Tous les mois, Google publie un rapport dans lequel l’entreprise liste les accidents survenus avec ses Google Car. Pour les mois de décembre et janvier, l’entreprise de Mountain View n’a eu aucun accident à déclarer. Google en a donc profité pour détailler un peu plus le fonctionnement de ses voitures autonomes. Puisque la pluie est revenue pour la première fois depuis des années en Californie, les prototypes de Google Car viennent de faire la connaissance de ce phénomène météorologique. L’occasion pour les équipes de Google de peaufiner le fonctionnement de la voiture avec notamment la présence d’un essuie-glace pour certains capteurs. Sous la pluie, la Google Car adapte son comportement et ralenti d’elle-même.
Des serveurs pour simuler la conduite
Dans son rapport du mois de janvier, Google a détaillé le processus qui permet de simuler le comportement d’une Google Car. La firme de Mountain View dispose de milliers de serveurs et la puissance de calcul permet de prédire leur comportement selon les situations. Lorsqu’une Google Car désengage la conduite autonome – de manière manuelle à la demande du conducteur ou de manière automatique selon les situations -, les ingénieurs de l’entreprise se servent des ordinateurs pour analyser, a posteriori, les actions qu’auraient prise la voiture sans l’action du conducteur. Ce simulateur permet d’affiner les algorithmes grâce à 3 millions de miles (environ 5 millions de kilomètres) virtuels parcourus chaque jour.
La conduite autonome qui devient manuelle
Dans son rapport à la DMV concernant les désengagements de conduite autonome, on s’aperçoit que ces situations sont de moins en moins courantes. Ainsi, au quatrième trimestre 2014, les Google Car parcouraient en moyenne 750 miles avant de voir la conduite autonome se désactiver, de manière manuelle ou automatique, alors qu’au quatrième trimestre 2015, le chiffre monte à environ 3 000 miles.
L’algorithme se perfectionne donc, et requiert beaucoup moins des sessions de conduite « manuelle », par exemple à l’approche d’un danger ou en cas de dysfonctionnement d’un capteur.
La longue route de la voiture autonome
Dans un passionnant post sur le site Medium, Steven Levy, journaliste, raconte sa rencontre avec l’équipe en charge des Google Car. On y apprend par exemple que la conduite des prototypes de Google Car requiert une longue formation et seuls les employés qui ont 6 à 12 mois d’anciennetés ont le droit de les conduire puisque le volant ressemble plus à un joystick qu’autre chose. Pour le moment, les Google Car ne sont donc pas réellement conçues pour les particuliers lambda, mais d’ici quelques années, il est certain que les voitures autonomes deviendront légion.
Ça s'appelle un concept. Le but n'est pas de faire joli mais de faire fonctionner une technologie. Les designers entreront dans le process une fois que la voiture sera capable de rouler seule (et encore, il y a des chances que Google s'en fiche, ils ne sont pas constructeurs de voitures, ils risquent bien de ne faire que vendre le logiciel et un peu d'électronique aux constructeurs, qui eux commercialiseront des modèles grand public).
Et les Hommes sont toujours sur d' etre plus fort que le voisin .... Resultat : les priorites c'est jamais pour lui ,m les limitations de vitesse c' est pour les vieux et les femmes ... Bref , moi j' aurais toujours plus confiance en une machine qu'en un vatanen avine , plein de beuh et qui roule comme un debile ;)
voiture autonome oui mais put**** trouver un autre designer parce que la il nous a chier une belle bouse !
La boite noire de la voiture parlera : autonome ou manuelle. Autonome, c'est le constructeur, manuelle, c'est le conducteur. D'ailleurs on peut même pronostiquer la fin des assurances auto : a terme, les voitures ne seront plus que autonomes (ou presque), et le constructeur proposera d'assurer le conducteur dans les (rares) phases manuelles. Reste plus qu'à la MMA d'aller assurer Peugeot si elle veut pas mettre la clé sous la porte !
C'est simple, çà n'arrivera jamais 2 voitures autonomes qui se percutent, elles ne sont pas cons comme les humains.
De toute façon, elles seront sûrement plus sûr que si elles sont conduites par un humain. Ce qui est souvent oublié et qui ne peut être réduit qu'avec une machine, c'est le temps de réaction pour prendre une décision : une machine le fera en quelques milliseconde, un humain il lui faudra 1-2s le temps d'actionner le frein par exemple...<i>-------<a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.frandroid.app">Envoyé depuis l'application FrAndroid pour smartphone</a></i>
Ben on sait qui conduit et donc qui a fauté, là c'est un vulgaire ordi qui aura merdé ... Du coup plus dur de désigné le responsable ensuite l'humain se retournera t il vers le fabriquant ?
Ben comme maintenant il y aura des assurances, avec le replay pour aider à déterminer les responsabilités. Sauf que vu la baisse drastique des accidents, elles s'en mettront encore davantage plein les fouilles. Et si la technologie devient assez répandue, on peut même imaginer des polices d'assurances prohibitives pour les conducteurs "humains".
ça dépend, Volvo qui travaille aussi sur la conduite autonome a annoncé récemment qu'ils prenaient la responsabilité à 100% en cas d'accident responsable d'une de leurs voitures :)
Communiqués de presse : ils sont repris tels quels de plus en plus souvent
À contrario, les voitures autonomes possèdent des boites noires et des algorithmes qui permettent de rejouer et de simuler l'accident pour comprendre la responsabilité de chacun. Ce qui n'est pas possible avec des êtres humains. Par ailleurs, tout laisse à penser qu'un accident de se type sera beaucoup plus rares qu'un accident humains pour la simple et bonne raison que ces voitures devraient être bien plus fiables que nous. On a tendance à l'oublier mais les hommes ne sont pas fait pour conduire. Les voitures automnes si.
Plus simple je pense parce-que cela fait un siècle que c'est comme ça
En qui la situation est-elle juridiquement plus simple quand ceux sont deux voitures pilotées par des humains qui se percutent ?
Il me tarde de voir le comportement de nos chères compagnies d'assurance en cas d'accident pour déterminer la responsabilité en cas d'accident entre 2 voitures autonomes Pas prêt de voir le remboursement...
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