C’est sans doute le fantasme de tous les fans de musique un peu geek : écouter un jour le son d’une enceinte Devialet. Entre sa promesse technologique et son prix vertigineux, la curiosité a de quoi être titillée. C’est la chance que nous avons eue pour ce test. Le bonheur est-il alors en la majeur ?
La fiche technique
Modèle | Devialet Phantom I 108 dB (Gold) |
---|---|
Nombre de haut-parleurs | 3 |
Wifi | Oui |
Compatibilité OS | Android, iOS |
Couleur | Blanc |
Poids | 11400 kg |
Prix | 3 100 € |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé à partir d’un modèle prêté par la marque.
Un design réfléchi qui ne laisse pas indifférent
C’est sans doute l’un des designs les plus iconiques de ces dernières années. Depuis son apparition en 2015, l’enceinte sans fil signée Devialet a suscité autant d’admiration que de critiques. On aime ou on n’aime pas son look, mais elle ne laisse certainement pas indifférente avec sa forme oblongue inclinée.
Première certitude que laissent très bien entrevoir tous les visuels : l’enceinte made in France est massive (253 x 255 x 343 mm) et lourde (11,4 kg). Il suffit de voir le gabarit du carton — extrêmement bien pensé pour stocker, présenter et mettre en valeur le tout tel un écrin — pour savoir qu’il va falloir faire de la place chez vous pour l’installer.
Phantom (ni la ou le…) est un produit réellement bien fini. Désormais disponible en version blanc ou noir mat, assortie d’un ornement noir chromé ou or 22 carats appelé flasque, elle se place d’entrée de jeu dans une catégorie de design très avancée, très haut de gamme et luxueuse comme promis. Sa forme n’a pas été choisie au hasard.
Inspirée de la sphère pulsante d’Olson, qui est censée représenter la forme acoustique parfaite pour diffuser du son et de l’énergie tout autour d’elle, l’enceinte Devialet arbore sur l’une de ses extrémités, au centre de trois anneaux concentriques, une grille pour protéger le tweeter situé à l’intérieur. Et même la grille démontre un souci du détail : elle est un clin d’œil « aux jardins français du XVIIIe siècle » pour rappeler ses origines, mais aussi les nœuds de vibrations des figures de Chladni.
Latéralement, on aperçoit le nom de la marque gravé sur les flasques. Juste à côté, cette excroissance bombée qui s’anime quand la musique résonne et cache le woofer à dôme.
L’enceinte sans fil se raccorde électriquement à l’aide d’un câble assez massif à emboîter sur le côté, au cœur de la grille d’aération. On trouve désormais à l’arrière de l’appareil des voyants LED pour vérifier le statut de Phantom.
Ici, pas de prise jack pour brancher un ampli ou tout autre appareil pour une sortie son sur Phantom. En revanche, bien cachées derrière le cache de la prise électrique, mais avec une encoche pour faire passer les câbles, on découvre un port Ethernet RJ-45 à 1 Gb/s, une entrée optique S/PDIF TOSLINK pour raccorder un lecteur CD/DVD/Blu-Ray et certaines TV. En revanche, pour vos appareils plus anciens qui se connectent en RCA, pas de solution sur l’appareil même.
Pour ces autres moyens de connexion analogique, vous pouvez investir dans Arch (349 euros), un petit boîtier qui permet d’ajouter une entrée phono, une entrée analogique et deux entrées numériques S/PDIF pour des câbles coaxiaux.
Phantom Remote, la télécommande remodelée bien pratique
L’enceinte est livrée avec un petit boîtier rond plus plat appelé Remote. Ce module sert ainsi de télécommande rotative avec un affichage visuel LED et des boutons tactiles. La Remote va permettre de monter le son, mettre pause/arrêt votre playlist lancée depuis votre smartphone. Mais avec un avantage : vous pouvez la poser n’importe où, elle se connecte automatiquement à l’enceinte. Bien pratique quand on veut simplement monter le son ou passer au morceau suivant sans recourir à son smartphone.
Pour la connecter, allumez-la et approchez-la de l’appareil pour qu’elle puisse être associée.
Sa molette permet ainsi de monter le son jusqu’à un niveau 100, mais, dans une pièce d’un peu moins de 30 m², nous n’avons pas eu besoin de faire grimper le volume au-delà de 25-30 pour profiter de la musique. Positionnés dans la cuisine située en prolongement de la pièce, quelques niveaux supplémentaires ont à peine suffi pour pousser un peu plus le son qui occupe parfaitement l’espace.
À noter que la Remote est disponible en option pour les Phantom I et Phantom II (ex-Phantom Reactor) au prix de 179 euros.
SoC maison avec DAC intégré
L’enceinte embarque un nouveau SoC intelligent signé Devialet qui intègre le traitement numérique du signal et son amplification (DAC 24 bits/96 kHz). Il est taillé également pour offrir une meilleure dissipation de la chaleur — il est vrai que l’enceinte ne chauffe pas spécialement — et ainsi optimiser les performances quel que soit le volume pour une meilleure efficacité énergétique (jusqu’à 4 fois plus économe que les versions précédentes). Devialet promet surtout une meilleure acoustique grâce à ce SoC.
L’enceinte se connecte à votre Wi-Fi 802.11 a/b/g/n sur les bandes de fréquence 2,4 GHz et 5 GHz, mais peut également diffuser de la musique depuis un appareil connecté en Bluetooth 4.0. Petite nouveauté, Phantom I est désormais compatible avec AirPlay 2 depuis sa dernière mise à jour, une bonne nouvelle pour streamer de la musique depuis votre iPhone, iPad ou Mac sans avoir à passer par l’app Devialet.
Une application ultra simplifiée
Après avoir posé et branché votre enceinte, vient l’heure de la configuration. La Devialet App devient alors le compagnon de jumelage. Elle a été repensée, mais s’avère toujours assez basique et simple d’utilisation. L’app veut surtout proposer une expérience de streaming plug and play plus fluide.
Pour configurer, approchez votre main pour la poser sur l’enceinte, une note bien puissante retentit pour vous dire que Phantom est prête pour la configuration. C’est étrange, mais c’est comme ça.
On y trouve des systèmes de connexion musicale via Spotify Connect, Roon Ready ou en Bluetooth en plus d’AirPlay 2.
Vous pouvez vous en servir pour ajuster le volume de l’enceinte ou des enceintes réparties dans plusieurs pièces, simultanément ou séparément. L’app permet aussi d’activer un mode nuit qui réduira l’intensité des basses en soirée, de contrôler la latence sur l’entrée auxiliaire en usage audio-vidéo.
Dommage avec une telle exigence musicale de ne pas trouver de moyen d’affiner les réglages du son ou même un equalizer.
La technologie audio poussée à l’extrême
Au niveau des haut-parleurs, on trouve là un tweeter en titane pur de grade 1 pour les aigus, un transducteur à dôme aluminium en anneau autour du tweeter pour les mediums et deux woofers latéraux à dôme en aluminium pour les graves.
Devialet a récemment mis sa gamme à jour et Phantom I propose à présent deux niveaux de puissance, 103 dB et 108 dB (version testée) à 1 m de distance, alors que le modèle original était disponible en 98 et 108 dB. La bande passante du modèle que nous avons testée est de 14 Hz à 27 kHz (contre 16 Hz à 25 kHz pour le 103 dB).
L’enceinte est compatible avec les codecs AIFF, WAV, FLAC, OGG, Apple Lossless M4A, MP3 16 à 320 kbit/s, MP3 VBR, WMA 16 bit, AAC 16 à 320 kbit/s, HE-AAC (V1), VORBIS.
Une prouesse technologique
La force de Devialet, spécialisé dans l’ingénierie acoustique, depuis sa création, c’est de développer et promouvoir des technologies audio innovantes. Phantom n’y coupe pas depuis son intronisation et cette nouvelle génération peaufine le tout. L’entreprise a tôt fait de clamer ses plus de 200 brevets déposés et nombreux prix reçus à travers le monde pour que l’on saisisse mieux la valeur technologique du produit que l’on a face à soi.
Et parmi ses inventions, on trouve une technologie hybride d’amplification, l’ADH (Analog Digital Hybrid), qui allie analogique et numérique. Cela permet d’associer un amplificateur analogique à quatre amplificateurs numériques. La précision de la restitution analogique est renforcée par la puissance de l’amplification numérique.
Pour aller avec l’ADH, dont la mention s’affiche fièrement sur l’une des extrémités de Phantom, on trouve un algorithme (SAM, Speaker Active Matching) dont le rôle est d’offrir une fidélité absolue tout en protégeant l’appareil. Il s’accompagne de la technologie HBI (Heart Bass Implosion), un processus acoustique qui émet des fréquences ultra-graves descendant jusqu’à des infrasons de 14 Hz et donne une sensation d’impact physique.
Du son partout, pour tout, mais…
La force de l’enceinte française, c’est de ne promettre aucune distorsion, pas de saturation ni bruit de fond. Le résultat est là. Alors, il est sûr qu’en lui infligeant du Spotify (gratuit) ou Apple Music, on ne met pas forcément ses qualités intrinsèques à profit, faute d’une qualité sonore à niveau. Avec Amazon Music HD, le son se fait plus cristallin, quel que soit le type de morceaux que l’on diffuse, et c’est tout de suite appréciable.
Phantom a ainsi profité d’une symphonie de Beethoven ou encore du Boléro de Ravel, de Led Zeppelin (Kashmir), des différents instruments de la version live de Little Ghettoy Boy de Donny Hathaway, chanteur des années 1970, et de choses plus récentes impliquant la mise en avant de basses. Des morceaux au style et à l’impact variés, bien mis en valeur par la qualité sonore de l’enceinte. Et il faut avouer que la qualité de diffusion du son, sans avoir besoin de pousser le volume, est assez agréable. Où que l’on se situe dans la pièce, on en prend plein les oreilles de plaisir musical.
La promesse sonore est au rendez-vous. À ce niveau-là, pour les amateurs de son de qualité, c’est véritablement très agréable de profiter d’enceintes qui ne « crachent » pas et qui paraissent sortir le son le plus naturellement du monde. Tout a été fait en ce sens avec des médiums très présents, des graves plus en retrait. Mais c’est du mono ! Et c’est bien dommage. Certains trouveront que les graves trop compressées, voire atrophiées, pour répondre aux critères actuels d’écoute. C’est en écoutant du jazz que cela nous a peut-être le plus frappé et où la qualité sonore faisait moins honneur au morceau.
Si vous jugiez déjà Phantom encombrante, dites-vous que le son qu’elle propose équivaut quasiment à celui de ces enceintes très grand format que l’on voit souvent reliées à des chaînes hi-fi. Plus une enceinte est volumineuse, plus elle promet une bonne et large retranscription du spectre audible. Le challenge de Devialet est de parvenir à faire de même dans un volume quasiment 10 fois inférieur.
C’est là que la technologie HBI conçue par le spécialiste français prend toute sa dimension, avec ses woofers de 26 mm crête à crête, ultra-puissant tout en étant six fois plus compact que des haut-parleurs à haut rendement classiques. On a donc des haut-parleurs basses fréquences avec annulation de vibrations mécaniques capables de produire des ultra-graves naturels sans forcer ni saturer. Et la forme de sphère de Phantom aide à la diffusion du son dans tous les recoins.
Musique, musique, musique (et c’est déjà pas mal !)
Ne cherchez pas d’assistant vocal, de compatibilité avec la maison connectée ou autre. Ici, on parle aux mélomanes et Phantom I ne propose pas d’autres possibilités que d’écouter de la musique. À ce prix-là, la qualité sonore est évidemment au rendez-vous et on apprécie de ne pas avoir besoin de faire grimper le volume pour en profiter pleinement. Le son se disperse dans la pièce tel un rayonnement musical, quel que soit l’endroit où vous vous trouvez. Évidemment, si vous avez la chance de pouvoir appairer deux enceintes en stéréo, ce sera du miel pour vos oreilles. Attention, il faut que les deux modèles soient de même puissance.
Les deux appareils peuvent également fonctionner en multiroom. Nous avons branché une Phantom dans le salon et une autre dans le bureau, avec le choix de diffuser sur l’un, puis sur l’autre, et même sur les deux en simultané sans créer de cacophonie. Il est agréable de noter que l’enchaînement d’une pièce à l’autre depuis l’application se fait en un claquement de doigts.
Faut pas pousser !
Étant donné la qualité du produit et ses prouesses technologiques, on en vient presque à culpabiliser de lui « infliger » des morceaux de notre smartphone. Phantom mérite tellement mieux qu’on ne rêve que d’un système audio capable d’honorer ses performances. Mais cela nécessite aussi une facture assez salée. Certes, une seule enceinte Devialet suffit à faire profiter votre pièce même vaste d’une excellente qualité audio, assez pure selon ce que vous écoutez.
Amatrice de musique plus mélodique et orchestrale, de morceaux live de groupes des années 1960-70, avec le bruit qui crépite, j’ai adoré la qualité du rendu sonore, dans lequel on distingue parfaitement tous les instruments, tous les détails de la scène sonore. Et je n’ai pas besoin de pousser l’enceinte à 103 ou 108 dB pour cela, bien au contraire. J’aime le son de qualité, pas celui qui me hurle dans les oreilles. Et d’ailleurs, pour bien apercevoir le battement des woofers, mauvaise nouvelle : il faut vraiment pousser le volume. Je préfère quand même que le bien-être de mes oreilles l’emporte sur le spectacle visuel…
Je dois avouer que l’occasion de tester les enceintes en stéréo m’a emplie de joie musicale. On passe alors dans une autre catégorie (financière aussi…). Pas de souffle, pas d’écho, une fluidité dans l’occupation de l’espace sonore, un son équilibré et puissant sans forcer : que du régal ! Si vous connaissez quelques soucis en les branchant à votre TV compatible en optique, l’ajustement de la latence est extrêmement simple depuis l’app.
Si je n’ai eu qu’une surprise, ce fut parfois des soucis de coupures de musique en Wi-Fi, jamais avec le Bluetooth, même de loin. Des faits suffisamment rares pour être signalés.
Prix et disponibilités
L’enceinte Phantom I est disponible en trois versions à partir de 1890 euros en 103 dB (chrome/blanc mat ou noir mat), 2790 euros en 108 dB (or/blanc mat ou noir chromé/noir mat — modèles testés) et à 3090 euros pour la déclinaison Phantom I 108 dB Opéra de Paris de couleur feuille d’or et blanc. Il existe des offres pour l’achat de deux modèles simultanément. Les produits sont disponibles sur le site de Devialet et chez Boulanger.
Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.
Les jugements de valeur que vous tenez n'engagent que vous aussi ?
Le son est plus proche de la bouillie sur cette enceinte. Je garde les miennes.
D'une rare laideur, jamais je ne voudrai d une horreur pareil chez moi
C'est un produit de luxe qui pousse le design pour faire oublier le prix - m'enfin pour ceux qui peuvent se le permettre. Trop cher pour ce que c'est, un "vrai" audiophile se dirigerait plutôt vers du matériel pro pour ce prix, mais c'est le modèle Apple qui cible les "prosumers" qui cherchent le cliquant avant tout.
C'est bizarre quand on lit le test on a l'impression que l'enceinte fait des miracles et moi je crois moyen aux miracles ... Mais ça donne quand meme envie d'écouter ce que peut donner cette enceinte irl
Pour ce prix je prends un excellent ampli de denon ou marrantz avec des enceintes Dali ou Focal👍
c'est un produit pour riche il faut en acheter 2 pour du stereo c'est mieux que du stereo sur un endroit
Restons sérieux, Les systèmes Hifi de qualité audiophile non pas besoin d'égaliseur et les systèmes haut de gamme n'ont aucune correction de tonalité (Grave / Aigu). Rappelons qu'un Égaliseur est utile pour corriger les défauts des mauvaises enceintes. L'inconvénient avec Devialet, est que ça n'est pas de la vraie Hifi (Norme Haute-Fidélité) mais de la sonorisation domestique très design, aidé à grand coup de marketing qui s'adresse au grand public. Je connais Devialet et je vous assure que pour le même prix chez un revendeur de matériel audiophile avec auditorium vous trouverez bien mieux. Évitez la grande distribution spécialité (Type Fnac, Boulanger, Darty, Etc.… ) Les vendeurs ont peu de scrupules et connaissances, Préférez les revendeurs indépendants qui ne distribuent ni Devialet, ni Bose, ni Bang & Olufsen. En définitive, la frustration que vous ressentez et justifié et vous avez raison pour les 2 inconvénients. Concernant la durée de vie (l’obsolescence), gardez à l'esprit que les matériels Hifi des années 70 sont toujours compatibles et évolutifs avec les technologies les plus récentes pour écouter en dématérialisée. Une Chaine est constituée de plusieurs maillons : Enceintes, Câbles, Amplificateur, DAC (convertisseur analogique/numérique), platine vinyle, lecteur CD ou Drive, Etc.. Bref le sujet est vaste mais un vrai Pro pourra vous conseiller. Et gardez à l'esprit qu'une marque qui vous enferme dans son système n'est ni pérenne ni sérieuse car les technologies évoluent rapidement et les modes changes tout aussi vites. Je trouve que le prix des enceintes Devialet Phantom est démesuré pour le résultat obtenu.... Mais Devialet cible une clientèle de Bobo néophyte en quête de produit statutaires, et ça marche !!!!! Un dernier mot : En France nous avons d'excellents fabricants de matériel Hifi, j'ai personnellement un faible pour le matériel anglais mais le choix est vaste et les bon mariages nombreux sans s'endetter lourdement, prenez le temps d'écouter et de lire la presse spécialisée. Important, je ne suis pas un professionnel, je suis juste un amateur de bon son depuis de nombreuses années et les propos que je tiens n'engage que moi. Respectueusement Yann LC
Qui sont toujours commercialisés ?
Des enceintes à 2000€ pour mettre de la merrde en streaming, beau test y'a pas à dire
Beaucoup trop cher pour de la musique en mono..
Tout ça pour du son mono? Ah bah j'entends des roucoulements au loin, ça explique tout...
J ai une paire de phantom classique pour ma part.pour le son rien a dire.2 inconvénients pour ma part,l absence d équaliseur qui pourrait corriger des enregistrements audios médiocres et le prix.pour le premier défaut,il existe des applications sur son téléphone pour modifier mais ce n' est pas la qualité maximale de ma propre expérience comparée à l optique.le second défaut me fait dire que c est une question de point de vue.je suis parti dans l idée que ces enceintes serviront toutes ma vie .je croise les doigts pour qu elles soient fiables!
Tant qu'à dépenser des sous pour du devialet, je viserais plutôt du côté de leurs amplis.
Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par Disqus.
Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l'usage étant opéré par Disqus avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l'amélioration des produits d'Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l'audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
Gérer mes choix