écouteurs. Mais dès que l’on parle, un effet des plus bizarres se fait entendre. Notre voix semble déconnectée du monde extérieur, comme coincée à l’intérieur de notre gorge. On s’entend donc parler, mais d’une manière pas très naturelle. Point sur lequel Apple et Bose ont pris une belle avance.
Enfin, le mode Son ambiant ajoute en permanence un souffle non négligeable et qu’il est difficile d’occulter. Ce bruit permanent, qui est commun à tous les écouteurs de ce type en mode transparence, est ici particulièrement fort en volume. Et s’il se fait oublier dans les zones bruyantes, dans les lieux calmes, il ressort comme une source d’agacement et d’inconfort.
En résumé, les ATH-TWX7 offrent effectivement des fonctions de réduction de bruit et de restitution de l’environnement, mais elles sont systématiquement inférieures à ce que peuvent proposer les meilleures références de la concurrence. Ces deux fonctions sont néanmoins tout à fait utilisables au quotidien, pour peu que l’on accepte les petits défauts qui les accompagnent.
Une restitution sonore chargée en graves
On ne s’attend jamais à une restitution transparente avec des écouteurs intra-auriculaires, même si les modèles équipés de bouchons ont clairement un avantage sur ceux qui en sont dénués. Et pour le coup, les ATH-TWX7 n’échappent pas à cette règle en nous proposant un rendu sonore assez déséquilibré. Comme les ATH-CKS50TW testés il y a deux ans, ils mettent l’accent sur les graves et les médiums, laissant aigus et haut-médiums au deuxième plan. Sauf qu’ici, on ne retrouve pas cette linéarité entre 40 Hz et 2 kHz. Il y a des creux, il y a des bosses, et ça s’entend assez nettement. De quoi mettre en valeur certaines fréquences par rapport à d’autres, pour un résultat à l’écoute qui varie en fonction des styles de musique.
J’ai donc débuté mes tests sur iPhone 15 Pro en AAC, avec quelques morceaux choisis sur Spotify ou Apple Music. A commencer par Oppression de Ben Harper, sur l’excellentissime album Fight for You Mind. Dès le début de ce morceau s’opposent des tambours dans les graves, un shaker dans les médiums, et une guitare dont la précision dépend de celle des haut-médiums. Puis vient la voix de Ben Harper, chargée de médiums elle aussi, et venant complexifier la scène. Peu d’aigus ici, mais nous y reviendrons avec un autre morceau. Dans tous les cas, avec cette première écoute, les ATH-TWX7 déçoivent un peu. Le grave est trop présent. Chaque coup de tambour déborde sur les autres instruments, alors que le chant semble un peu trop lointain et imprécis.
On passe sur Hotel California en version live, un classique des professionnels de l’audio pour mettre en avant leurs systèmes. Le morceau a une très belle différenciation des graves, bas-médiums, haut-médiums et aigus, et se montre généralement très flatteur … du moins jusqu’à l’apparition des applaudissements. Et là encore, les ATH-TWX7, sans être désagréables, montrent de nombreuses faiblesses. Le coup de grosse caisse est exagéré, la voix trop lointaine et les guitares sont tristement imprécises.
Sur un morceau beaucoup plus récent comme Don’t Start Now de Dua Lipa, le constat est le même, mais les dommages sur le plaisir d’écoute sont moindres. Oui, la réverbération de la voix est un peu en arrière, les cocottes de guitare s’étouffent, mais la basse excessive donne un certain style au morceau qui, pour le coup, mérite qu’on lui retire un peu d’aigus.
Le passage en LDAC ne change pas la donne. Oui, on gagne un peu en prĂ©cision des aigus, mais le gain n’est pas vraiment rendu par les petits haut-parleurs de 5,8 millimètres. Je retourne sur mes classiques Partition de Beyonce ou Release Your Problems de Chet Faker pour constater l’hyper prĂ©sence des graves et bas-mĂ©diums, et sur l’introduction d’Inspiration en live par Michel Jonasz pour pleurer sur des aigus bien trop en retrait. La dĂ©ception commence Ă peser fortement sur le test.
La comparaison avec les AirPods Pro d’Apple finit d’achever ces ATH-TWX7 qui, à défaut d’être de mauvais écouteurs, ne plairont pas vraiment aux mélomanes. Alors oui, l’oreille sait s’habituer et corriger progressivement ce rendu déséquilibré. Mais pour ce qui est de la qualité de l’attaque des graves ou la clarté des aigus, il n’y a malheureusement rien à faire. Même l’égaliseur intégré dans l’application ne peut pas vraiment aider, ses corrections n’étant pas suffisamment ciblées et efficaces pour contrer les défauts de restitution des ATH-TWX7.
Face Ă un film ou une sĂ©rie, on retrouve Ă©videmment les mĂŞmes points faibles, mais on peut aussi apprĂ©cier la forte prĂ©sence des voix, et donc des dialogues mis en avant, alors que les effets dans les graves ne manquent pas pour appuyer l’ambiance. Mais il reste cette impression Ă la longue d’être oppressĂ©, que tout manque d’air, d’amplitude. Et il m’a Ă©tĂ© difficile de conserver les Ă©couteurs plus d’une demi-heure, des pauses de respiration s’imposant.
Un mot enfin sur le volume maximum de ces ATH-TWX7, qui reste assez contenu. Même à fond, pas d’agressivité, pas de déformation excessive de la source, et surtout une pression acoustique qui reste acceptable. Un bon point pour la protection de vos oreilles, même si un volume contenu autour des 85-90 % reste conseillé pour les longues sessions.
Dans l’ensemble, les ATH-TWX7 sont donc un bon cran en dessous des concurrents comme les Apple AirPods Pro 2 ou les WF-1000XM4. En faisant le choix de prioriser les graves et les bas médiums, Audio-Technica nous propose une écoute particulièrement feutrée, manquant de dynamique, et qui aurait mérité un peu plus de précision dans les aigus.
Une voix agréable pour les appels
Avec sa paire de micros MEMS, les ATH-TWX7 font du bon travail pour les appels téléphoniques et autres visioconférences. La voix est précise, appréciée par mes interlocuteurs, qui comprennent parfaitement ce que je dis. Il y a certes une perte par rapport au micro de mon iPhone 15 Pro plaqué contre la joue, mais le résultat reste très proche, surtout en environnement calme.
Oui, parce que dès que l’ambiance sonore se charge de bruits de moteur, de passants qui parlent, ou de vent, ça devient un peu plus compliqué. Les ATH-TWX7 sont certes équipés d’une atténuation des bruits émis par le micro, avec une baisse effective, il faudra quand même suffisamment s’isoler pour continuer la conversation dans de bonnes conditions. Surtout que les micros souffrent d’une petite saturation si jamais vous devez lever la voix pour vous faire entendre.
Enfin, on retrouve ici le dĂ©faut signalĂ© dans le paragraphe sur le mode Ambiance, c’est-Ă -dire le fait d’entendre sa voix comme sĂ©parĂ©e de la scène. Comme si elle restait un peu coincĂ©e dans la gorge. Du coup, si vos interlocuteurs apprĂ©cient la conversation, pour celui qui parle avec les ATH-TWX7, c’est moins agrĂ©able. Toujours un peu oppressant.
Une autonomie très correcte
Audio-Technica nous annonce 6,5 heures d’autonomie et un total de 20 heures grâce aux deux charges incluses dans le boîtier. Nous constatons 5,5 heures maximum, avec un volume à 90 % et l’activation permanente de l’ANC ou du mode Ambiance, pour une seule charge des écouteurs. De quoi profiter de musique et d’appels pendant un long trajet.
De son côté, le boîtier se charge en moins de 3 heures sur un port USB-A 1A 5V. Et il offre effectivement 2 charges complètes pour une utilisation totale entre 15 et 18 heures d’après nos essais. C’est tout à fait correct, ces valeurs correspondant à celles de nos AirPods Pro 2 en utilisation réelle.
Prix et date de sortie
Les ATH-TWX7 sont d’ores et déjà disponibles chez la plupart des revendeurs. Ils sont proposés en trois coloris, noir, blanc ou gris, au prix de 219 euros.
À ce tarif, ces écouteurs se retrouvent en concurrence avec les casques AirPods Pro 2 d’Apple, à 279 euros ou les WF-1000XM4 de Sony à 229 euros.
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