Test du Hisense 65U8QF : ce QLED est une bonne réponse aux petits budgets

Une luminosité au top !

Le Hisense 65U8QF s'affiche sur le papier comme un excellent rapport qualité/prix avec sa barre de son JBL intégrée, sa technologie QLED et sa compatibilité HDR10+ et Dolby Vision.
Hisense 65U8QF
Hisense 65U8QF

En bref
HiSense 65U82QF

8 /10
Points positifs du Hisense 65U8QF
  • Le rapport qualité/prix
  • La fidélité des couleurs
  • La puissance lumineuse
  • La fluidité de l'interface
Points négatifs du Hisense 65U8QF
  • Le manque d'applications sous VIDAA
  • La qualité audio finalement moins bonne qu'espérée
  • La nécessité de faire évoluer le processeur d'image
 

La série de téléviseurs Hisense U8 fait certes partie des téléviseurs de 2020, mais elle est affichée actuellement en magasins à des prix très attractifs. Comptez 899 euros pour la version 55 pouces et 1290 euros pour le 65 pouces. Des offres auxquels Hisense applique actuellement des offres de remboursement qui sont de 200 euros sur le premier et 300 euros sur le plus grand modèle. De quoi être sérieusement intrigué et nous pousser à vous en proposer le test du 65 pouces. Sur le papier, ce modèle QLED coche bien des cases au sein de la longue liste des critères qui définissent un bon téléviseur.

Du côté de l’image d’abord, ce 65U8QF utilise une dalle LCD de type VA dont les contrastes sont boostés, d’une part par les Quantum Dot (il s’agit d’un téléviseur QLED), et d’autre part par un puissant rétroéclairage LED pour lequel Hisense promet un pic de luminosité supérieur à 1000 nits. Une valeur déjà très intéressante à ce niveau de prix, pour laquelle il faut en plus considérer que le rétroéclairage est décomposé en 180 zones, ce qui, en théorie, permet d’espérer une bonne maîtrise de la luminosité, des contrastes, mais surtout des fuites lumières.

Ce téléviseur devrait également tirer son épingle du jeu avec une barre de son en façade estampillée JBL. Voyons ce que l’engin a dans le ventre.

Ce test a été réalisé avec un téléviseur 65U8QF prêté par Hisense.

Fiche technique du Hisense 65U8QF

Modèle HiSense 65U82QF
Dimensions 1452 mm x 934 mm x 378 mm
Définition maximale 3840 x 2160 pixels
Taille de l’écran 65 pouces
Compatible HDR HDR10, HDR10+, Dolby Vision
Ports HDMI 4
Compatible Surround Dolby Atmos
Nombre de haut-parleurs 2
Puissance des haut-parleurs 20 watts
Sortie audio Haut-parleurs, Optique
Assistant vocal Amazon Alexa
Efficacité énergétique B
Prix 1290
Fiche produit

Design et ergonomie : une présentation plutôt soignée

La série U8 fait naturellement partie des produits Premium chez Hisense. D’ailleurs ceux-ci sont identifiables par la mention ULED. Il ne faut pas faire de confusion et penser que l’ULED est une autre technologie de dalle : il s’agit juste d’une dénomination marketing pour les produits plus haut de gamme.

Le Hisense 65U8QF et son système d’exploitation VIDAA

Évidemment, une telle classification n’a pas la même signification chez Hisense qu’elle peut l’avoir chez les constructeurs de rang A et pour cause, les tarifs ne sont pas non plus les mêmes. Ce 65 pouces actuellement disponible à moins de 1300 euros ne peut rivaliser avec des produits à 300, 400, voire 500 euros plus chers.

Pour autant, une fois installé dans notre espace de test, le U8F fait clairement l’affaire.

Le pied en métal est de bonne qualité, mais il occupe beaucoup de place

Son pied façon boomerang métallique contribue à l’impression de qualité globale du produit et il est même assez intéressant puisqu’il permet de poser ce grand 65 pouces sur un meuble dont la largeur serait légèrement supérieure à 1 mètre. Avis à ceux qui souhaiteraient d’ailleurs accrocher ce téléviseur à un mur : sachez qu’il pèse tout de même 25 kg. Les composants embarqués pèsent sur la balance.

Un châssis un peu épais

Retour sur une installation plus classique avec un point fort et un point faible. Le point faible d’abord : non seulement le pied dépasse de beaucoup sur l’avant du téléviseur (problématique pour y ajouter une meilleure barre de son, par exemple), mais il en est de même pour l’arrière. Résultat, ce téléviseur mesure environ 38 cm de profondeur — et un peu moins de 9 cm sans le pied.

Vous nous répondrez sans doute que les meubles Hi-Fi mesurent souvent 40 cm, mais cette particularité empêche de « coller » l’écran au mur. Il se peut même que cela soit problématique pour l’orienter, en le tournant sur un meuble trop étroit, par exemple.

Un système de passe câble pratique, mais assez limité

Le point fort : vous apprécierez le mécanisme de passe-câbles intégré dans la partie arrière du pied. Une fois tous les fils réunis jusque là, ils pourront descendre proprement vers vos sources et la prise électrique. À l’arrière on trouve de quoi centraliser tous les câbles proprement, ou presque. Il faudra peut-être composer. Si vous êtes du genre à préférer les bons gros câbles HDMI et la connectique Ethernet au Wi-Fi, il se peut que, en plus du fil d’antenne, vous soyez embêté pour tout guider dans la rainure prévue à cet effet à l’arrière.

Avec seulement 2 câbles HDMI, la « goulotte » est pleine.

La connectique est composée de 4 ports HDMI (en plus de l’Ethernet, d’une entrée optique, une prise USB et des tuners TNT et Satellite) dont une est située à l’arrière de la dalle, aux côtés du désormais très rare combo de connecteurs RCA — qui permet d’y brancher une vieille console de jeu ou, pourquoi pas, un magnétoscope ou un vieux camescope.

Oubliez en revanche la sortie casque et, vous l’aurez sans doute deviné, la connectique HDMI est à la norme 2,0 b et non en HDMI 2.1. Par ailleurs, la prise USB est en version 2.0 et le Wi-Fi en 802,11 n. Bref, tout cela n’est pas de toute dernière génération et, même si cela peut se comprendre pour la prise HDMI 2.1 compte tenu de la date de sortie du téléviseur (et désormais de son prix), pour le reste il faut bien le reconnaître que c’est un peu dommage.

Le cadre est assez fin !

Notons que les bordures de l’écran sont plutôt minces, ce qui est désormais assez classique. Vous aurez remarqué en revanche sur les diverses photos de dos que la conception fait massivement appel à du plastique.

La barre de son JBL est revêtue d’un tissu acoustique

En revanche à l’avant, Hisense intègre une barre de son estampillée JBL qui habille joliment le produit avec une bande de tissu acoustique. Le résultat est assez plaisant, même si le relief que cela provoque par rapport à la surface de la dalle crée un interstice dans lequel pourraient facilement de loger des poussières.

La télécommande

Enfin, la télécommande est la même que celle livrée avec les autres téléviseurs ULED de la marque. Elle est complète, plutôt très réactive, elle intègre même un micro et une touche dédiée à son activation. Hisense ne dispose pas d’un assistant vocal au sein de son propre système d’exploitation, VIDAA, mais il est possible de suivre une procédure pour connecter le téléviseur à Amazon Alexa. Le cas échéant, on profite de l’accès à quelques commandes vocales pratiques, comme le réglage du volume ou des sources. Nous vous en parlions notamment dans le test du Hisense 65U7QF.

Qualité audio et vidéo : la techno QLED bien exploitée

À l’inverse des constructeurs tels que Sony, Samsung, LG ou encore Panasonic qui font étale de puce ultra-performantes et dopées à l’IA, Hisense fait partie de ceux qui restent assez discrets sur la puissance des processeurs intégrés aux téléviseurs. Ce qui est sûr c’est que celui-ci est suffisamment puissant pour faire tourner de manière très fluide le système d’exploitation maison. Chaque pression de touche sur la télécommande est répercutée à l’écran.

La gestion d’une source Ultra HD sur Netflix est propre, sans plus.

Concernant le traitement de l’image, même si Hisense ne met pas spécialement l’accent dans ses propos sur une quelconque intelligence artificielle capable de faire des miracles, son circuit Hi-View Engine s’en sort relativement bien dans l’essentiel des situations. L’upscaling est assurément moins bon que celui proposé par la concurrence avec des sources très dégradées ou de moindre définition. Sur la TNT, par exemple, on se dit que les géants du secteur proposent une qualité d’upscaling tout de même bien supérieure. Mais avec les différents programmes que nous avons visionnés sur Netflix, Amazon Prime ou même via Molotov (disponible depuis peu sur VIDAA), le rendu est satisfaisant. Pour certains, il nous a fallu gérer manuellement quelques réglages. Tantôt pour compenser la gestion automatique, mais trop aléatoire du moteur de compensation, tantôt pour choisir par nous-mêmes quel niveau appliquer à la gestion du local dimming.

Mode Dolby Vision lumineux
Mode Dolby Vision Sombre

Il faut bien reconnaître que si l’électronique n’est pas toujours miraculeuse, au moins, les principales options dans les menus du téléviseur ont bel et bien un impact sur l’image. Dans le cas présent, cela présente un atout de taille pour gérer au mieux l’importante puissance lumineuse de la dalle. Celle-ci profite naturellement aux contenus en HDR10 et Dolby Vision — une double compatibilité qui constitue d’ailleurs un autre point fort de ce téléviseur — mais il faut parfois en peaufiner les réglages. Notons alors au passage qu’on trouve dans les menus, en plus des modes HDR Standard, HDR Cinéma ou encore HDR Sport, des modes Dobly Vision lumineux et sombre.

Si VIDAA ne fait pas office de référence en matière d’applications disponibles, ce système d’exploitation n’a en revanche pas à rougir face aux meilleurs OS TV. La multitude d’options permet de prendre la main sur les réglages de la dalle souvent de manière très efficace. Jeter un œil dans les paramètres experts permet d’agir sur de précieux réglages que sont le local dimming, le rétroéclairage, le contraste adaptatif… et on en passe (gamma, intensité des noirs, etc.).

Ces options nous ont permis de contenir parfois la haute puissance lumineuse de cette dalle pour en réduire les fuites de lumière propres à la technologie LCD. Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessus, la production des sous-titres sur Marco Polo n’a vraiment rien d’horrible alors que nous sommes en biais par rapport à la dalle — et alors même que l’appareil photo a plutôt tendance à mettre les défauts en valeur.

À ce stade de nos tests, nous ne pouvons qu’apprécier la ressource disponible, gérée qui plus est par 180 zones de microdimming, là où Samsung n’en propose que 48 sur le Samsung QE55Q80T par exemple. Attention, en théorie comme en pratique, plus il y a de zones et meilleure est la gestion de la luminosité, des contrastes et des fuites de lumières, mais cela ne fait pas tout. La gestion de l’électronique fait aussi une grande différence. Comme vous pouvez le voir dans les photos ci-dessus, malgré le nombre important de zones, la technologie LCD QLED et, a fortiori, sur une dalle de type VA (dont les angles de vision ne sont pas optimum) les fuites de lumière restent visibles dans les situations les plus complexes.

Quoi qu’il en soit, ce U8QF produit une image contrastée et dynamique. Attention toutefois : nous avons pu remarquer que le filtre antireflet intégré à ce téléviseur n’est pas d’une efficacité redoutable. Si jamais la pièce baigne de lumière, vous pourriez être gêné.

Pour conclure ce chapitre, il nous faut aborder la partie audio et là… on s’attendait à mieux ! La présence du logo JBL laissait espérer une production détaillée et riche, mais c’est tout au mieux, relativement puissant. Relativement, car le système ne fait ici que 20 watts et il livre finalement assez de spatialisation et de détails : difficile de faire mieux avec seulement deux haut-parleurs intégrés. Ils présentent toutefois l’avantage d’être orientés vers les spectateurs, ce qui s’avère rapidement plus flatteur que des voies disposées sous le châssis ou l’arrière par exemple.

Le hic, c’est plutôt la plage dynamique de ces haut-parleurs qui semble s’effondrer sur les deux extrémités du spectre audio. En clair, les basses ne sont jamais très présentes et les aigus sont parfois noyés dans le reste du spectre. Le résultat est-il pour autant catastrophique ? Non ! À vrai dire, il est même dans la bonne moyenne de ce qui existe sur le marché. D’autant que là aussi, les options dans les menus de réglage audio ont réellement un impact sur la reproduction. Le mode voix, par exemple, isole très bien les voix, mais en écrasant significativement tout le reste. En gros, ce n’est jamais excellent !

Résultats des mesures : une luminosité de haute volée

Du côté des mesures, les bonnes nouvelles se succèdent. Cette dalle est en effet très bien calibrée. Nous lui avons mesuré un Delta E de 2,88, soit une valeur en deçà du Delta E 2000 moyen de 3 qu’on aime relever sur les TV. Hisense aurait toutefois pu parfaire encore sa copie en prenant le soin de mieux calibrer le point blanc. Comme on peut le voir dans les mesures ci-dessous, le blanc à 100 % tire beaucoup trop sur le rouge et cela se voit d’ailleurs très bien à l’œil nu lors des tests.

Cette calibration se traduit par un Delta E qui varie d’environ 3 à 6 sur l’échelle de gris. Nous l’avons mesuré exactement à 4,1 en mode cinéma jour, qui est d’ailleurs le mode utilisé ici pour ces mesures.

Les mesures

À noter que le mode cinéma nuit est sensiblement calibré de la même manière. Le Delta E 2000 moyen est relevé à 3,12 toujours en raison d’une calibration qui tire trop vers le rouge. En fait, dans ce mode, seule l’intensité lumineuse est réellement différente. Si elle est mesurée ici à près de 400 cd/m² sur le mode cinéma jour (mire à 100 %), elle est de 217 cd/m² en mode cinéma nuit.

La mesure d’input lag est très bonne

Les joueurs pourront eux aussi se réjouir de trouver des modes particulièrement bien calibrés. Et pour cause, chez Hisense, ce mode s’active simplement en cochant une option dans les menus du téléviseur. Ce n’est pas un mode à proprement parler et il est possible d’activer l’option jeu sur le mode cinéma jour pour disposer d’une colorimétrie tout aussi bonne. En l’occurrence, la fidélité des couleurs est parfaite puisque notre sonde a relevé un Delta E 2000 moyen de 3,04, sauf qu’en plus l’électronique désactive automatiquement certains traitements pour accélérer le temps de réponse de la dalle. Si nous ne sommes pas équipés pour mesurer celui-ci, nous pouvons vous assurer en revanche que l’input lag (le retard à l’affichage) est excellent : 14 ms !

Nous avons testé ce 65U8QF avec quelques titres de PlayStation 4 Pro, le résultat est tout à fait satisfaisant. Il est important de privilégier la prise HDMI 4 qui permet d’atteindre le mode 4K@60 Hz, pour disposer de la meilleure expérience possible, même si vous n’utilisez pas une console next gen.

Dernier point important : en mode jeu, la luminosité est elle aussi un peu débridée puisque nous avons mesuré 406 cd/m² avec une mire à 100 %.

Mesures HDR sur l’espace colorimétrique DCI P3

En mode HDR nuit et en mode HDR Jour (nous avons vu que la colorimétrie évolue peu entre l’un et l’autre), la fidélité des couleurs est également très bonne ! Nous avons mesuré un Delta E 2000 moyen de 3,09 sur l’espace colorimétrique DCI-P3. Si la couverture REC.709 est de 99 % sur ce téléviseur, il est en revanche largement perfectible sur le DCI-P3 (84 % environ) et le REC.2020 (60 % environ). Dans ce mode HDR nuit, nous avons mesuré un pic de luminosité à 530 cd/m², visiblement largement bridé par l’électronique. En effet, c’est en désactivant l’option de gestion du « noir automatique » que la dalle se libère, sans pour autant totalement détraquer les autres couleurs.

Pic de luminosité HDR Jour

Ainsi, toujours dans le mode HDR Jour, le pic de luminosité est relevé à 754 cd/m² avec une mire à 10 %. L’impression d’une image très lumineuse que nous évoquions plus avant dans le texte est désormais confirmée par ces mesures.

Et ce n’est pas tout puisque nous avons également mesuré un pic de luminosité qui atteint cette fois-ci les 1115 nits dans le mode HDR Dynamique. Voilà qui est une réelle performance et sans aucun doute la caractéristique forte de ce téléviseur 65 pouces que vous pourrez acheter pour 1000 euros environ.

Mesure taux de contraste « inter frame »

Forte de ces nombreuses zones lumineuses, cette dalle QLED est capable de produire des noirs assez intenses. De fait, si on se limite à une mesure de contraste trop basique, la sonde relèvera un taux de contraste très, très élevé (près de 400 000:1). C’est pourquoi il est important de mesurer le contraste avec cette mire dite « interframe ». Chacun des 16 carrés à l’écran passe du noir au blanc et c’est après avoir réalisé 32 mesures donc que nous pouvons indiquer un taux de contraste, basé sur un noir moyen et une luminosité moyenne.

Les résultats parlent d’eux même avec de très bons taux de contraste qui sont respectivement de 9927:1 en mode HDR Jour et 8810:1 en mode HDR nuit. À noter que le calcul du ratio blanc/noir ne donne pas lieu aux mêmes résultats que ceux indiqués par le logiciel de test Calman de Portrait Display et, à défaut d’être en mesure d’expliquer pourquoi, on préfère se fier à ce qui est ici indiqué.  Enfin, ces mesures permettent également de se faire une idée de l’homogénéité de la dalle et, comme on peut le voir, il existe parfois des différences importantes sous cette procédure de mesures.

Où acheter le Hisense 65U8QF ?

Le Hisense 65U8QF est déjà disponible et se trouve autour de 1300 euros chez certains commerçants comme Amazon par exemple, ou Fnac/Darty.

Il existe également en 55 pouces :


Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.

Note finale du test
8 /10
Il ne faisait déjà aucun doute pour nous que Hisense se donne les moyens de faire évoluer ses produits d’année en année. Ce 65U8QF en est une autre démonstration.

La firme chinoise réalise ici un modèle LCD QLED de grande taille, lumineux, contrasté et qui offre une bonne expérience cinéma et un rapport qualité/prix intéressant. Vendu moins de 1500 euros, ce modèle est une alternative intéressante au Samsung QE65Q80T pour quiconque n’a que faire du HDMI 2.1 et des dernières technologies liées au gaming. Toutefois, on espère également que Hisense va entreprendre de faire évoluer son processeur de traitement d'image.

Si ce modèle vous intéresse, il y a une solution très simple pour en tirer le meilleur : lui ajouter un boîtier externe de type Nvidia Shield ou un lecteur Blu-ray pour traiter les sources de moindre de qualité en amont de l'électronique du téléviseur qui est désormais à la traine face à ce que propose la concurrence... à des tarifs plus élevés toutefois.

Points positifs du Hisense 65U8QF

  • Le rapport qualité/prix

  • La fidélité des couleurs

  • La puissance lumineuse

  • La fluidité de l'interface

Points négatifs du Hisense 65U8QF

  • Le manque d'applications sous VIDAA

  • La qualité audio finalement moins bonne qu'espérée

  • La nécessité de faire évoluer le processeur d'image

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