Comme la majorité des constructeurs automobiles, Renault a de grandes ambitions dans le domaine des véhicules électriques. Ceux qui sont amenés à remplacer les automobiles thermiques d’ici la prochaine décennie — plus aucune thermique ne pourra d’ailleurs être vendue en Europe à partir de 2035 — bénéficient ainsi de larges plans d’investissement.
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Pour la firme au losange, cela passe par le projet Renaulution : ce plan de bataille très axé sur l’électrique a été présenté en janvier dernier, et s’articule notamment autour des marques Renault, Alpine, Dacia et Mobilize. D’ici 2025, quatorze nouvelles voitures, dont sept 100 % électriques, verront par exemple le jour.
2024, clap de fin
Et parce que renouvelé, le catalogue est amené à évincer certains modèles électriques pourtant iconiques : la Renault Zoé en l’occurrence, dont le chapitre va être clôturé à la fin de l’année 2024, a annoncé Luca de Meo lors des résultats financiers du 1er semestre 2021, et relayé par Automobile Magazine.
En réalité, la disparition de la Zoé n’était qu’un petit secret de polichinelle. Il se murmurait déjà qu’aucune suite ne lui était prévue. Surtout, les futures Renault 4 et Renault 5 branchées, qui joueront la carte de la nostalgie, constituent les candidats idéaux pour lui succéder en 2025 et 2023, respectivement.
Un succès incontesté
Si le calendrier est bien respecté, alors la fin de la Zoé viendrait s’intercaler entre les deux véhicules susmentionnés. Dans tous les cas, cette citadine branchée aura marqué les esprits depuis ses débuts en 2012, suivie d’une nouvelle version sept ans plus tard que Frandroid a pu tester.
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Au fil des années, la Zoé s’est imposée comme l’un des plus gros succès français en matière de VE. Encore aujourd’hui, elle truste régulièrement le podium des ventes du marché électrique. Il ne lui reste donc que trois années devant elle pour continuer de briller comme il se doit, et boucler la boucle de manière définitive.
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Un doublon est une pièce qui arrive en double et ne sert, du coup, à rien. On est d'accord ?!
Plutôt logique de rationaliser la gamme. Économiquement, je trouve la stratégie de Stellantis bien plus maligne de conserver la même gamme et de juste faire choisir le moteur. Si les allemands peuvent se permettre de dédoubler les gammes (ID, EQ...) et s'en servent même pour changer plus radicalement leur design qu'à l'accoutumée, je suis pas certain que les marques françaises puissent se le permettre. Puis Renault a annoncé 2025 pour sa position de leader de l'électricique, soit le renouvellement de la Clio... Il faut donc bien fusionner les deux
Logique après tout. Elle a le même gabarit et équipement que la Clio actuelle, donc il suffirait d'une motorisation tout électrique à la Clio pour en faire un parfait doublon dans la gamme !
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