Le « premier prix » de la gamme Galaxy S21 est arrivé à la rédaction et nous avons ainsi pu tester le petit frère du S21 Ultra déjà noté dans nos colonnes. Proposé à partir de 860 euros tout de même, ce modèle réalise quelques compromis pour rester sous la barre des 1000 euros tout en misant sur l’expérience et la qualité.
Ce test du Samsung Galaxy S21 a été réalisé avec un smartphone (8/128 Go) prêté par la marque.
Fiche technique du Samsung Galaxy S21
Modèle | Samsung Galaxy S21 |
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Dimensions | 71,2 mm x 151,7 mm x 7,9 mm |
Interface constructeur | One UI |
Taille de l’écran | 6,2 pouces |
Définition | 2400 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 421 ppp |
Technologie | Super AMOLED |
SoC | Samsung Exynos 2100 |
Puce graphique | Mali-G78 MP14 |
Stockage interne | 128 Go, 256 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 64 Mp Capteur 2 : 12 Mp Capteur 3 : 12 Mp |
Capteur photo frontal | 10 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 8K |
Wi-fi | Wi-Fi 6E |
Bluetooth | 5.2 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 4000 mAh |
Poids | 171 g |
Couleurs | Blanc, Violet, Rose, Gris |
Indice de réparabilité ? |
8/10 |
Prix | 255 € |
Fiche produit |
Notre test en vidéo
Du plastique, et alors ?
Évacuons tout de suite le sujet qui fâche : oui, le dos du Samsung Galaxy S21 est en plastique. Certains y voient là une économie de bouts de chandelle inacceptable pour du haut de gamme ou encore une baisse de qualité des finitions en comparaison aux S21+ et S21 Ultra qui pour leur part sont en verre. Des arguments qui peuvent éventuellement s’entendre lorsque les finitions sont bâclées, ce qui n’est clairement pas le cas ici.
Cette coque en plastique a clairement fait l’objet d’un soin tout particulier et ne présente pas certains des défauts inhérents au matériau. Elle ne craque pas, ne s’enfonce pas quand on appuie dessus et elle est parfaitement ajustée pour épouser les contours du bloc photo ou du cadre en aluminium. En revanche, on peut citer certaines qualités évidentes : le poids plume (le Galaxy S21 ne pèse que 169 grammes), et un toucher plus chaleureux.
Alors oui, c’est du plastique et il ne s’en cache pas, mais avant de jeter l’anathème sur ce Galaxy S21 pour cette simple raison sous prétexte qu’à ce prix un smartphone devrait absolument avoir un dos en verre, regardons ses autres caractéristiques.
Comme précisé plus tôt, le Galaxy S21 est léger, ce qui le rend agréable en main, même lors de longues utilisations. Par ailleurs, si l’on ne peut pas dire qu’il est compact, ses dimensions de 71,2 x 151,7 x 7,9 mm font de lui un téléphone ayant un gabarit dans la moyenne basse des flagships actuels tout en conservant une confortable diagonale d’écran de 6,2 pouces.
Ma première réaction en voyant que tous les boutons sont regroupés sur la tranche droite a été de pester, car c’est généralement synonyme d’une ergonomie tendancieuse, mais ce format relativement réduit permet justement d’accéder sans le moindre souci à toutes ces touches. Et une fois le S21 tourné en mode paysage, les contrôles du volume tombent parfaitement sous l’index. Judicieux !
En dehors de cela, le Galaxy S21 reprend le design distinctif de son adelphité avec un bloc photo vertical très bien intégré dans l’angle supérieur gauche de la façade arrière, faisant mine au premier coup d’œil de déborder sur ses tranches. Libre à chacun de se faire son propre avis sur la question, mais ce design semble en tout cas faire l’unanimité à la rédaction de Frandroid en plus d’avoir le mérite d’être original et bien pensé. Pour autant, ce bloc photo est un peu protubérant et génère une instabilité lorsque le téléphone est posé à plat. Cela ne dérangera pas tout le monde (notamment ceux qui mettent une coque à leur smartphone), mais il faut tout de même le souligner.
Terminons ce tour du propriétaire par la face avant, aux bordures quasi uniformes (le menton reste comme toujours un peu plus épais) et à la discrète bulle centrée. Pas d’originalité ici qui ne mérite qu’on s’y attarde, si ce n’est peut-être l’absence de bordures d’écran incurvées : c’est peut-être un peu moins esthétique, mais évite les contacts involontaires avec l’écran.
Bien sûr, n’espérez pas de Jack 3,5 mm en 2021, le seul port disponible est un USB-C.
Vif ou naturel, il faut choisir
Est-il nécessaire de rappeler que Samsung fabrique ses propres dalles et s’est imposé ces dernières années comme la référence immanquable sur ce marché ? Au premier regard, difficile donc de dire du mal de cet écran Amoled de 6,2 pouces en Full HD+ (2400 x 1080 pixels, soit 421 PPP), très lumineux et contrasté. Comme on peut s’y attendre sur cette gamme en 2021, il est en outre compatible HDR10+ pour une plage dynamique plus large et plus complète. Précisons également qu’il est protégé par un revêtement Gorilla Glass 7 Victus pour réduire les risques de casse et de rayures.
Sous notre sonde, avec le logiciel Calman Ultimate, nous avons mesuré une luminosité s’étalant de 1,58 à 800 cd/m². Des chiffres qui prouvent la capacité de cet écran à descendre très bas pour ne pas se cramer les rétines en consultant son téléphone en pleine nuit, mais aussi à montrer très haut pour rester lisible en plein soleil. Son revêtement, sans être mat, est d’ailleurs moins brillant que certains de ses concurrents, ce qui réduit la quantité de reflets, améliorant d’autant plus sa lisibilité. Point strictement logiciel : la gestion automatique de la luminosité pourrait être un peu plus réactive.
Pour ce qui est de la colorimétrie en revanche, on notera tout de même des résultats un peu différents en fonction des modes. De base, le Galaxy S21 est réglé en mode « Vif », avec une large couverture des spectres sRGB et DCI-P3 (respectivement 200 % et 150 % environ), mais avec une précision qui laisse à désirer. On le remarque d’ailleurs assez rapidement en jetant un œil à la température de son point blanc : 7400 K, bien loin des 6500 K de référence.
Dans les options du téléphone, il est cependant de passer l’écran en mode « Naturel » et la différence est immédiatement visible. Les couleurs sont beaucoup plus douces, à la limite du terne, avec moins de variété. Ainsi, si avec 6800 K et un delta E de 4,21 on se rapproche donc plus d’un calibrage qui intéressera les photographes et les vidéastes, on se retrouve également avec une plage colorimétrique plus réduite, bien qu’elle couvre toujours 100 % du spectre DCI-P3.
Cela dépendra bien évidemment de votre usage, mais il peut être intéressant de rester en Vif, plus agréable à l’œil, mais d’affiner la colorimétrie manuellement à l’aide des réglages de couleur disponibles dans les paramètres pour réduire cette impression de froideur de l’écran.
One UI, Android à son meilleur
Tout comme les autres Galaxy S21, le « petit » modèle de la gamme est commercialisé directement sous Android 11 avec l’interface maison de Samsung : One UI 3.1. À date de la rédaction de ce test, il embarque en outre le patch de sécurité du 1er janvier 2021, prouvant une nouvelle fois le statut de bon élève de Samsung en la matière. On peut d’ailleurs s’attendre à 3 ans de mises à jour majeures.
Omar a déjà détaillé dans les grandes lignes les principaux points forts de cette interface qui compte parmi les meilleures du marché aujourd’hui dans son test du Galaxy S21 Ultra. On y retrouve les points forts d’Android, à savoir le multitâche efficace, le thème sombre, l’accessibilité de tous les menus à une main ainsi qu’une très grande personnalisation offerte à l’utilisateur. On peut également choisir le moyen de déverrouillage biométrique de son choix, que ce soit par le lecteur d’empreintes sous l’écran, très réactif, ou la reconnaissance faciale 2D, qui pourrait être légèrement plus rapide.
Au quotidien, c’est une interface très agréable à utiliser, particulièrement fluide et aux animations léchées. Ces dernières ont d’ailleurs été accélérées pour ne plus donner cette impression de latence qu’il pouvait y avoir sur la génération des S10 par exemple. Couplé au taux de rafraichissement de l’écran à 120 Hz, c’est une douceur pour la rétine.
Plus habitué à Oxygen OS (OnePlus) ou à l’interface des Pixel de Google, je noterais néanmoins quelques axes d’améliorations, à commencer par les partitions A/B du système. Disponible depuis Android 7 Nougat, cette fonctionnalité permet de mettre à jour son smartphone de manière quasi invisible, à l’aide d’un simple redémarrage. Samsung ne l’utilise malheureusement pas, ce qui implique qu’une mise à jour bloque l’usage du téléphone pendant plusieurs minutes. Sans que ce soit un frein à l’achat, c’est une amélioration que l’on aimerait voir adopté par le premier constructeur de smartphones au monde.
Je note également que certains menus traditionnels manquent de clarté. Dans l’onglet Batterie par exemple, pour connaître l’usage d’énergie de chaque application, il faut cliquer sur la case « Utilisation depuis la dernière charge complète », qui au premier coup d’œil ne semble pas être cliquable.
Il est dommage également que le menu d’alimentation d’Android 11, permettant de gérer sa domotique et ses cartes de paiement sans contact, ne soit pas directement disponible en appuyant sur le bouton ON/OFF, obligeant à naviguer dans les menus pour retrouver ces fonctionnalités.
Enfin, j’aime personnaliser mon interface en choisissant mes icônes au cas par cas pour chaque application alors que Samsung ne propose que des packs complets. Encore une fois, rien de bien grave.
Toujours est-il que malgré ces quelques manques, One UI reste un exemple d’interface Android réussie et cette version 3.1 corrige certains des points qui me gênaient auparavant tout en apportant en plus un écosystème avec Windows qu’aucun autre constructeur ne propose à l’heure actuelle. Rien que cela comble largement ses quelques lacunes.
Notez également que l’on retrouve au premier démarrage une très grande quantité d’applications signées Samsung ou Microsoft, ainsi que Facebook et Spotify. On s’en passerait bien.
L’Exynos de retour… sauf pour Fortnite
Cela fait plusieurs années que les déclinaisons Exynos des Galaxy S sont en retrait par rapport aux variantes Snapdragon. 2021 est cependant l’année du renouveau avec un Exynos 2100 très prometteur sur le papier… et dans les faits.
Gravé en 5 nm, ce SoC octo-core a de quoi rivaliser avec le Snapdragon 888 et il s’en sort très bien au quotidien avec ses 8 Go de RAM. Sauter d’une application à l’autre se fait très rapidement, et même si l’on note parfois un rechargement global de l’app (avec l’apparition fugace de son splashscreen), son statut reste en mémoire et vous reprendrez donc votre activité là où vous l’aviez laissée. Sous bien des aspects, cela rappelle le Quick Resume de la Xbox Series X gardant dans sa mémoire l’état des applications en cours pour les relancer plus rapidement sans pour autant les garder en mémoire vive. Samsung utilisant de l’UFS 3.1 (le stockage le plus rapide actuellement disponible sur nos smartphones), ce ne serait pas étonnant qu’un principe similaire ait été mis en place.
Dans les benchmarks, le Galaxy S21 se débrouille par ailleurs très bien face à sa concurrence actuelle et d’autant plus en comparaison de la génération précédente, signe d’une amélioration notable. On note cependant que le Snapdragon 865 (du OnePlus 8T) n’est pas si loin derrière, laissant supposer que le Snapdragon 888 pourrait le surpasser. C’est d’ailleurs déjà le cas de l’A14 de l’iPhone 12, mais la comparaison avec un autre système est toujours moins évidente à faire.
Modèle | Samsung Galaxy S21 | Samsung Galaxy S20 | OnePlus 8T | Apple iPhone 12 |
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AnTuTu 8 | 647131 | 510024 | 588439 | 637502 |
AnTuTu CPU | 178483 | N/C | 174259 | 183071 |
AnTuTu GPU | 268720 | N/C | 217498 | 247168 |
AnTuTu MEM | 115695 | N/C | 103104 | 110734 |
AnTuTu UX | 84233 | N/C | 93578 | 96529 |
PC Mark 2.0 | 12466 | 10114 | 9929 | N/C |
3DMark Slingshot Extreme | 8216 | 6616 | 7186 | N/C |
3DMark Slingshot Extreme Graphics | 11129 | 8378 | 8241 | N/C |
3DMark Slingshot Extreme Physics | 4288 | 3811 | 4963 | N/C |
3DMark Wild Life | 5843 | N/C | N/C | 6893 |
3DMark Wild Life framerate moyen | 35 FPS | N/C | N/C | 40 FPS |
GFXBench Aztec Vulkan/Metal high (onscreen / offscreen) | 38 / 31 FPS | 16 / 20 FPS | 31 / 21 FPS | 60 / 95 FPS |
GFXBench Car Chase (onscreen / offscreen) | 54 / 66 FPS | 45 / 41 FPS | 46 / 53 FPS | 52 / 70 FPS |
GFXBench Manhattan 3.0 (onscreen / offscreen) | N/C | 60 / 111 FPS | 60 / 125 FPS | 60 / 186 FPS |
Lecture / écriture séquentielle | 1868 / 1300 Mo/s | 1512 / 679 Mo/s | 1656 / 754 Mo/s | N/C |
Lecture / écriture aléatoire | 78431 / 72742 IOPS | 51000 / 57000 IOPS | 61100 / 59778 IOPS | N/C |
Pour la partie graphique, l’Exynos 2100 se repose sur le Mali-G78, un GPU à 14 cœurs. Bien que performant, il se montre en pratique un poil décevant par rapport au gain attendu sur le papier. Dans l’ensemble, vous ne devriez pas avoir trop de mal à faire tourner n’importe quel jeu du Play Store, mais on a vu en 2020 des smartphones équipés d’un S865 s’en sortir un peu mieux.
Autant un Arena of Valor n’a aucun mal à tourner au maximum de ses capacités en tenant les 60 fps constants, autant Fortnite (en qualité Épique) oscille péniblement entre 40 et 60 FPS avec une moyenne générale autour des 50. Cela ne vous empêchera pas de faire TOP 1, mais quand un OnePlus 8 Pro tient facilement les 60 FPS constants, on se dit que c’est dommage pour le porte-étendard de Samsung.
Si vous n’êtes pas un joueur du célèbre Battle Royale et qu’avoir le meilleur du meilleur importe peu pour vous, ce détail ne devrait pas vous choquer, loin de là, le S21 ayant assez de puissance sous le capot pour tous vos besoins. On aurait apprécié cependant qu’il réagisse au moins aussi bien, si ce n’est mieux qu’un smartphone de 2020 sur un jeu aussi populaire, qui plus est disponible sur la boutique de Samsung (Galaxy Apps).
De bons haut-parleurs qui n’aiment pas les extrêmes
Comme bon nombre de smartphones, le Samsung Galaxy S21 propose deux haut-parleurs pour un son stéréo : le premier sur la tranche inférieure, à côté du port USB, et le second discrètement logé au-dessus de l’écran, servant également pour les appels. Inéluctablement, on se retrouve avec le principal défaut de cette configuration : le haut-parleur secondaire est moins bon et moins puissant que le principal, créant un manque d’équilibre sur le son stéréo lorsqu’on positionne le téléphone bien face à soi.
Malgré cela, le son du Samsung Galaxy S21 est plutôt bon et puissant avec une bonne clarté autour de 80-90 % de volume. Au-dessus, on commence à sentir une saturation et une perte de précision du son dans les extrêmes. On notera également que, format oblige, le haut-parleur reste très petit et peine donc à reproduire des basses profondes. L’usage au casque restera forcément préférable pour de la musique, mais vous n’aurez aucun mal à profiter de formats comme des vidéos YouTube ou des podcasts, les voix étant bien retranscrites, même à plein volume.
Pour les amateurs de casques ou d’écouteurs sans fil, le Galaxy S21 est compatible avec les codecs SBC, AAC, aptX et LDAC. Notons que contrairement au S21 Ultra qui est compatible Bluetooth 5.2, le S21 se contente du Bluetooth 5.0. Ce n’est pas là toutefois un point particulièrement gênant, même sur le long terme.
Il propose en outre une compatibilité Dolby Atmos et un égaliseur directement intégré à son logiciel, ainsi qu’un son adaptatif pour régler les différentes fréquences automatiquement en fonction de votre âge (avec un test d’audition).
Un appareil photo efficace
Moins bien équipés que le Galaxy S21 Ultra, les Galaxy S21 et S21+ embarquent tout de même trois véritables capteurs photo utiles :
- Un capteur principal de 12 Mpx Dual Pixel avec stabilisation optique (objectif f/1,8, 79°) ;
- Un ultra grand-angle de 12 Mpx (objectif f/2,2, 120°) ;
- Un zoom hybride x3 de 64 Mpx (objectif f/2,0, 76°).
Avant de parler de la qualité intrinsèque de l’appareil lui-même, évoquons tout d’abord l’application photo de Samsung qui se montre particulièrement complète avec de nombreuses options, comme le scan de QR codes, l’aide au cadrage, la création d’un GIF, le support des formats RAW et HEIF, déclenchement vocal… les possibilités sont très nombreuses.
L’ensemble mériterait d’ailleurs d’être peut-être un peu mieux rangé et plus accessible. Par exemple l’application propose par défaut 3 modes : Photo, Vidéo et… « Single Take » dont je n’ai compris l’intérêt qu’après l’avoir essayé. Il faut se rendre dans le menu « Plus » pour trouver des modes aujourd’hui très utilisés comme le mode portrait ou le mode nuit, et à nouveau comprendre qu’on peut les glisser dans le menu principal pour réarranger les raccourcis à notre guide. L’idée est excellente et permet un niveau de personnalisation élevé, mais l’exécution pourrait être plus intuitive.
Un bon équilibre entre le grand-angle et le zoom
Pour ce qui est des clichés en eux-mêmes, le capteur principal de 12 Mpx fait son travail avec un bon piqué, rivalisant avec certains capteurs de 48 Mpx, et ce sur une grande partie de l’image, preuve de la bonne qualité de l’optique utilisée (ou de l’énorme travail effectué sur l’IA). La colorimétrie est par ailleurs équilibrée, de même que la gestion de la luminosité.
Notons d’ailleurs que cet équilibrage colorimétrique vaut aussi pour le zoom, globalement très proche du capteur principal. Très pratique pour rendre plus net un sujet lointain, il n’a bien sûr pas la polyvalence du zoom x10 du S21 Ultra, mais apporte une réelle utilité sans tomber dans la démesure.
Pour ce qui est de l’ultra grand-angle en revanche, on sent que l’équilibre colorimétrique est plus difficile à maintenir, surtout de nuit (voir plus bas). On perd également en piqué, mais ce n’est pas étonnant sur ce genre d’optique. En revanche, il est étonnant de voir le très bon travail réalisé par Samsung pour éviter les trop fortes distorsions inhérentes à ce genre d’objectif jusque dans les angles.
En basse luminosité
En intérieur, même de nuit, le Galaxy S21 arrive à obtenir une bonne netteté de l’image à courte portée, y compris sur des cibles qui ne sont habituellement pas faciles à capturer. À longue distance, c’est bien évidemment une autre affaire, mais il ne s’en sort pas trop mal, tout du moins au centre de l’image. Dès que le regard s’éloigne de trop du sujet principal, on remarque rapidement que les couleurs ont tendance à baver, mais c’est là une limitation technique propre au marché qu’on retrouve chez tous les concurrents.
Dans l’ensemble, il s’en sort donc plutôt bien, tout du moins avec son capteur principal. Le téléobjectif en revanche se montre tout de suite bien moins pertinent en basse lumière et il devient rapidement plus intéressant de zoomer/recadrer numériquement dans la photo du grand-angle plutôt que d’utiliser le téléobjectif.
L’ultra grand-angle, il fallait s’y attendre, est pour sa part plutôt médiocre dans ces conditions et montre rapidement ses limites : certaines zones sont bouchées, la mise au point est difficile même au centre de l’image… Ce n’est pas une focale pensée pour travailler de nuit.
Mode portrait et mode nuit
Si le mode nuit est caché dans un sous-menu, ce n’est pas pour rien. Il s’active en effet par défaut lorsque la lumière vient à manquer et donne tout de suite beaucoup plus de clarté à la scène, peut-être même un peu trop, donnant l’impression qu’un projecteur de 500 W éclaire le tout.
Le mode portrait en revanche a été très bien peaufiné depuis l’année dernière et propose désormais un détourage vraiment très propre du sujet.
Des selfies, seul ou à plusieurs
À l’avant, c’est une caméra selfie de 10 Mpx qui fait son office, avec un mode permettant de détecter automatiquement la présence d’une deuxième personne dans le cadre pour passer en mode ultra grand-angle. Une bonne idée pour ceux qui aiment faire des photos de groupe. Ou tout du moins qui aimeraient un jour avoir l’occasion d’en refaire.
Les selfies sont nets lorsque la lumière est au rendez-vous, mais on sent rapidement que le capteur n’est pas très grand lorsque les conditions deviennent un peu plus difficiles. C’est bien sûr loin d’être affreux, mais on note une précision moins grande dès lors que l’on se trouve en intérieur loin d’une fenêtre. Il arrive également que l’intelligence artificielle ait du mal à gérer les hautes lumières. Si la différence entre la capture et le cliché fini est impressionnante, il arrive que certains gardent une zone bien cramée.
Un manque flagrant de stabilisation en vidéo
Pour la vidéo, le Galaxy S21 peut filmer en 8K à 24 images par seconde, en 4K à 30 ou 60 ips et en Full HD à 30 ou 60 ips également. Jusqu’en 4K, c’est le capteur principal qui fait son office alors qu’en 8K, le capteur de 64 Mpx, moins lumineux et moins bien stabilisé, prend le relais.
Quoi qu’il en soit, que ce soit en 1080p, en 4K ou en 8K, il faut avouer que le résultat est décevant. La plage dynamique et la colorimétrie sont bonnes, mais le piqué et surtout la stabilisation sont loin d’être au niveau de ce que l’on attend d’un smartphone à ce prix. L’image n’est pas aussi nette que l’on pourrait espérer et la stabilisation ne gère qu’une toute petite amplitude de mouvement. Au-delà, c’est comme si elle était inexistante, même en Full HD.
Il existe bien un mode « Super stabilité » pour tenter d’améliorer les choses, mais il est limité au Full HD à 30 ips et le résultat donne une impression de flottement bizarre et semble générer de la latence lors de l’enregistrement.
Enfin une autonomie à la hauteur
Les « petits » modèles de Galaxy S des générations précédentes n’étaient clairement pas satisfaisant sur le plan de l’autonomie. Avec mon usage plutôt intensif, il m’était impensable de terminer une journée complète avec le Galaxy S10 ou S20 sans passer par la case recharge en cours de route. Une nouvelle fois, le passage au 5 nm de l’Exynos 2100 fait le plus grand bien au Galaxy S21 qui s’offre ici une autonomie beaucoup plus rassurante avec sa batterie de 4000 mAh.
Avec un usage plutôt régulier, comprenant de la lecture vidéo en streaming, de la navigation web, des réseaux sociaux, un peu de photo et même de vidéo et parfois un peu de jeux peu gourmands, vous pourrez compter sur environ 7 à 8 heures d’utilisation d’écran. Ce n’est pas exceptionnel aujourd’hui, mais largement suffisant pour tenir une journée complète sans se demander si l’on aura assez de batterie pour ouvrir son GPS ou appeler un VTC en fin de soirée (lorsque le couvre-feu à 18 heures ne sera plus d’actualité). Il restera peut-être par contre encore un peu juste pour tenir deux jours, à moins de restreindre drastiquement son usage.
Autre déception : sa recharge. S’il peut se recharger sans fil jusqu’à 12 W, sa recharge filaire est limitée à 25 W, avec en outre un bloc secteur vendu séparément. Comptez entre 1h30 et 1h45 pour une charge complète avec un adapteur Power Delivery qui fera pas mal chauffer le téléphone. À une époque où certains constructeurs multiplient les prouesses avec du 65, 100, voire 120 W capable de recharger un smartphone en une poignée de minutes, on s’attendait à mieux de la part du leader du marché.
Notez que le Galaxy S21 peut également partager sa batterie avec un autre appareil avec de la recharge sans fil inversée. Il suffit de poser une montre, des écouteurs ou un autre smartphone compatible sur son dos pour recharger l’appareil en question.
Un très bon réseau
Comme tout flagship qui se respecte en 2021, le Samsung Galaxy S21 est compatible avec toutes les bandes de fréquence 4G, mais aussi avec la 5G (NSA et SA) sur les bandes sub-6.
Sans surprise, la connectivité en 4G du Galaxy S21 est, comme ses prédécesseurs, excellente. En intérieur, on monte facilement à 200 Mb/s en débit descendant et 60 Mb/s en débit montant, le tout avec une très bonne stabilité. La ville de Paris n’étant pas encore couverte en 5G et la situation sanitaire limitant nos déplacements, nous n’avons pas pu réaliser de tests de débit en 5G.
Le Galaxy S21 est par ailleurs compatibles WiFi 6 pour des débits allant jusqu’à 1,2 Gb/s (contre 2,4 Gb/s pour le S21 Ultra). Il est néanmoins dépourvu de l’Ultra Wide Band (UWB) présent sur les S21+ et S21 Ultra et pensé aux communications rapides entre différents objets connectés (entre deux smartphones, wearables ou IoT).
Les communications sont claires et intelligibles aussi bien en émission qu’en réception, avec une bonne atténuation des bruits ambiants. On reste ici dans la continuité du savoir-faire de Samsung.
Où acheter le Samsung Galaxy S21 ?
Le Samsung Galaxy S21 est disponible depuis le 28 janvier 2021 au prix conseillé de 859 euros dans sa version dotée de 128 Go de stockage, et 909 euros avec 256 Go de stockage. Réfléchissez bien au stockage dont vous aurez besoin, le S21 n’a pas de port microSD.
Si vous n’en avez pas chez vous, pensez également à vous munir d’un chargeur rapide, il n’y en a pas dans la boîte.
Après 6 mois d'utilisation voici mon ressenti sur le samsung galaxy s21 256gb. Tout d'abord LE gros point négatif : l'autonomie. Pour un modèle de cette catégorie c'est très décevant. Certaines applications vidéo/streaming me vident la batterie en 3 ou 4 heures là où mon xiaomi d'entrée de gamme aurait pu tourner 10/12 heures. Et ce n'est pas qu'avec les vidéos bien entendu bien que j'utilise le mode économie d'énergie et que les applications d'arrière plan se ferment toutes seules etc... bref je fais gaffe mais il n'y a rien à faire l'autonomie est mauvaise et c'est comme ça. Le temps et les mises à jour n'ont rien arrangées. Second point négatif : il chauffe beaucoup. En visio c'est carrément fou. Et, là encore la batterie prend chère.Je dirais que ce sont les deux principaux handicaps que je constate sur ce téléphone avec l'usage que j'en fait. De manière générale je ne suis pas très impressionné par la vélocité de l'appareil. Je m'en contente mais n'ai pas l'impression de détenir du haut de gamme. La dalle lumineuse est agréable. Les photos sont très bien. La connectivité répond à mes usages. Je ne joues pas et ai supprimé tous les jeux.En revanche c'est mon principal outil de travail et j'utilise de très nombreuses applications de productivité.Il supporte plutôt bien cet usage. La charge est assez lente pour une charge rapide. Et c'est désagréable car je retrouve le réflexe du branchement que j'avais mis de côté depuis une paire d'années en utilisant un Xiaomi et un Asus. C'est stressant et encombrant. Je ne recommande pas ce modèle qui est cher et n'insiste pas suffisamment sur ce qui compte vraiment à ce niveau de prix.
Ce que tu dis est totalement faux pour ma part.Le processeur exynos 2100 ne surchauffe pas. Je me suis bien renseigner sur le domaine et ce que tu dis est faux. Le processeur exynos 2100 est mieux que le processeur snapdragon 888. En plus ce que tu dis n'est pas exacte, le processeur exynos est présent dans le monde, et le processeur snapdragon 888 est juste présent aux États-Unis. Il n'affecte pas du tout les caméras. Je me suis renseigner sur le domaine.
Ce que tu dis est faux , le capteur optique ×3 est excellent je pense.
Si tu prend le galaxy s21 au magasin samsung et au site de samsung c'est mieux je pense parce que tout sera bien et il n'y aura aucun problème, ni soucis, et qu'il n'y aura pas quelque chose de problématique car ça vient de samsung directement, comme il faut se méfier lorsqu'on va sur un site sur internet avec des prix bas, comme je pense que défois les gens prennent un produit sur des sites où il y a des prix assez bas et qu'ils essaient de trouver moins cher et alors c'est pour çela qu'il faut faire attention comme il peut y avoir un souci. Ça ne sera plus vraiment le vrai et véritable téléphone, ça ne sera pas la même expérience il n'y aura pas la même performance et sa véritable capacité. Je te dis ça comme ça car faut faire attention.
C'est pas ce que j'ai pu voir sur toutes les photos que j'ai faites en comparant le vrai x3 du S20 FE et S21 Ultra par rapport au faux x3 du S21 normal (le S21+ utilise aussi un 29mm) et obtenir un x3 à partir d'un 29mm produit une image à priori moins bonne qu'un vrai 72mm et ce que je constate car le 64MP utilisé pour fabriquer le x3 est moins lumineux au final que l'optique 72mm, après je n'ai testé qu'en intérieur et peut-être qu'en très bonne luminosité la différence serait moins flagrante mais je n'ai pas pu vérifier ce point et de toute façon le fait qu'en moins bonne luminosité la différence existe pose de problème (il ne fait pas toujours grand soleil).
J'ai eu l'occasion de tester mon vieux S7 avec le S20FE S21 et S21 Ultra, bon sur les photos normales les S21 sont meilleurs (heureusement) cependant le zoom supposé x3 du S21/S21+ basé sur un capteur 64MP 29mm (optique standard est en 27mm donc franchement c'est zéro zoom optique) est mauvais aucun intérêt, par contre la vraie optique 70mm du S20FE ou du S21 Ultra fait tout la différence ! https://uploads.disquscdn.com/images/4f8558da60d3b07c1b007fd2afe9e1bdf79ecffbc8e892ce682362d8220c58ce.png
La fiche technique est toujours erronée concernant le WiFi (6 et pas 6E) et le Bluetooth (5.0 et pas 5.2).
Oui c'est du multiprocessing hétérogène repartis sur tous les éléments du soc... Les autres aussi utilisent CPU, ISP, DSP, GPU. En terme de Tops, le GPU reste l'élément prépondérant (beaucoup plus que le CPU et par exemple). AI benchmark n'est pas spécialement pire qu'un PCMark pas mis à jour depuis 2017 et qui oublie d'utiliser les coeurs Big du CPU si l'OS ne force pas le benchmark à le faire...
Attention sur la dernière partie concernant l'IA : certes Qualcomm n'a pas de NPU dédié, mais parce qu'ils estiment ne pas en avoir besoin, répartissant la charge sur le GPU, CPU, DSP et ISP en fonction des calculs. Les TOPS annoncés ne sont pas calculés uniquement avec le GPU. Pour AI Benchmark, il faut voir que l'app n'est pas forcément utilisée pour ce genre de SoC, il ne vaut rien ce benchmark 🙄
Mon smartphone est en état nickel, je souhaite remplacer la batterie moi-même donc que ce soit simple et qu'il soit totalement nickel après l'intervention. Je crois n'avoir jamais récupéré un appareil de retour SAV dans le même état qu'a son envoi. Ils bossent malheureusement souvent comme des porcs (je leur en veux pas, ça correspond au temps qui leur est laissé et au salaire que l'on veut bien leur donner...). Bref, quand on parle de batterie amovibale interchangeable, c'est par l'utilisateur lambda, pas par le SAV.
Le changer ? N'importe quoi ! Suffit de ne pas se tromper de marque : Je viens de faire changer la batterie de mon vieil OP5 par le Sav officiel Oneplus : immobilisation 3 jours et moins de 40€ fdpin
Non, c'est bien au constructeur de s'en charger, justement. Côté développeurs, on utilise les API (directx, opengl, sdl, etc.). Le développement bas niveau n'est pas notre problème. C'est donc bien à Samsung de fournir de bons drivers, afin d'être optimisé avec les API.
Dans ce cas le problème vient des devs et non du constructeur, ce n'est quand même pas la faute de Samsung si le jeu est mal optimisé. C'est exactement comme les jeux vidéo sur PC, c'est à la charge des développeurs de faire l'optimisation nécessaires avec tout les outils que le constructeur de CG/CPU leur a fourni.
Ah beh si, même dans les jeux vidéos sur PC c'est aux devs de faire le boulot, manquerait plus que ce soit de la faute des constructeurs de ne pas le faire, qu'ils vous aident avec les drivers et tout OK mais l'optimisation est à la charge des développeurs.
Je n'aime pas du tout le S21 (je trouve que c'est vraiment un mobile lambda), mais je trouve qu'il reste moins pire que le S20 (autonomie en particulier). Et oui, le plastique, c'est fantastique. C'est léger, c'est solide et cela amortit les choc. Et c'est même potentiellement bio, recyclable et biodégradable. (aucune idée si c'est le cas ici)
Je suis d'accord que c'est ridicule de mettre un jeu précis dans les points négatifs. Par contre, en tant que développeur, ce n'est pas mon taf d'optimiser pour un matériel précis. Ce boulot est bien du ressort de Samsung, côté drivers.
Fortnite est un jeu extrêmement populaire, mais il sert surtout d'exemple du fait qu'il soit particulièrement demandeur. Cela prouve une chose : les devs ont l'habitude de prioriser l'optimisation sur les Snapdragon, et on peut s'attendre à d'autres jeux qui tournent mal sur Exynos pour cette simple raison...
Woops, le E est venu par réflexe, c'est corrigé, merci :)
Merci. Une réponse complète qui me donne du grain a moudre... ce que je vais faire dès a présent ;)
D'autres tests montrent l'inverse... Genre le stress test de 3DMark où le Snapdragon 888 perd 25% de performances dès la 2ème boucle et qu'il peine même parfois à le finir (plantage de l'application), alors que l'Exynos le fini sans soucis. Les défauts de stabilité du 888 ont aussi été constatés sur Mi 11 et iQoo 7. Pour le montage, c'est une tâche à part. Les benchmarks testent surtout le CPU, le GPU et la mémoire... Pour le montage, la compression et le traitement vidéo solicitent les ISP et le VPU, éventuellement l'IA (il suffit juste de regarder les specs de puces pour GoPro pour comprendre que le CPU a un rôle très faible pour ces tâches...) Une puce qui chauffe sur un benchmark ne chauffera pas forcément sur du traitement vidéo. Qui plus est, Qualcomm s'entête avec son décodeur vidéo obsolète qui ne décode pas AV1. Exynos 2100 l'intègre. Qualcomm n'a toujours pas de vrai processeur IA, annonce des chiffres Tops basés sur ses performances GPU...26Tops et seulement 130.000pts sur AI Benchmark...l'année dernière, Dimensity 1000+ en faisait déjà 140.000 avec seulement 4.5Tops. L'Exynos a aussi ses avantages...
C'est dingue, on enlève plein de trucs du modèle de l'an dernier, on lui colle du plastique, et soudainement le plastique c'est top, c'est une bonne concession, 9/10. La blague
Oui, espérons que l'on y revienne bientôt. Changer son smartphone tout neuf tous les deux ans uniquement à cause de la batterie ça fout les boules. Je viens de passer au S21 après mon S10e dont la batterie donnait des signes de faiblesse et, du point de vue des usages et des fonctionnalités, c'est vraiment kif kif (le 120 Hz apporte effectivement un peu de confort mais bon... flinguer la planète pour ça, bof...).
https://youtu.be/rsLJLk3nx8k Attention la version européenne est vraiment mauvaise, les tests commencent à tomber. Le chipset Exynos surchauffe lors d'une utilisation intensive (Je fais du montage avec mon téléphone), cela impacte aussi la qualité photo et la video. Attention aux évaluations faites par les Américains ou avec des versions Américaines, ils ont un autre chipset, le résultat c'est que nous avons un téléphone vraiment différent du leur.
Le combo température / DeltaE n’est pas très bon, le public pro est hors jeu et un client lambda un peu pointilleux va percevoir les aberrations chromatiques de l’écran ...
La charge à à haute puissance c'est un attrape-gogos. Ca flingue les batteries (malgré tout le discours marketing des constructeurs). Je regrette même qu'il n'y ait pas un paramètre permettant de limiter la charge à 85% pour préserver encore d'avantage celle-ci (comme sur les tablettes Samsung). Le S21 n'est pas compatible WiFi 6E. Seule le Ultra l'est.
La durée de chargement me parait particulierement longue. Mon S20 Ultra met environ 1h10 à se charger entièrement avec le chargeur 25W et chauffe assez peu (alors que le 45W le fait bien chauffer et ne fait gagner que quelques minutes). Le S21 devrait mettre moins d'1h avec sa plus petite batterie, sans être exceptionnel ça reste, à mon avis, très bien.
Qui achète un smartphone pour jouer ? 🤔🤔
Mouais, si d'apparence l'Exynos semble être meilleur, sur un usage constant et poussé, il traine vite la patte selon certains. Souffrir d'une stabilisation insuffisante sur tous les définitions est aussi étrange, en 2021 quand même. Pour la 8K j'aurais compris mais là... Ils est peut-être meilleur sur celui qu'il remplace mais certains points le dérangent encore.
Samsung aurait pu revenir au dos et batterie amovibles étant donné qu'il remet du plastique
Mettre en point négatif l'optimisation d'un jeu ? Sérieux ? 😂 Surtout que ce n'est pas de la faute de Samsung mais des développeurs d'optimiser.
Il assure franchement ! Dos en plastique et alors ? C'est le dos, on met une coque, qu'est-ce que ça peut faire ? Moi j'y vois des économie s'il tombe sur le dos pas besoin de le faire réparer...
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