La prise en main du Realme X50 5G en vidéo
Fiche technique du Realme X50 5G
Modèle | Realme X50 5G |
---|---|
Dimensions | 75,8 mm x 163,8 mm x 8,9 mm |
Interface constructeur | other |
Taille de l’écran | 6,57 pouces |
Définition | 2400 x 1080 pixels |
Technologie | LCD |
SoC | Qualcomm Snapdragon 765G |
Puce graphique | Qualcomm Adreno 620 |
Stockage interne | 128 Go, 256 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 64 Mp Capteur 2 : 12 Mp Capteur 3 : 8 Mp Capteur 4 : 2 Mp |
Capteur photo frontal | 16 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K |
Wi-fi | Wi-Fi 5 (ac) |
Bluetooth | 5.0 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Oui |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 4200 mAh |
Poids | 202 g |
Couleurs | Violet, Bleu |
Prix | 251 € |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé à partir d’un exemplaire fourni par Realme
Un design très classique
Le Realme X50 ressemble à s’y méprendre à la version Pro lancée il y a quelques mois. On retrouve en effet un design très similaire entre les deux modèle, que ce soit en façade ou sur le dos de l’appareil.
Pour aller plus loin
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En façade, le Realme X50 5G arbore un écran de 6,57 pouces, un peu plus grand que les 6,44 pouces de la déclinaison Pro. Comme pour son grand frère, le smartphone profite cependant d’une dalle plate, sans bords incurvés comme on peut le voir chez les modèles d’Oppo. Sur la tranche supérieure gauche, Realme a intégré un double poinçon, permettant d’accueillir deux appareils photo. Pas de quoi vraiment gêner à l’usage, même si un simple poinçon aurait été plus discret et plus appréciable. Autour de l’écran, les bordures sont relativement fines avec 3,5 mm sur les côtés et 4,5 mm en haut. Seule la bordure inférieure, qu’on qualifie généralement de menton, jure un peu avec ses 7 mm de largeur.
Au dos du X50 5G, Realme a encore une fois intégré un module photo à la verticale, positionné en haut à gauche de l’appareil. De quoi augmenter légèrement l’épaisseur du téléphone sur cette zone sans toutefois qu’il ne vienne à trop basculer lorsqu’on l’utilise à plat posé sur une table ou un bureau. C’est également au dos que l’on va découvrir l’autre différence en termes de design entre le X50 et le X50 Pro. Alors que la version Pro profitait d’un dos en verre dépoli, Realme propose du verre brillant plus classique pour le X50 5G. Il en résulte malheureusement une tendance accrue à capturer les traces de doigts, même si le coloris vert que j’ai pu tester permet de ne pas les rendre trop visibles. Realme a également intégré un léger jeu de lumière avec des reflets en diagonale au dos.
Sur les contours du smartphone, on va retrouver les boutons de volume sur la tranche gauche, la touche de mise en veille — qui se double d’un lecteur d’empreintes digitales — sur la tranche droite et la prise USB-C, le tiroir pour carte nano-SIM et le haut-parleur média sur la tranche inférieure. Malheureusement, ni la prise casque ni l’extension de stockage ne sont de la partie.
Dans l’ensemble, le Realme X50 5G est un smartphone plutôt agréable à prendre en main. Même si, compte tenu de son gabarit de 163,8 x 75,8 x 8,9 mm, il conviendra mieux pour une utilisation à deux mains, il reste relativement confortable à une main. Ses bords légèrement incurvés au dos permettent ainsi une préhension plutôt aisée. On regrettera néanmoins un poids plutôt imposant de 202 grammes qui s’explique par la relative épaisseur du smartphone, à 8,9 mm.
Notons enfin que le Realme X50 5G n’est pas certifié pour l’étanchéité.
Un écran LCD oui, mais 120 Hz
Le Realme X50 est doté d’un écran de 6,57 pouces affichant une définition de 2400 x 1080 pixels, soit un ratio d’image de 20:9 et une densité de 401 pixels par pouce. Autant dire qu’avec une telle résolution, il est compliqué de distinguer individuellement chaque pixel à l’œil nu. Ça sera bien suffisant pour un usage classique, en dehors de certains cas comme la réalité virtuelle.
Contrairement à celui de la version Pro, l’écran du Realme X50 n’utilise pas une dalle Oled, mais un écran LCD. Concrètement, cela signifie que l’écran ne propose pas un contraste infini comme ça peut être le cas sur des smartphones concurrents, y compris au même prix. En pleine obscurité, les pixels noirs sont ainsi bel et bien visibles, se rapprochant du gris puisqu’ils sont rétroéclairés. Cependant, le Realme X50 profite bien d’un taux de rafraîchissement de 120 Hz. Pratique pour profiter d’animations plus fluides et d’une navigation plus confortable sur les menus et certaines applications comme les réseaux sociaux. Il est également possible de passer l’écran en mode automatique ou avec un taux de rafraîchissement de 60 Hz.
À l’usage, le Realme X50 propose un affichage suffisamment lumineux, y compris en extérieur, en plein soleil. Si Realme annonce une luminosité maximale de 480 cd/m², je n’ai cependant pu atteindre qu’une luminosité maximale de 392 cd/m² avec le paramètre de luminosité au maximal. Du côté du contraste, le smartphone s’en sort convenablement pour du LCD, avec une mesure à 1364:1. Enfin, la température des couleurs tend clairement vers le bleu avec le paramètre par défaut, avec une température des blancs à 7986K, bien au dessus des 6500K recommandés pour la lumière blanche du soleil.
On pourra cependant y remédier légèrement en basculant le mode de température des couleurs de l’écran vers le paramètre le plus chaud. De quoi descendre à 6995K et s’approcher d’une bien meilleure calibration. Toujours dans les paramètres d’affichage, notons qu’il est possible d’activer un mode doux — à la place du mode vif activé par défaut. La balance des blancs sera alors meilleure, mais c’est la vivacité des couleurs qui va être moindre.
Une bonne interface, freinée par de grosses maladresses
Le Realme X50 Pro est un téléphone lancé avec Android 10 et le patch de sécurité du 5 juillet 2020 au moment de ce test. Pour l’interface, le smartphone embarque Realme UI, c’est-à-dire une interface logicielle extrêmement proche de ColorOS 7 de son cousin Oppo.
Pour rappel, si ColorOS a longtemps été à la traîne par rapport à d’autres interfaces concurrentes, de gros progrès ont été faits sur la dernière version. Des améliorations dont profite également Realme UI. On va ainsi retrouver une interface hautement personnalisable avec la possibilité d’inverser les touches de navigation ou de paramétrer une navigation gestuelle. Il est également possible d’activer un thème sombre, de faire en sorte que le panneau de notification s’ouvre d’un glissement vers le bas n’importe où sur l’écran d’accueil, et même de modifier la forme des icônes.
On peut en effet définir le style des icônes avec plusieurs choix possibles quant à leur forme (ronde, carré arrondi, octogone), quant à la taille du symbole ou quant à la taille de l’icône en elle-même. Différents raccourcis sont également intégrés avec un balayage de trois doigts vers le bas pour prendre une capture d’écran, ou vers le haut pour ouvrir le multiécran. Une barre latérale « intelligente » est également intégrée pour accéder rapidement à certains outils comme la capture d’écran, la capture d’écran vidéo ou la calculatrice, mais il est bien évidemment possible d’ajouter d’autres outils et raccourcis d’applications. Enfin, dernier point à saluer, Realme propose désormais d’office le lanceur Google Discover sur l’écran d’accueil. Une fonctionnalité bienvenue et qui vient remplacer ce que le constructeur qualifiait jusqu’à présent d’« assistant intelligent ». Le service est bien plus pertinent dans ses recommandations.
Dans l’ensemble, si Realme UI est une interface très réussie, elle a encore quelques marges de progression. C’est notamment le cas sur les bloatwares, avec de nombreuses applications publicitaires installées comme WPS Office, Agoda, Lazada ou Opera. Dommage également que les paramètres soient encore quelque peu fouillis avec rien de moins que 29 entrées sur la page principale. Plus embêtant encore, sur le modèle que j’ai testé, le smartphone proposait une analyse d’antivirus pour toutes les applications que j’installais — y compris celles, sécurisées, venant du Play Store. Un système auquel Xiaomi nous a déjà habitués, mais à la différence de son compatriote, Realme ne permet pas de le désactiver.
Concernant la sécurité biométrique, le Realme X50 profite d’un lecteur d’empreintes digitales positionné sur la tranche droite. Le capteur est plutôt rapide pour déverrouiller le smartphone et se veut accessible, que le smartphone soit posé à plat sur une table ou qu’on le prenne en main. Le Realme X50 est également doté d’un système de reconnaissance faciale qui peut s’activer automatiquement lorsqu’on soulève le smartphone. Là aussi, la détection est rapide, à défaut d’être aussi sécurisée qu’un système de reconnaissance 3D comme on en trouve sur les iPhone, le Huawei Mate 30 Pro ou le Google Pixel 4.
Concernant la gestion des DRM, le Realme X50 5G est compatible avec le système de protection Widevine au niveau L1. En d’autres termes, il permet d’accéder à Netflix, Molotov ou Disney Plus et de lire des vidéos en haute définition.
Des performances proches du haut de gamme
Le Realme X50 est équipé du Snapdragon 765G. S’il ne s’agit pas d’un processeur aussi performant que les Snapdragon 865 et 865 Plus de Qualcomm, c’est tout de même ce qui se fait de mieux juste en dessous sur le marché. Pour rappel, c’est la même puce que l’on a déjà pu découvrir sur le Oppo Find X2 Neo, le OnePlus Nord ou le Xiaomi Mi 10 Lite. À cette puce, Realme a adossé 6 Go de RAM LPDDR4X et 128 Go de stockage UFS 2.1, malheureusement non extensible par carte microSD. Notez néanmoins que le modèle de prêt que j’ai pu tester était quant à lui doté de 8 Go de RAM.
À l’usage, le smartphone de Realme ne souffre d’aucun ralentissement. On pourra cependant noter quelques petites saccades notamment dans la navigation sur Twitter, lorsqu’on cherche à faire défiler rapidement l’écran, mais il s’agit sans doute davantage d’un problème d’optimisation logicielle que d’un manque de performances. Le smartphone se révèle fluide dans la gestion du multitâche, à l’ouverture des applications, pour la navigation Web ou dans les jeux mobiles.
Pour Fortnite par exemple, le jeu se lance par défaut avec un rafraîchissement de 30 images par seconde, une qualité graphique épique et une résolution 3D à 75 %. Malheureusement, impossible de passer au-delà des 30 FPS. J’ai cependant pu augmenter la résolution 3D à 100 % sans que la partie ne souffre d’aucun ralentissement, la fréquence d’image oscillant entre 28 et 30 images par seconde. Néanmoins, j’ai pu noter une bonne surchauffe du smartphone une fois les 15 minutes de jeu passées.
Call of Duty Mobile se lance de son côté par défaut avec une qualité graphique élevée et une fréquence d’image élevée. Il est cependant possible de passer les deux paramètres en très élevé ou la fréquence en max et la qualité en élevée. J’ai opté pour la première solution tout en activant l’anticrénelage et, malgré ces paramètres assez exigeants, le Realme X50 n’a eu aucun mal à faire tourner la partie de manière fluide. Je n’ai eu à déplorer aucun ralentissement majeur.
Afin de comparer plus objectivement le Realme X50 à ses concurrents, je l’ai soumis à une batterie de tests déjà passés par d’autres smartphones du même segment de prix : le OnePlus Nord, le Realme 6 Pro et le Samsung Galaxy A71. J’ai également ajouté les résultats de la version « Pro » pour donner une idée de la différence de performances des deux smartphones.
Realme X50 | OnePlus Nord | Realme 6 Pro | Samsung Galaxy A71 | Realme X50 Pro | |
---|---|---|---|---|---|
SoC | S765G | S765G | S720G | S730 | S865 |
AnTuTu 8 | 334 731 | 332 107 | 279 164 | 273 846 | 591 734 |
PCMark 2.0 | 11 229 | 9 270 | 10 303 | 7 639 | 12 126 |
3DMark Slingshot Extreme | 3 311 | 3 324 | 2 523 | 2 465 | 7 170 |
3DMark Slingshot Extreme Graphics | 3 291 | 3 292 | 2 380 | 2 307 | 8 211 |
3DMark Slingshot Extreme Physics | 3 382 | 3 441 | 3 198 | 3 246 | 4 966 |
GFXBench Aztec Vulkan High (onscreen / offscreen) | 12 / 8,5 FPS | 13 / 8,5 FPS | 11 / 7 FPS | 9,3 / 6,8 FPS | 30 / 20 FPS |
GFXBench Car Chase (onscreen / offscreen) | 18 / 21 FPS | 19 / 21 FPS | 16 / 18 FPS | 15 / 17 FPS | 45 / 51 FPS |
GFXBench Manhattan 3.0 (onscreen / offscreen) | 48 /55 FPS | 50 / 56 FPS | 37 / 41 FPS | 37 / 41 FPS | 60 / 125 FPS |
Lecture / écriture séquentielle | 989 / 492 Mo/s | 960 / 475 Mo/s | 513 / 204 Mo/s | 495 / 189 Mo/s | 1 745 / 764 Mo/s |
Lecture / écriture aléatoire | 48,5k / 39,0k IOPS | 36,4k / 33,9k IOPS | 40,3k / 31,8k IOPS | 31,1k / 28,2k IOPS | 53,9k / 51,6k IOPS |
Dans l’ensemble, on a donc un Realme X50 qui s’en tire plutôt bien face à la concurrence, avec des résultats similaires à ceux du OnePlus Nord. Logique, puisque les deux appareils sont équipés du même processeur. Surtout, il fait bien mieux que le Realme 6 Pro, pourtant lancé à seulement 30 euros de moins.
Quatre appareils photo, dont deux seulement d’utiles
Comme sur la version Pro, le Realme X50 est équipé de quatre appareils photo au dos. Néanmoins, la configuration proposée ici par le constructeur chinois est bien différente de celle de son grand-frère. On va ainsi retrouver, de haut en bas :
- Capteur de profondeur monochrome de 2 mégapixels (f/2,4) ;
- Appareil photo macro de 2 mégapixels (f/2,4) ;
- Appareil photo grand-angle principal de 48 mégapixels (f/1,8) ;
- Appareil photo ultra grand-angle 119° de 8 mégapixels (f/2,3).
Alors que le Realme X50 Pro proposait un téléobjectif avec zoom optique x2 et zoom hybride x5, rien de tout cela sur le Realme. Le constructeur a certes intégré un module ultra grand-angle et un capteur principal de 48 mégapixels, mais y a adossé deux appareils que l’on qualifiera d’accessoires : un capteur de profondeur pour le mode portrait et un appareil macro à la définition famélique.
Pour les photos suivantes, j’ai capturé des clichés en mode automatique en ultra grand-angle, puis en grand-angle :
On note une grande disparité en termes de traitement colorimétrique de l’image entre les deux modules, avec un ultra grand-angle qui tire vers le jaune. Dans l’ensemble, le module ultra grand-angle a d’ailleurs bien plus de mal à gérer les nombreux détails comme on peut le voir sur la photo des arbres, en extérieur. Il a également tendance à contraster un peu trop artificiellement le cliché final.
Mais c’est surtout en basse lumière que l’on va pouvoir noter d’importantes différences entre les deux modules. Là où l’objectif principal s’en sort convenablement, c’est moins le cas de l’ultra grand-angle. Heureusement, un mode nuit permet d’y remédier :
Le mode nuit du Realme X50 permet bel et bien de mieux gérer la plage dynamique en éclaircissant la scène sans la rendre trop irréaliste. Mais c’est surtout visible sur le mode principal, moins sur l’ultra grand-angle qui reste particulièrement sombre. La différence avec le mode automatique se fait tout de même bien sentir.
Comme beaucoup trop de smartphones en 2020, le Realme X50 profite d’un objectif macro. Malheureusement, ce module de deux mégapixels est bien trop limité pour proposer un résultat convenable. Les clichés sont bien trop peu détaillés et on aurait largement préféré un appareil ultra grand-angle de meilleure qualité qui gère également la photo macro comme c’est le cas sur certains appareils.
Il en va de même pour le mode portrait. Bien des smartphones sont capables de capturer en mode portrait même sans objectif dédié. Et lorsqu’un constructeur met en avant une telle optique, on peut être en droit de s’attendre à une qualité à la hauteur.
Malheureusement, ce n’est pas le cas sur le Realme X50. Le smartphone a du mal à proposer un détour convaincant, notamment au niveau des cheveux. Le mode portrait est convenable, mais sans être incroyable. Il en va de même pour les selfies.
En selfie, le Realme X50 profite d’un capteur principal de 12 mégapixels (f/2,0), mais également d’un deuxième appareil, de 2 mégapixels (f/2,4), pour le mode portrait. Là aussi, de nombreux smartphones proposent un mode portrait correct sans ajouter de deuxième capteur. On se demande donc pourquoi Realme a fait le choix d’un poinçon plus large — qui vient manger une partie de l’écran — sans ajouter de réelle plus-value à son module selfie.
Notons que le smartphone est capable de tourner des séquences vidéo en 4K à 30 FPS, en 1080p à 120 FPS, ou en 720p à 240 FPS avec le module à l’arrière. Pour les selfies, la vidéo est cependant limitée au mieux au 1080p à 120 images par seconde.
Une autonomie suffisante pour la journée
Le Realme X50 est équipé d’une batterie de 4200 mAh. De quoi le faire durer facilement pendant plus d’une journée. Pendant mes tests, j’ai ainsi pu l’utiliser avec le taux de rafraîchissement fixé sur 120 Hz pendant près de 44 heures avant que le téléphone ne tombe à court de batterie.
Sur cette période, l’écran aura été allumé pendant 6h39, dont 51 minutes sur YouTube, 53 minutes sur Twitter et 1h47 sur Chrome. C’est également durant cette phase que j’ai fait tourner les benchmarks pour mesurer les performances du smartphone, des applications plutôt exigeantes en énergie.
Pour la recharge, le Realme X50 est fourni avec un chargeur 30 W (5V, 6A). Selon Realme, cela permettrait au smartphone de gagner 100 % de batterie en 55 minutes et 70 % en 30 minutes. Durant mon test, j’ai cependant noté une phase de recharge un peu plus lente. En partant d’une batterie chargée à 10 %, le smartphone n’est monté qu’à 64 % en 30 minutes et la charge complète aura duré 58 minutes.
Notons également que le Realme X50 n’est pas compatible avec la charge sans fil. Néanmoins, difficile de le lui reprocher compte tenu de son segment de prix.
Réseau & communication du Realme X50
Le Realme X50 est compatible avec l’ensemble des bandes de fréquences 4G proposées en France par les opérateurs, qu’il s’agisse de la B1 (2100 MHz), de la B3 (1800 MHz), de la B7 (2600 MHz), de la B20 (800 MHz) ou de la B28 (700 MHz).
Par ailleurs, comme son nom complet l’indique clairement, le Realme X50 5G est un smartphone compatible avec la 5G. On retrouve ainsi les bandes n1, n3, n7, n20 et n28, déjà utilisées pour la 4G, mais aussi la bande n78, la première à être mise à contribution pour le lancement de la 5G en France d’ici la fin de l’année. Le smartphone n’est cependant pas compatible avec les bandes 5G millimétriques.
Pour aller plus loin
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Concernant le Wi-Fi, le smartphone de Realme est compatible avec la norme Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/ac, mais pas avec le Wi-Fi 6 de dernière génération. C’est en revanche le cas du Bluetooth puisque le smartphone est compatible avec la version 5.1 de la norme sans fil. Il profite en plus des codecs Bluetooth audio SBC, AAC, aptX, aptX HD et LDAC. Enfin, pour la géolocalisation, le smartphone est compatible avec les systèmes GPS, Glonass, Beidou, Galileo et QZSS.
Pour les appels vocaux, le Realme X50 parvient avec succès à isoler votre voix et à réduire considérablement les bruits ambiants pour votre interlocuteur. La qualité d’appel est claire et malgré les bruits de rue autour de moi, la personne que j’avais au bout du fil n’a entendu que quelques klaxons. Surtout, il a trouvé ma voix claire et a bien reconnu mon timbre malgré une très légère compression.
Prix et disponibilité du Realme X50
Le Realme X50 est proposé à 379 euros en deux coloris, vert ou argent, avec une seule configuration pour la France : 6/128 Go. Le smartphone sera disponible à compter du 17 août avec une offre de précommande permettant d’obtenir des écouteurs Realme Buds Q pour toute commande du 11 au 16 août. Par la suite, du 17 août au 27 septembre, le smartphone sera proposé avec une offre de remboursement de 30 euros, rapportant son prix à 349 euros.
À un prix similaire, on peut désormais recommander également le OnePlus Nord, le Xiaomi Mi 10 Lite ou le Google Pixel 4a. Sa commercialisation n’est cependant pas prévue avant cet automne.
oui j'ai l'impression que Qualcomm a sorti un modele avec 5g intégré rapidement...peut etre trop rapidement. ca rappelle les s810...sorti trop vite pour pouvoir dire je fais du big.little...
recyclage du op nord. a quand un tel avec écran 120hz de 6p max?
En photo c'est une catastrophe !!!!
J'en était pas sûr après le test du OP nord mais il semble bien que le S765G soit véritablement une arnaque, ce soc ayant été vendu pour sa consommation moindre, on peut vraiment s'étonner de le voir faire beaucoup moins bien que le S865 et son modem externe qui était normalement supposé consommer "beaucoup" plus. Je ne serais pas étonné d’apprendre que les constructeur brident eux même l'optimisation du soc mdg pour faire ressortir le hdg.
Depuis quelques temps je me pose des questions, et chaque test semble le confirmer. BBK ne fait que du recyclage entre ses marques, et OP en souffre, comme le Nord ou le 8 classique...
La partie photo semble quand même particulièrement mauvaise.
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